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Communauté JuiveUne femme couverte d’un Talith et portant un Sefer Torah arrêtée au KotelLa police a détenu une femme membre des Women of the Wall (les femmes du mur) ce matin après qu’elle ait revêtu un talith, châle de prière, et porté un Sefer Torah (rouleau de la Torah), en violation d’une une décision de justice. Les actes de cette femme ont créé des perturbations lors des prières de Rosh Hodesh.
Il doit être noté que la haute cour de justice avait précédemment décrété que les femmes de ce mouvement devaient se soumettre aux coutumes du site.
Chaque Rosh Hodesh, le premier jour du mois, des femmes du mouvement tiennent une prière « festive », commune aux hommes et femmes, dans le périmètre face au Kotel, et ensuite rejoignent l’Arche de Robinson, adjacente, en conformité à un compromis signé avec la haute cour de justice.
Ce matin, 40 femmes ont participé à cet événement, ce compris une femme tenant un Sefer Torah ramené de sa maison, à la place de le laisser dans son sac. Des membres de la Fondation du Patrimoine du Kotel ont fait valoir que l’acte était en violation de la loi et ont appelé un officier de police qui a procédé à l’arrestation de la femme et l’a conduit au poste de police pour l’interroger.
En conséquence, le reste du groupe de femmes membre du WOW s’est rendu au poste de police pour y protester et finir leur prière à l’extérieur du bâtiment.
La présidente du WOW, Anat Hoffman, a déclaré que « c’est la première fois en 21 ans que l’une d’entre nous est arrêtée. La femme arrêtée est une jeune étudiante qui a quitté Beer Sheva à 4h30 du matin pour venir prier avec nous. Maintenant elle n’arrête pas de pleurer. »
Hoffman a également indiqué, « il est impensable qu’un citoyen de l’état d’Israël soit arrêté pour avoir enfilé un châle de prière et pour tenir un rouleau de Torah. Il y avait des centaines de personnes de l’autre côté qui faisaient la même chose et rien ne leur est arrivé. »
Hoffman fait valoir que la jeune femme avait seulement tenté de porter le Sefer Torah jusque l’Arche de Robinson. D’un autre côté, le Rabbin du Kotel, Shmouel Rabinovitz a expliqué que les femmes avaient déjà préparé le Sefer Torah en vue d’en faire la lecture sur le site du Kotel lui-même, enfreignant ainsi la loi.
Le Rabbin déclare, « c’est un acte de provocation qui cherche à transformer le Mur Occidental en un territoire contesté et ce en violation avec une décision de la haute cour de justice. Une prière qui cause des conflits et la profanation de la sainteté du Kotel n’a aucune valeur. C’est un acte de protestation. »
Rabinovitz a par la suite déclaré regretter que différents organismes tentent de compromettre le Mur Occidental, pour des « intérêts politiques ».
« Le Kotel a toujours été exclu de ces intérêts. Faisons en sorte que l’endroit le reste dans le futur. » Articles connexes
467 commentaires
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je ne parle pas de Hamamet en ce moment il fut une époque ou cette ville était interdite aux Juifs du moins ceux qui n'étaient pas des notables c'est un fait connu.
Bien entendu que je suis ton ami
Après la mort de Hananel et Nissim, vers 1050, l'académie se vide et les événements politiques ultérieurs désorganisent la communauté, ainsi que sa vie intellectuelle. En 1045, le souverain ziride Al-Muizz ben Badis (1015-1062) persécute les sectes « hétérodoxes », dont les Juifs, malgré l'intervention personnelle de Samuel ibn Nagdela, vizir du sultan de Grenade. En 1050, Kairouan est dévastée par les Hilaliens et les Banu Sulaym, dépêchés par les Fatimides d'Égypte. La communauté juive, fortement amoindrie, migre en majorité vers Tunis.
Les Almohades, appelés à l'aide en 1207 par Hassan ibn Ali, le dernier des Zirides, nomment Abu Muhammed al-Hafs gouverneur de la province de Tunis. Durant le règle de sa dynastie, de 1236 à 1249, les Juifs de Kairouan connaissent un bref répit. Cependant, en 1270, au cours du règne d'Abu 'Abd-Allah Muhammed al-Mustansir Billah (1249-1277), Louis IX de France, dit saint Louis, entreprend une croisade contre Tunis. Le fanatisme religieux du prince et du peuple s'enflamme et se retourne particulièrement contre les Juifs de Kairouan et d'Hammamet. Sommés de choisir entre l'exil et la conversion, les Juifs abandonnent pour la plupart Kairouan. Certains se convertissent à l'islam ; leurs descendants vivraient encore à Kairouan et se distingueraient des autres musulmans par certaines coutumes, comme la fermeture des magasins le samedi.
À partir de 1270, et jusqu'à la conquête de la Tunisie par la France, il est interdit aux Juifs et aux chrétiens de passer la nuit à Kairouan ou Hammamet, et un permis spécial délivré par le gouverneur est nécessaire pour y entrer le jour. Seules les tombes juives témoignent encore du florissant passé juif de Kairouan.
Sources [modifier]
oui c´est vrai Chaya fait des conferences avec les deux, mais tous ses cours sur video c´est que des garcons, contrairement aux autres, quelle difference entre les cours dans les yechivots et les conferences, le rav risuqe d´approcher de trop prés?
Envoyé par Elie_010 - le Samedi 21 Novembre 2009 à 22:27
tu sais ce qu'est une yeshivah elie ? c'est un centre ou les jeunes gens a partir de leurs 13 ans, etudient et dorment. une (pension tamuldique) ca te va ? donc le rav ron chaya est enseignant dans une ces yeshivoth.
les conferences ? c'est un shihour qui est donne dans un local mis a la disposition d'un rav, par la mairie, ou encore, si tu le veux, tu peux aussi recevoir ce rav chez toi (comme tu peux le voir pour le rav dynovisz, ou il fit son shihour sur obama dans la maison d'un particulier. c'est aussi une mitzvah. pas plus complique que ca...
je me souviens plus du gout, je sais juste que c´etait bon
Sonia,
Comme quoi il a fallu la conquete par la France pour y avoir droit, apres ca on va encore lire que les Juifs etaient bien recus en terre arabe.
Jocelyne,
oui c´est vrai Jocelyne, j´oubliais qu´on y dormait aussi, j´ai de la famille qui a étudié à la yeshiva de strabourg.
Tu vas pas me la piquer je l´ai decouverte avant toi.
L’Algérie juive a représenté deux mille ans d’histoire. Cette culture et ces traditions juives ont perduré avec un caractère spécifique jusqu’à l’indépendance, et se sont prolongées ensuite, en France et en Israël, en pieuse mémoire. La génération de ceux qui ont fui l’Algérie algérienne est riche de ce patrimoine mémorieux, elle entend le conserver et le transmettre. Car nous, Juifs, sommes peuple de mémoire. Nous ne jetons rien, nous n’oublions rien, nous transmettons tout avec piété, avec ferveur, avec espoir.
Que reste-t-il, en vérité, de notre Algérie ? Les pierres tombales sont dispersées dans des cimetières non protégés et voués à la désolation ou à la démolition. La jeunesse algérienne, dans sa grande majorité, ignore aujourd’hui que des Juifs en très grand nombre ont peuplé leur terre depuis des siècles, voire des millénaires, et qu’ils ont contribué, par leur apport, par leur culture, par leur foi inébranlable, à l’histoire de l’Algérie. Mais aussi l’histoire du peuple juif nous a appris qu’en leur long et dramatique nomadisme, la seule chose que les Juifs ont toujours emportée avec eux, sauvée et préservée, c’est le Livre ― notre Torah ―, nos Livres ― le Talmud ―, et aussi nos récits, nos traditions écrites et orales, nos fables. Le grand-rabbin Naouri sauvera au péril de sa vie le précieux Séfer-Torah de la Ghriba miraculeuse de Bône et que l’on peut venir voir, caresser, choyer aujourd’hui à Jérusalem. Bien d’autres faits et anecdotes sont présentés dans le livre que voici.
Depuis tant d’années, mes amis d’Alger, mes camarades de synagogue, ceux du Grand-Temple de la rue Randon où nous allions toujours, de la synagogue de la rue Sainte (où j’accompagnais mon père le samedi après-midi) et de la synagogue de la rue de Dijon (où, enfants de chœur, nous chantions aux mariages), ont entrepris de sauvegarder cette mémoire en publiant chaque année un petit calendrier, comme nous en avions à Alger, et c’était celui que confectionnait et diffusait le rabbin Dadouche, notre mohel qui nous avait tous circoncis ; et la somme de ces calendriers a composé une réserve précieuse de tout ce que nous avons vécu : les lieux, les temples, les rabbins, les coutumes, les familles et tous ces patronymes que nous voulons garder en mémoire
Je suis aussi pour toute la richesse que raconte des cours avec filles et garçons .
D'accord avec toi pour le risque que cela comporte
Mais garçons et filles n'ont pas a payer le prix du laxisme ambiant
des règles claires pour les vêtements par exemple
je serais pour le retour de la blouse
tous la même
C'est reposant et cela enlève ces discrimination entre le dernier survêt a la mode et les tenues provoc
Bref poser des conditions incontournable
se serai plutôt sain ,,
En France ,dans les écoles que j'ai côtoyé après le nombril a l'air et pantalon qui tombe sur les genoux un retour a la logique semble naitre .
Pas de tenue de plage , nombril caché ,
Ce sont les bases simple qui manque a ce que pourrait la complémentarité des questionnements
le but étant d'étudier chaqu'un ' un doit rester à sa place
As tu regardé la journée de la jupe avec adjani ?
Le laxisme la tolérance quand elle cautionne le tout et le n'importe quoi ,
ne sert que l'extrême
Si je pensais une seconde que regarder une vidéo de 1heures ou 10 heures ,,,, suffit
Si je pensais qu'on peut quantifier dans le temps ,,, Un pack avec 100 heures sur le judaïsme clef en main
je zapperais
C'est justement parce que je ressens comme vrai la démarche qui raconte qu'une question a laquelle on a répondu amène d'autre questionnement , amène a aller plus loin dans la recherche que j'irais voir
Connaitre un sujet pour moi c'est reconnaitre qu'on peut toujours apprendre
Etape par étape
logiquement une étape amenant l'autre
l'important pour moi c'est le cheminement ..
Chacun avec sa sensibilité .. même si le sujet traité est identique
les mots ,le ressenti ce que l'homme met de lui dans le partage est primordial
la fois ou ca été le plus dur pour moi ,le plus difficile a vivre
tous les grands mots n'ont pas fait écho en moi ..
comme un vide complet
une phrase toute simple m'a secoué ... 20 ans après je m'en souviens et je remercie régulièrement ce gars la qui
m'a dit cette simple phrase ..pas noyé dans un discours .. pas culpabilisante ..
les mots juste :j'étais comme aveugle ,sourde ,muette complètement enfermé ..
et cette phrase a traversé mon enferment ,
Tout ca pour dire que les rabbins aussi n'échappent pas a cette règle ,,la façon de partager en fonction de leur propre interrogation ,de leur force et de leur faiblesse
certain font écho d'autre moins ,,question de sensibilité ,