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Communauté JuiveLes appareils dentaires ne sont pas autorisés dans un MikvehUne nouvelle décision hala’hique a été prise récemment par le chef spirituel des juifs orthodoxes lithuaniens, le Rabbin Yossef Eliyashiv, qui interdit une femme adulte de porter un appareil dentaire lors de son immersion au Mikveh (bain rituel). Conformément à cette décision, les appareils placés sur les dents sont considérés comme étant un obstacle, et donc disqualifient l’immersion dans le bain rituel, également connu sous le nom de Mikveh.
Il y a quelques semaines, une personne a approché le Rabbin Eliyashiv afin de lui demander si un appareil dentaire est considéré comme étant un obstacle entre la femme se trempant au Mikveh après le cycle menstruel et l’eau.
Après une étude approfondie des textes, le Rav a répondu que ces appareils sont bien un obstacle entre la femme et l’eau, chaque partie du corps devant être un contact avec l’eau selon la hala’ha (Loi juive).
L’immersion rituelle d’une femme portant un tel appareil dentaire sera donc nulle, entrainant la prolongation de l’état de « nida », et empêchant donc tout contact physique avec son mari.
Une source proche du Rabbin a expliqué que même des saletés sous l’ongle d’un doigt sont considérées comme un obstacle qui disqualifiera l’immersion au Mikveh. Il a aussi noté que, selon la hala’ha, l’immersion d’une femme qui a l’intention de se couper les cheveux, mais qui s’immerge avant de le faire, est nulle, les cheveux représentant à ce stade un obstacle entre la femme et l’eau, ceux-ci n’étant déjà plus considérés comme faisant partie du corps.
Les orthodontistes et les dentistes pratiquant dans le milieu orthodoxe se préparent suite à la nouvelle décision hala’hique. Un cabinet dentaire a déjà publié un avis annonçant que des appareils dentaires amovibles sont dors et déjà disponibles. Ils ont même fait une offre spéciale pour les épouses d’étudiants en Yeshiva. 220 commentaires
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"La liberté, la vraie c'est de savoir remettre en cause les idées reçues et de tout passer au crible de la logique!"
Primo:
D' où te viens cette idée (recue) qu'"accordez des pouvoirs extraordinaires à l'Eternel", reviendrait à "un engagement total dans cette Shoah"?
Secundo:
D'où te viens cette idée qu'"ouvrir les portes des camps de concentration et mettre fin à ce calvaire" est du aux hommes (ou uniquement) et non pas à Dieu?
Tu aurais préférer cette idéé recue d'un Dieu magique ouvrant la mere en deux pour engloutir les allemands?
Tentons la logique:
Dieu n'a-t-il pas pu laisser les hommes vivrent librement selon leur responsabilité, pour finir par réagir?
Preuve en est:
Peux-tu expliquer pourquoi le peuple juif, qui a été le plus massacré au vu de l'histoire, est le seul à s'etre maintenue jusqu'aujourd'hui?
Pourtant des "ce n'est pas UN homme mais DES hommes qui ont mis fin à ce calvaire!" il y en a eu parmi CES peuples aujourd'hui disparu?
Claude:
" Pourquoi Dieu n'at-t-il pas créé dès le départ un monde d'où auraient été absents le Mal et la Souffrance?"
Si aux livres sur Darwin, tu te donnais aussi la peine d'ecouter des cours sur ce sujet, tu aurais certainement la reponse, peut etre insuffisante pour toi, tout comme celle de Darwin est insuffisante pour moi.
Shalom.
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On raconte que pendant la conquête napoléonienne, rav Chnéor Zalman de Liadi œuvra abondamment pour la victoire du Tsar, bien que cette démarche ne semblât pas être à l’avantage des Juifs. Le Maguid de Koznitz priait lui aussi pour la défaite de Napoléon, ce monarque qui prônait pourtant l’égalité des Juifs. Ces sages, par leur formidable perspicacité, voyaient à l’avance le danger que représentaient ces « privilèges » pour le judaïsme authentique. Des mouvements tels que la Réforme et la Haskala, qui sévirent considérablement en Europe de l’Est, prouvèrent combien ces grands hommes avaient vu juste.
*
Regrettablement, beaucoup de Juifs sont encore aujourd’hui convaincus qu’une assimilation intégrale au sein des nations serait susceptible de rendre leur vie meilleure. Mais déjà, à l’époque du prophète Yé’hezqel (20,32), ces thèses aberrantes étaient en vogue, comme en témoigne cette prophétie : « Ce qui vous vient à l’esprit ne se réalisera pas ; lorsque vous dites : “Devenons comme les nations, comme les familles des autres pays pour adorer le bois et la pierre.“ » Mais à ces tristes flatteurs, il convient d’opposer la réplique incisive du Bet haLévi (sur la paracha de Chémot) : « Le verset : “Tes huiles aromatiques sont suaves à respirer“ (Chir haChirim 1,3), est ainsi commenté par le Midrach Rabba : De la même manière que l’huile ne se mélange pas aux autres liquides, ainsi Israël ne se mélange pas aux enfants de Noa’h. [Cette division s’avère en effet imprescriptible], dans la mesure où le Saint béni soit-Il a donné au peuple juif la Tora et les mitsvot pour le distinguer des nations du monde, conformément au verset : “Je vous ai séparés des autres peuples pour que vous soyez à Moi“ (Vayiqra 20,26). Or, si le peuple juif en venait à se rapprocher de ces peuples, que D.ieu préserve, le Saint béni soit-Il devrait alors réactualiser leur différence en faisant naître la haine dans le cœur des nations – et ce, pour le bien du peuple juif, afin qu’il cesse de se mêler à elles. »
Et de fait, une analyse objective de l’Histoire prouverait que c’est précisément pendant les périodes où les Juifs ont rejeté le joug de la Tora et des mitsvot pour mieux s’assimiler aux nations, que l’antisémitisme les a frappés avec la plus grande cruauté.
Dans la suite de son commentaire, le Bet haLévi cite un passage du Zohar révélant que les enfants d’Israël furent exilés en Egypte notamment – au sein d’un peuple qui renia ses dirigeants, Yossef en l’occurrence, et leur attribua le statut d’esclaves –justement pour qu’ils restent à l’abri de l’assimilation. Cet auteur conclut son propos en ces termes : « C’est ce phénomène que, dans notre long exil, nous constatons ostensiblement en Hongrie et en Roumanie, où chaque jour la dose de haine contre les Juifs ne cesse de s’accroître. Or, si l’on s’en remettait à la raison et à la nature des choses, la haine devrait au contraire s’amoindrir au fil des jours, comme tout phénomène au monde qui débute avec puissance et qui ne cesse ensuite de régresser par l’effet du temps. Ainsi, notre exil aurait logiquement dû être plus terrible à son début que par la suite. L’explication de ce phénomène réside dans le fait que plus les Juifs tentent d’estomper la démarcation voulue par la Tora grâce à l’accomplissement de ses mitsvot, plus le Saint béni soit-Il accroît la haine dans le cœur des nations pour maintenir le but recherché, c'est-à-dire que le peuple juif reste séparé. »
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Dans l’ouvrage Yémot ‘Olam (page 60), l’auteur rapporte que lorsqu’éclata en 1870 la guerre franco-allemande – période où le mouvement de la Haskala régnait en maître dans ces pays –, le Maguid de Kelm annonçait déjà dans ses discours, 70 ans avant la Shoah et avec une lucidité percutante : « L’Allemand ne persécutera pas le Juif sans prétexte : le jour où il relèvera la tête, il ne se contentera pas d’être un “simple“ ennemi d’Israël. Pour persécuter les Juifs, il établira un authentique “code légal“ institutionnalisant la haine du peuple juif, que D.ieu nous protège. Prenez aujourd’hui note de ce que j’avance ! C’est à cause de la transgression de notre Choul’han ‘Aroukh par Geiger [l’un des chefs de file de la Réforme], qu’un nouveau “Choul’han ‘Aroukh“ version allemande sera rédigé, dans lequel on pourra lire : “Le meilleur des Juifs, tue-le !“ Que D.ieu nous garde et nous protège ! »
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Peu après le congrès de la Réforme de Brunswick – lors duquel fut proclamée notamment une autorisation des mariages mixtes – rav Israël Salanter avait également formulé une idée semblable : « Au regard de cette permission, affirma-t-il, viendra un jour où les nations décréteront pour elles-mêmes une défense de contracter un mariage avec un Juif. » Et de fait, un peu moins d’un siècle plus tard, les nazis proclamèrent les sordides décrets xénophobes connus sous le nom des « Lois de Nuremberg ».
Dans le même ordre d’idées, Rabbi Meïr Sim’ha de Dvinsk écrit dans son Or Saméa’h (sur la paracha de Bé’houqotaï) : « Parce que l’homme “éclairé“ considère Berlin comme Jérusalem, surgiront la tempête et la tourmente. »
Effectivement, pendant la Shoah, les Allemands pourchassèrent ces Juifs réformés en enquêtant sur leur ascendance, et toute personne dont certains grands-parents étaient Juifs était sur-le-champ condamnée à la déportation. Beaucoup de ces hommes et femmes avaient pour leur part même oublié leur identité juive. Mais les ennemis d’Israël ne les épargnèrent pourtant pas : les traquant dans leurs retranchements, ils leur rappelèrent qu’ils n’appartenaient pas à la « pure race aryenne ». C’est de cette manière que s’accomplit, d’une manière ou d’une autre, l’annonce du verset : « Je vous ai séparés des autres peuples. »
Ces différents exemples révèlent la pertinence de la vision de la Tora sur le rapport réel qui existe entre le peuple juif et les nations du monde, mise en relief par le Bet haLévi : Toute intégration superflue au sein des nations constitue un danger moral pour le peuple juif. Par conséquent, les persécutions antisémites ne sont que le reflet de la Volonté divine d’entretenir cette distinction entre Juifs et non-juifs.
*
Pour illustrer cette idée, le ‘Hatam Sofer donnait l’image suivante : le soleil et le vent avaient fait le pari qu’ils seraient capables de faire ôter son manteau à un voyageur. Le vent se mit donc à souffler puissamment et frappa l’homme avec vigueur, mais en vain : plus le froid l’agressait, plus l’homme se calfeutrait dans la fourrure de son manteau. Lorsque vint le tour du soleil de faire ses preuves, il darda ses plus puissants rayons et fit régner sur terre une chaleur suffocante. Suant à flots, l’homme desserra petit à petit l’étreinte de son manteau et finit par l’enlever totalement.
L’idée à laquelle ce maître faisait référence est simple : de tout temps, les persécutions ont contribué à renforcer la fidélité du peuple juif à la Tora. A contrario, les prétendus « avantages sociaux » n’ont fait qu’accroître le danger moral, en encourageant les réformes de tous bords et l’abandon du judaïsme authentique. Si le peuple juif apprend à entretenir cette distinction entre lui et les nations du monde, en restant scrupuleusement attaché aux principes de la Tora, nul autre recours ne sera nécessaire pour maintenir la sentence du verset : « Je vous ai séparés des autres peuples pour que vous soyez à Moi. »
Extrait du Lekah Tov, Béréchit Tome 2, disponible en librairie
"Et puis si Dieu a ouvert les portes, cela implique qu'il a laissé faire avant! Alors? C'est plein de contradictions ces raisonnement."
C'est plein de contradictions, parce que ton raisonnement est plein d'idées recues, qui dit que Dieu à ouvert les portes, qui dit qu'il a laissé faire, qui dit qu'ouvrir les portes c'est laissé faire, la fermer n'aurait-il pas donner pire? comment laisser le libre arbitre sans laisser faire, en fermant la porte, etc etc....on pourrait en faire des milliers de possibilités, et tu me fais : "M oi je n'interprète rien, je constate!", tu constates que ce que tu vois, pas ce que tu percois.
Claude:
"Le fait que tu croies en Dieu ne m'amenerait pas à te laisser tomber si tu étais en danger!"
Encore une fois qui te dis que je crois?
Envoyé par Hilda - le Vendredi 19 Février 2010 à 09:04
Ce n'est pas moi qui le dit mais le Rav Dynovisz...
En ce qui concerne votre fantasme, quelque chose ne va pas...dans la description que vous en avez fait, il y a une incohérence. Je vous laisse trouver l'erreur vous-même. Et gardez-la pour vous, il y a des choses qui sont du domaine privé...Votre maman et votre papa ne vous ont pas appris cela ?
N'est-ce pas dans le cabinet d'un psy que vous devriez dire "tout ce qui vous passe par la tête sans censure"
Ici, une petite gène serait la bienvenue...
Envoyé par Claude_067 - le Vendredi 19 Février 2010 à 07:58
Si D.ieu ne nous laissait pas notre"Libre-Arbitre" nous ne serions pas des hommes ( et des femmes)...
Concernant la croyance ou la non croyance en l'existence de D.ieu... cela relève strictement de la "confiance" face aux réalités concrètes que nous pouvons ( dans notre mesure) analyser. Personnellement si je crois en D.ieu c'est à cause du peuple juif... du fait que la seule raison d'existence du peuple juif a été d'être le gardien de la Torah" Avant, c'était la "musique" qui me faisait avoir confiance que D.ieu existe.
J'ai toujours cru que notre esprit "fini" n'était pas en mesure de DÉCRÈTER l'existence et/ou la non existence de D.ieu. Mais quand j'ai découvert le peuple juif et Sa Torah... bien des choses ont trouver du sens "pour moi"...
..................................
Je ne rends pas Dieu responsable, sauf s'il existe et ça, tu ne peux le faire passer à la trappe
Envoyé par Claude_067 - le Vendredi 19 Février 2010 à 11:49
En quoi l'existence de D.ieu nous déresponsabiliserait-elle ?
......................................
Comment pourrait-on prouver avec notre esprit fini ce qui relève de l'Infini ?
C'est impossible... La croyance relève de la Fidélité... 3500 ans fidèle à la Torah...
Envoyé par Claude_067 - le Vendredi 19 Février 2010 à 11:56
Quand la Vie est écrite en majuscule , dans un appel au respect, je le reçois comme un message de D.ieu...
D'où te vient ce respect ?
Pourquoi n'est-il pas présent dans chacun des êtres humains ?
Que disent les cientifiques à ce sujet ?
C'est un plaisir de te lire Claude, j'ai les mêmes questions que toi...elles reviennt avec une régularité amusante.
Je ne me sens concerné que par la phrase que j'ai relevé. Elle abonde dans le sens de ma réflexion sur le thème de la Shoah. Cela ne m'engage ni en faveur ni contre les autres dires d'Elie. Je n'ai pas abordé le différent relatif à l'existence ou la non-existence de D...
Mon sentiment, (que j'ai déjà développé) le voici:
Je déplore qu'on justifie la Shoah comme étant le prix de nos infidélités.
Le coupable, c'est l'homme. Accuser D..., c'est avant tout dédouaner ce loup qui ne demande qu'à recommencer.
Ayant beaucoup de respect pour ceux qui ont survécu à la Shoah, je m'efforce de rester le plus humble possible lorsque j'émet un avis.
Dieu existant et ayant laissé faire me pose aussi problème. Mon entendement refuse cependant de déduire que c'est la preuve de sa non-existence ou de ses insuffisances. C'est pourquoi je pose la question : sommes-nous aptes à rationnaliser une éventuelle réponse qui rendrait à D... sa dignité si cette réponse est inscrite dans une dimension qui nous échappe ? Ce qui ne relativise nullement l'injustice telle que nous la percevons en tant qu'humains
Claude, reconnaîtras-tu que tu as eu l'amalgame facile ?
Et toi, Jean, J'ai bien noté que tu ne savais pas trop ou me parquer. Ennemi ? Ami ? Tu viens de franchir le pas. Cela me déçoit et me donne à penser que certaines allusions pas très flatteuses pouvaient tout aussi bien me concerner.
Affectionner Elie doit-il nécessairement me mettre hors de portée de ta considération ? Dois-je être embarrassé chaque fois que je le trouve brillant et que je marque mon appréciation ? Cois-tu que je me gênerais de lui opposer un avis contraire le cas échéant ? Jusque-là, il était évident à mes yeux qu'il était acquis aux tiens que je me refuse à intégrer un clan. Ainsi, j'aurais subi des influences qui m'auraient éloigné de l'ami constantinois que tu appréciais. Ton jugement t'appartient. Tu es un homme intelligent, un peu fou parfois, mais indéniablement intelligent. Si tu dis que je me suis fourvoyé, je ne peux qu'en prendre acte. Du point de vue du respect de la personne, je pense tout de même que je dois avoir un petit point d'avance sur toi.
Je suis sensible au fait que tu aies pensé à me faire parvenir la vidéo d'Enrico. Point de regrets à avoir Jean, je l'ai déjà visionnée. Les Frères Nakache étaient mes voisins de quartiers et parfois, mes compagnons de jeux. Je me souviens avoir été le premier à mettre une mandoline entre les mains de l'un d'eux.
Hilda, permets-moi de te rappeler que je n'ai jamais eu un mot déplacé à ton égard. Lorsque tu me juges, laisse l'emporte-pièces au vestiaire et illustre. Je suis tout disposé à reconnaître mes torts, faut-il encore sortir des généralités pour être plus factuelle.