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Blog : LessakelePolanski-Mitterrand : affligeant Finkielkraut, décevant Rioufol Dans un récent entretien sur France Inter Alain Finkielkraut en vient énoncer des énormités pour défendre Roman Polanski, (cette gamine posait de toute façon nue pour Vogue Hommes pensez donc ! : http://www.dailymotion.com/video/xar0rp_alain-finkielkraut-france-inter_news ) et Ivan Rioufol [...] 39 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 35 minutes
La Torah punie de mort ce genre de comportement c'est dire la gravité de l'acte et de ses conséquences. Polanski ne s'est jamais demandé ce que cette gamine allait devenir après avoir assouvi sont instinct immonde ? (Au passage c'est ce même dévergondage qui conduisit l'humanité à sa chute au temps d'Adam) La morale, l'honneur, la bienveillance, la retenue qui ont manqué à cet homme n'est, apparemment, toujours pas en lui puisqu'il crit à l'injustice et fait la victime au lieu de se repentir et de crier sa demande de pardon devant les caméras. Non Mr Finkielfraut vous avez tord et votre acharnement à vouloir faire de la vraie victime une consentente post-acte et d'utiliser le fait qu'elle réclame, à juste titre, qu'on lui fiche la paix après 30 ans.
il lui aurait donner une somme colossale pour qu 'elle retire sa plainte et qu 'elle passe l ' éponge sur cette histoire
Polanski est reponsable sous entendu , du scandale de Frédérique Mittérand qui a dû se justifier devant les caméras ...sa vie sexuelle lui est personnelle ...
Le cinéaste franco-polonais Roman Polanski, incarcéré en Suisse depuis sept jours sur mandat américain, avait accepté en 1993 de verser 500.000 dollars à sa victime pour mettre fin aux poursuites, ont rapporté samedi les médias américains, citant des documents judiciaires.
M. Polanski, âgé de 76 ans, Oscar du meilleur réalisateur (2003) et Palme d'Or à Cannes (2002) pour "Le Pianiste", est recherché par la justice américaine après une procédure ouverte en 1977 pour des "relations sexuelles illégales" avec une adolescente alors âgée de 13 ans.
En octobre 1993, soit quinze ans après avoir fui les Etats-Unis de peur d'être condamné à une longue peine de prison pour cette affaire, M. Polanski a conclu un accord avec la victime, Samantha Geimer, pour qu'elle mette un terme aux poursuites, ont rapporté le Washington Post et le Los Angeles Times.
Les termes de cet accord étaient à l'origine confidentiels, mais la somme engagée de 500.000 dollars a été révélée par la suite car le réalisateur n'a pas respecté ses engagements.
Selon le dernier document judiciaire portant sur cet accord et datant d'août 1996, le réalisateur devait à cette date 604.416 dollars avec les intérêts à Samantha Geimer.
Il n'est pas clair si le cinéaste a finalement versé la somme promise, mais, indique le Los Angeles Times, l'attitude de la victime envers M. Polanski a changé à partir de 1997, suggérant que la question a été résolue.
Samantha Geimer a cessé de chercher à obtenir des fonds auprès du cinéaste et a écrit, dans une lettre datée du 28 mai 1997 adressée au juge chargé de l'affaire, qu'elle était favorable à un retour du cinéaste aux Etats-Unis, jugeant "excessif" le séjour de 42 jours qu'il avait effectué en prison dans cette affaire en 1977.
Le réalisateur, qui se rendait au festival du film de Zurich pour y être honoré, a été arrêté dans cette ville à sa descente d'avion il y a une semaine, à la demande du bureau du procureur de Los Angeles. Il pourrait, dans les 40 jours, être extradé vers les Etats-Unis.
On est très tenté de le suivre mais peut-être aurait-il dû donner plus de poids à la perversité de l'acte. Céder à ses pulsions sexuelles quand la 'partenaire' est une adolescente de 13 ans n'est pas une fatalité.
Il n'est pas facile de pencher d'un côté ou de l'autre d'autant que l'honnêteté commande de vérifier une fois de plus que l'argent et la notoriété sont des atouts décisifs lorsqu'on a maille à partir avec la justice. Dans cette affaire, chaque argument de principe (avancé sans arrière-pensée) mérite sa place dans la balance. Le plus difficile est d'équilibrer l'ensemble des 'pour' et des 'contre' pour que la justice soit rendue en toute objectivité. Il ne faut pas rêver, la politique est présente jusque dans l'air que nous respirons. Idem pour l'affaire Mitterrand.