Communauté Juive

Il est évident qu’il n’est jamais trop tard pour apprendre et pour accomplir.


Envoyé par Roland_002 - le Jeudi 19 Novembre 2009 à 16:34

c'est un texte magnifique roland, et il definit si bien ce qu'est le peuple juif !

"Toi qui es plein de miséricorde, Maïtre de la Vérité et de la Paix.Tu sais d'ou viennent toutes les querelles du monde, particulièrement celles qui prévalent de nos jours entre les Sages et leurs fidèles.
Hélas ! Combien ont été déchus à cause de leurs différends.
Aie pitié de nous et dévoile enfin la vérité des vérités dans le monde, accomplis ce que Tu dois accomplir dans Ta miséricorde et qu'il y ait parmi nous, dans tout Israël, Ton saint peuple que Tu as chosi, une grande paix et fraternité." Likoutey Tefiloth. Breslev
Envoyé par Julia - le Jeudi 19 Novembre 2009 à 16:12

AMEN VEAMEN !!! bravo julia de calmer le jeu, mais ce sont des ma'hloketh et c'est un shiour TORAH a notre actif AUJOURD'HUI ! que HACHEM EN TIENNE COMPTE AMEN !

Oui, Jocelyne, que HACHEM EN TIENNE COMPTE AMEN!

Jocelyne , le clavier de votre ordinateur doit être en ébullition ? et votre tête n ' est elle pas en compteur à gaz ?

Jocelyne , le clavier de votre ordinateur doit être en ébullition ? et votre tête n ' est elle pas en compteur à gaz ?
Envoyé par Jacqueline_013 - le Jeudi 19 Novembre 2009 à 18:06

non jacqueline, en israel nous en sommes a l'energie solaire

la situation aujourd’hui de la femme en judaïsme ne peut se comprendre, et se contester, que par l’examen des sources scripturaires – Torah écrite (Pentateuque) et orale, Talmud (transcription de celle-ci), et ses interprétations cumulées et commentées (Michna et Guemara). En ces sources longuement déchiffrées et diffusées, s’est décidé un statut de la femme qui l’écarte de toute lecture, et a fortiori de tout enseignement, du Talmud, c’est-à-dire de ce qui constitue, selon l’expression de Sarah Lipsyc, « la clé de voûte de la loi juive ». Ainsi les femmes sont-elles « soumises à une loi sans y avoir été initiées ». Tout converge en judaïsme traditionnel vers cet interdit fait à la femme d’accéder à l’espace du sacré, dont il lui est cependant réclamé d’observer les préceptes et les rituels. Tout, depuis le système juridique (« halakhique ») jusqu’aux récits et paraboles régissant la vie quotidienne (aggada, midrach). Comme il en va souvent en matière de loi, la source en peut être, selon S. Lipsyc, une interprétation tendancieuse du terme définissant le récepteur de la Torah : « ben », fils (au sens restreint), ou enfant (au sens plus général, donc fils/fille). Privilégier la première acception est faire un choix déterminant dans l’économie de la Loi, dont seuls les hommes seraient les destinataires légitimes. De l’Antiquité (rabbi Eliezer, iiie siècle) au Moyen Âge (Maïmonide), théologiens, rabbins et philosophes vont ainsi justifier l’interdit qui rejette la femme dans la seule observance d’une loi dont elle n’a, à vrai dire, ni science ni connaissance. « Plutôt brûler les paroles de la Torah que de les confier aux femmes ». Initier les femmes à l’étude de la loi « est au mieux inutile, au pire provoquerait des désastres », résume l’auteure, car la femme, privée de conducteur avisé et vigilant, n’y lirait que « bavardage » ou « insanités ». Mais ce qui se joue, en cette disjonction radicale de la loi et de la femme, c’est le maintien d’un ordre hiérarchique dont la première place revient « naturellement » à l’homme – et le travail de tricotage/détricotage des textes n’a que ce seul but : faire dire aux mots la prééminence du masculin.
Longtemps la femme juive fut donc exclue de la lecture de la Loi, et ne put occuper, dans la synagogue, qu’une place à l’écart, galerie séparée, ou rideau cachant l’office, sans jamais accéder aux fonctions sacerdotales. Longtemps ? Jusqu’à la fin du xxe siècle, qui lèvera les interdits. Mais la « lutte » pour cette véritable émancipation, dont on trouve plus d’un témoignage dans l’histoire religieuse du peuple d’Israël, toujours minoritaires et sans effets à long terme, commença réellement avec l’apparition du courant rationaliste et la figure et l’action de Hafetz Hayyim (1838-1933), qui demandait que l’on transgressât l’une des lois fondamentales de la Loi juive, afin que fût sauvé le judaïsme en tant que

en tant que ?
La suite la suite la suite Roland .

Lili:
"Heureusement que cette femme ne peut pas se faire la brit-Mila pour faire comme les hommes! A moins qu'elle soit contre la brit-Mila et dans ce cas, on y revient, elle ne pratique pas le judaïsme."

Tsiporah la femme de Moshe a bien circoncie ses enfants, non?

Joseph:
"Les femmes combattent dans toutes les armes elles selon moi tout à fait le droit de porter le Sepher de porter Tsitsit et Tephillines si c'est leur choix spirituel et que cela soit fait de manière ni ostentatoire ni incorrecte."

Joseph, mais alors, selon toi, que veux dire la Torah quand elle evoque pour les femmes, l'interdiction de porter des vêtements d'homme? Explique moi ce verset, stp.

En tout cas les femmes sont bien plus actives que les hommes sur le judaisme (meme sur le chrianisme d´ailleurs avec Danielle et France), elles defendent leurs idées bec et ongles.....allons jusqu´au tirage de chignon

"allant", bon bon ca va..oh la la