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Communauté JuiveHistoire juive : importante découverte archéologiqueL'événement est d'une telle importance qu'un grand rassemblement est prévu sur le site durant Hol Hamoed souccot. Au hasard d'une promenade, un habitant de la localité de Beit Horon a découvert aux alentours un antique site comprenant au moins six villages des époques du 1er et du 2e Temple. Ayant aperçu deux colonnes de marbres [...]
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"Dire qu'Israël applique l'apartheid envers les palestiniens relève de la propagande pure est dure comme celle des sionistes qui tentent de relier les arabes au nazisme!"
Ce numéro 4 contient un dossier de 12 pages sur les liens historiques entre Nazisme et islamisme.
http://coranix.org/biblio/mystemps.htm
Et cette alliance n'a en aucun cas été établie dans le but de MASSACRER des juifs!
Envoyé par Mustapha_006 - le Lundi 20 Septembre 2010 à 21:21
mustapha, Tu as sur cette simple remarque, perdu toute credibilité
Lors de sa rencontre avec Adolf Hitler et dans ses émissions de radio, Hadj Amin al-Husseini affirmait que les juifs étaient les ennemis communs de l’islam et de l'Allemagne nazie Les notes sur cette rencontre sont prises par Paul-Otto Schmidt. Dans son compte rendu, Schmidt rapporte les propos de Hitler au Mufti. Hitler expose certains projets stratégiques au Mufti, notamment, celui d’atteindre la porte sud du Caucase. Schmidt note alors : « Dès que cette percée sera faite, le Führer annoncera personnellement au monde arabe que l’heure de la libération a sonné. Après quoi, le seul objectif de l’Allemagne restant dans la région se limitera à l’extermination des juifs vivant sous la protection britannique dans les pays arabes»
Dans ses mémoires, Al-Husseini a rapporté qu'à l'été 1943, lors d'une entrevue avec Himmler, ce dernier lui avait confié que plus de trois millions de Juifs avaient déjà été exterminés
Israel, Eden TRATNER
le Mufti était profondément antisémite. le Mufti colportait l'idée que les Juifs avaient provoqué leur propre Holocauste et qu'ils étaient suffisants enracinés dans leur croyance d'être le peuple élu Dans le contexte de sa thèse selon laquelle la Guerre de 1948 était perçue par les Arabes comme une Jihad, il souligne que le Mufti faisait référence au Coran dans ses attaques contre les Juifs[
Ce point de vu est également partagé par d'autres chercheurs. Ainsi, dans une étude portant sur les possibilités de voir la solution finale s'établir en Palestine, une équipe d'historiens de l'université de Stuggart écrit que « Le Grand Mufti de Jérusalem, Hadj Amin al-Husseini, était le plus grand collaborateur des Nazis dans le camp arabe et un antisémite sans compromis
"pour ce qui est du grand mufti de Jéru, sa démarche relevait d'une stratégie d'alliance avec l'Allemagne (certes, qui s'est révélée foireuse par la suite, comme c'était le...),afin de se débarrasser des mandataires franco-anglais!
Et cette alliance n'a en aucun cas été établie dans le but de MASSACRER des juifs!"
Tuez les Juifs partout où vous les trouverez. Cela plaît à Dieu, à l’histoire et à la religion. Cela sauve votre honneur. Dieu est avec vous. [L]es Allemands n’ont jamais causé de tort à aucun musulman, et ils combattent à nouveau contre notre ennemi commun. Mais surtout, ils ont définitivement résolu le problème juif. Ces liens, notamment ce dernier point, font que notre amitié avec l’Allemagne n’a rien de provisoire ou de conditionnel, mais est permanente et durable, fondée sur un intérêt commun. Haj Amin al-Husseini (mufti de Jérusalem, discours sur Radio Berlin, le 1er mars 1944).
Le Mufti avait démontré sa profonde judéophobie à plusieurs reprises depuis les pogroms de 1920-29-36-39 ce qui laissait espérer un terrain d'entente aisé à obtenir. Il avait réussi à se rendre indispensable aux Britanniques puisqu'il affirmait être le seul à pouvoir apaiser l'insurrection qu'il avait contribué à déclencher. L’Allemagne nazie trouvait donc dans la personne du mufti, et plus largement parmi ses réseaux, un appui solide et d’autant plus précieux qu’il était membre du Comité Supérieur Arabe censé représenter les Arabes auprès des autorités britanniques.
Quand au mufti satanique, pas de doute, il est le père du nazislamisme et ses descendant direct comme leila chaïd , gère des pactoles volés aux Juifs en bosnie et dans d'autres contrée, il est le responsable du massacre d'Hébron avant la deuxième guerre mondiale.
Il était (et il n'était pas seul) la pire des incarnation dans tout le moyen-orient,là il n'y a pas de doute, mais il faut souligner que lorsque ses troupes de wafen ss ont pris pied au Kossovo et en Albanie, les Musulmans de ces deux "états" n'ont livré aucun Juif aux nazis, comme Mohamed IV aucun Juif n'a été déporté des voisins de la bosnie, état complétement nazifiés grâce au mufti Hadj Amin al-Husseini, cette puante ordure, préférant les petits garçon dont arafat fut le jouet sexuel depuis sa petite enfance !
Proférer des propos islamophobes n'est pas la vocation de Juif.org, de toute façon, plus besoin de les accabler, ils sont assez la m rde tout seuls, des nazis on en a assez chez nous et si vous voulez connaitre mon sentiment, ils me pèsent dans le froc 100 fois plus que ces petits musulmans ne voulant pas complétement se dénigrer.
Les pays arabes sont dans une colle sans diluant, leur situation est indéfendable mais il n'y a pas des kilomètres à débattre dans cette absurdité sans fond.
Nous n'allons pas continuer de trainer des godasses embourbées de vielles rancunes pendant des semaines, j'ai osé, bien que comparaison ne soit pas raison, mettre dans la balance les massacres musulmans et les génocides, pogroms et autres massacres commis par le monde chrétien, et je me suis vu transformé en carrosse par toute la bande !
Une chose est néanmoins clair, le nazislamisme fonctionne beaucoup moins que le nazisme chez les chrétiens et même à l'aube où se nazisme musulmans se retourne comme un boomerang sur le monde chrétien, des Juifs semblent vouloir les jalouser !
Laissons les islamsites faire leur cuisine en Europe, tout ça de prit aux "allemands", car dans le fond, ils détestent plus les chrétiens que les Juifs !
Le Mufti avait, quant à lui, ses propres visées sur les possibilités offertes par sa collaboration avec le régime nazi. La photo ci-contre le montre, lors de l’une de ses rencontres avec Hitler.
Le 21 Juillet 1937, il décida de resserrer ses liens avec l’Allemagne en rendant une visite officielle au Consul général allemand Döhle, en Palestine.
Il présenta son soutien en faveur de la politique menée par l’Allemagne, en déclarant «qu’il voulait savoir jusqu’à quel point le Troisième Reich était prêt à soutenir le mouvement arabe contre les Juifs». Bien que les Allemands aient officiellement refusé de changer leur politique, ils décidèrent de porter plus d’attention à la Palestine. La révolte arabe de 1936-1939 avait déjà bénéficié de l'appui direct, financier et militaire, de l'Allemagne et de l'Italie. Les Archives du Haut Commandement de l'armée allemande saisies à Flensburg après la deuxième Guerre Mondiale avaient livré un rapport selon lequel "seuls les fonds mis à la disposition du Grand Mufti de Jérusalem par l'Allemagne lui avaient permis d'organiser la révolte de Palestine".
En septembre 1937, deux jeunes officiers SS, Karl Adolf Eichmann et Herbert Hagen, furent envoyés en Palestine, «afin de se familiariser avec le pays et son mode de vie, et d’établir des contacts avec les gens», dont le Mufti. Il y eut donc rencontre entre ces représentants du régime nazi et les représentants du Mufti. Leurs tractations constituaient, en fait, les préliminaires de la liquidation, "à l'allemande", du Foyer National Juif en Palestine. La presse arabe de l'époque s'associait au "Martyre du peuple allemand sous le joug de la juiverie internationale". Des portraits d’Hitler et de Mussolini, ainsi que des drapeaux nazis étaient fréquemment arborés par les populations arabes.
Bien que le Mufti ait échappé à plusieurs arrestations des autorités britanniques, il refusa de se réfugier parmi les Libanais musulmans, il se trouva bientôt investi par le Reich de la fonction d’agent de l’Allemagne nazie en Palestine. Ce rôle devait parfaitement lui convenir, car, selon Brenner, un spécialiste de l’histoire de cette période, le Mufti figurait parmi les bénéficiaires des salaires versés par Abwehr II, la division allemande de sabotage et du contre-espionnage. Yisraeli, quant à lui, estime que le Mufti commença à percevoir de l’argent allemand dès 1936 (David Yisraeli, Germany and zionism, Germany and the Middle East, 1835-1939). En 1938, Abwehr II avait pour plan de livrer des cargaisons entières d’armes au Mufti, par le biais de l’Arabie saoudite et de l’Irak. Les transferts furent annulés en raison des vives protestations des Britanniques.
Comme les forces de l’Axe ne pouvaient s’immiscer plus avant dans la politique en Palestine, ce fut l’Irak qui devint victime de ces alliances à travers l’organisation massive du Mufti. Les Irakiens en firent un héros national, et il établit son quartier général à Bagdad. Le gouvernement irakien finança ses activités, ainsi que ses nombreuses «oeuvres de charité», établissant des taxes particulières qui touchaient les officiels irakiens, ainsi que des donations aux Arabes palestiniens. S’ajoutaient à tout cela de très importantes contributions émanant de l’Allemagne, de l’Italie, de l’Arabie saoudite, et de l’Egypte. Tout cela permit au Mufti de vivre très confortablement tout en menant sa propagande contre les Juifs et les Anglais.
Sa propagande consistait à organiser un groupe d’officiels irakiens en faveur de l’Axe. Au début de 1941, le Mufti et le «Cercle d’Or» d’officiers de l’armée irakienne pro-allemands, menés par Rashid Ali, forcèrent le premier ministre irakien, Nuri Said Pasha, pro-britannique, à démissionner. En mai, il déclara le jihad contre la Grande Bretagne. Cela signifiait que les Musulmans, ou du moins ceux qui décidaient de suivre son édit, étaient tenus de combattre l’Angleterre, «ce grand ennemi de l’Islam». Le coup en faveur de l’Axe fut d’une efficacité limitée dans le temps. En quelques mois, les troupes britanniques écrasèrent la rébellion, et le Mufti dut disparaître à nouveau et se réfugier, cette fois, en Allemagne, en passant par l’Iran, la Turquie, et le bureau de Mussolini à Rome.
Le Mufti avait accusé les Juifs irakiens d’avoir été à l’origine de l’échec du coup d’État en Irak. Il traita les Juifs de «cinquième colonne de l’Irak», eux dont les ancêtres étaient installés dans ce pays depuis l’exil de Babylone. Des soldats irakiens et des civils convaincus par le Mufti attaquèrent les Juifs qui s’étaient rassemblés en public pour accueillir le nouveau gouvernement. Les conséquences furent terribles : 600 Juifs furent tués, des milliers blessés dans le Fahrud, et 586 magasins et hangars vandalisés et pillés. Une commission d’enquête, nommée par le gouvernement irakien, découvrit que Haj Amin avait été l’une des personnalités instigatrices du pogrom. Comme sa politique avait progressivement consisté à accuser les Juifs des maux dont souffrait le pays, il n'est pas surprenant qu’il se soit allié au gouvernement nazi à Berlin.
Le 20 Novembre 1941, le ministre allemand des affaires étrangères, Joachim von Ribbentrop, le reçut à Berlin. Leur conversation fut un préalable à la conversation du Mufti avec Hitler. Les thèmes abordés furent rapportés fidèlement dans le carnet de notes de Ribbentrop et dans le journal personnel du Mufti :
«Le Mufti... Les Arabes sont les amis naturels des Allemands... C’est pourquoi ils sont prêts à collaborer avec l’Allemagne de tout leur coeur et à participer à une guerre, non seulement de façon négative, en commettant des actes de sabotage et en instiguant des révolutions, mais aussi positivement, en formant une légion arabe. Dans cette lutte, les Arabes se battent pour l’indépendance de la Palestine, de la Syrie, de l’Irak... Le Führer avait, quant à lui, l’intention de demander aux nations d’ Europe de régler, l’une après l’autre, leur propre «problème juif» et d’adresser, le temps venu, le même message aux nations non européennes...
L’échange était clair : une fois les armées entrées dans le Caucase, Hitler se débarrasserait de tous les Juifs est-européens, et le Mufti devait, quant à lui, obtenir le soutien des Musulmans des Balkans et des républiques soviétiques, où ils constituaient des groupes importants. Puis Hitler «libèrerait» les peuples arabes qui souhaitaient leur indépendance et les aiderait à exterminer les Juifs du Moyen-Orient.
En fait, des documents découverts récemment par la BBC montrent qu’un parachutage de commandos eut même lieu, qui devait aboutir à l’établissement d’une base espionnant et travaillant au recrutement de combattants palestiniens, avec l’or nazi. Le groupe était sous le commandement du Colonel Kurt Wieland, un arabisant qui connaissait bien la Palestine. Le projet échoua après que le parachutage, en Octobre 44, ait eu lieu bien trop au Sud de Jéricho (le pilote, perdu, parachuta les hommes d’une hauteur excessive) et que deux des hommes de Wieland aient été capturés. Wieland resta caché dans un village arabe avec deux de ses compagnons, puis dans une grotte, et, enfin dans un monastère. Ils ne trouvèrent aucun soutien pour organiser un soulèvement arabe, et une semaine plus tard, ils étaient faits prisonniers. Les deux derniers hommes de la mission n’ont jamais été retrouvés.
3. Les activités du Mufti sous le Troisième Reich
Le Mufti, sponsorisé par l’Allemagne nazie, étendit ses velléités au Moyen-Orient mais aussi vers les autres zones géographiques habitées par des Juifs. Ses activités consistaient en 1) de la propagande radio, 2) de l’espionnage, 3) l’organisation des Musulmans en unités militaires dans les pays occupés par les forces de l’Axe, 4) la mise en place de légions arabes contrôlées par les Allemands ainsi que la Brigade arabe.
Sa plus grande réussite fut le recrutement de dizaines de milliers de Musulmans en Bosnie-Herzégovine et en Albanie pour les Waffen SS. Ses légions arabes participèrent plus tard au massacre de dizaines de milliers de Serbes, de Juifs et de bohémiens. En 1943, il y avait 20.000 musulmans sous les drapeaux allemands et sa «division» de Waffen SS, les Handshar (voir George Lepre, Himmler's Bosnian Division. The Waffen-SSHandschar Division 1943-1945, Schiffer Military History, Atglen, PA, 1997).
Mais l’aventure des Balkans ne constituait qu’une part de l’activité du Mufti, dont les préoccupations étaient centrées sur les Juifs de toute la planète. Dans la protestation annuelle contre la déclaration Balfour, qu’il mit en scène dans le grand hall de la Luftwaffe, à Berlin, en 1943, il s’attaqua à «la conspiration anglo-saxonne et juive», et déclara que le traité de Versailles était un désastre à la fois pour les Allemands et les Arabes. Mais les Allemands, dit-il, savaient se débarrasser des Juifs.
Le 1er mars 1944, il ajouta dans un bulletin radiophonique : «Arabes, soulevez-vous et battez-vous pour vos droits sacrés. Tuez les Juifs là où vous les trouverez. Cela est agréable à Dieu, à l’Histoire, et à la religion. Cela sauve votre honneur.» Le Mufti participait déjà à la solution finale. Il rendit même visite à Auschwitz, où il admonesta les gardes près des chambres à gaz, en leur enjoignant de travailler plus diligemment.