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Israël : Défense au Moyen-Orient“20 personnes m’ont jeté du pont”1 Juin 2010 - Juif.org
    Dans le premier entretien depuis qu’il a été blessé lundi dans le raid contre la flottille, le capitaine R., qui a commandé les troupes qui sont montées à bord du Marmara par hélicoptère, a parlé de la bataille qui s’est tenue sur le navire.
Selon R., des centaines de personnes qui étaient sur le bateau ont participé à l’attaque contre lui et ses soldats, et ils ont été forcés d’utiliser la force pour sauver leurs vies.
« Des dizaines de personnes se sont attaquées à chaque soldat qui arrivait sur le toit du navire, » a-t-il déclaré de son lit dans le centre médical Rambam de Haïfa.
« Ils avaient des barres de fer, des haches et des couteaux, » a-t-il dit. « J’étais le second à descendre par le câble, un des hommes de mon groupe était déjà là-bas, et il y avait plusieurs personnes sur lui. »
Concernant la préparation des troupes pour un scenario plus extrême sur le pont, R. a déclaré qu’ils étaient préparé pour une résistance passive ou violente, mais a admis avoir été surpris par la violence de la résistance.
« Nous savions qu’ils étaient des activistes pacifistes, » a-t-il dit. « Bien qu’ils voulaient briser le blocus de Gaza, nous pensions que nous rencontrerions une résistance passive, peut être une résistance verbale, nous ne nous attendions pas à cela. Tout le monde voulait nous tuer. Nous avons rencontré des terroristes qui voulaient nous tuer, et nous avons fait tout ce que nous pouvions pour prévenir des blessures inutiles. »
R. a aussi déclaré que 75 % des occupants du navire ont résisté violement, « chacun avec un couteau dans la main. »
R. est le soldat qui s’est fait jeter du pont, comme on peut le voir dans la vidéo mise à disposition par Tsahal. « J’étais face à un certain nombre de personnes armées de barres en métal et de couteaux. J’ai pris mon arme quand j’ai vu que l’un d’eux s’approchait de moi avec un couteau, et j’ai tiré une fois. Ensuite, une vingtaine d’autres personnes venant de toutes les directions sont venues vers moi et m’ont jeté sur le pont inferieur. » Contrairement à ce que disent les medias étrangers, on peut remarquer ici que la riposte a été plus que proportionnée, trop peut-être, R. ne prenant pas le risque de tirer dans la foule pour se défendre, risquant sa propre vie.
« J’ai ensuite senti un coup de couteau dans mon estomac. J’ai réussis à prendre le couteau, et me suis, je ne sais pas comment, retrouvé sur le pont inferieur où il y avait plus de gens encore. A ce moment les soldats avaient pris le contrôle de tout le navire, excepté le pont inferieur. Moi et un autre soldat avons réussis à nous diriger vers le bord, et avons sauté dans l’eau, où nos forces nous ont récupérées. Un autre soldat qui avait été violement battu pour la foule (un véritable lynch) a perdu connaissance. D’autres soldats l’ont protégé, jusqu'à ce que nous l’évacuions. »
Au regard des résultats, R. pense que c’est une opération réussie.
« Je pense que nous avons très bien travaillé, » a-t-il déclaré. « Nous avons appliqué tout ce que nous avions appris et pour lequel nous nous sommes entrainé, y compris la pureté des armes. Nous avons seulement agis contre ceux qui nous mettaient en danger, et nous avons eu à tirer sur eux. »
Six soldats sont toujours hospitalisés, mais leur état s’améliore. En outre, 33 ressortissants étrangers qui ont pris part à la flottille sont toujours hospitalisés. La plupart des participants étaient turcs, le reste venant de Grèce, d’Angleterre, d’Australie, d’Indonésie et des territoires sous contrôle palestinien, entre autre. Articles connexes
989 commentaires
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Et le monde n'en parle pas...ne se pose pas la question : POURQUOI
Même les gens honnêtes semblent l'oublier !!
Pourtant, ce sont des "frères" !...
Ils construisent un mur avec des fondations en acier et emfument les hamassoïdes dans leurs tunnels, comme des rats !...
Envoyé par Rosy_001 - le Mardi 1 Juin 2010 à 11:42
Bien sûr que les Nations savent qu'ils ne risquent rien avec les Juifs ! Tiens, hier dans ma ville, un religieux Juif avec barbe et kippa sur la tête (comme moi, quoi!) faisait demi-tour dans la rue avec son 9 places (normal, beaucoup d'enfants bli Eyn Hara!). Ah mais du coup, le "non-juif de service" voulait passer car il était pressé ; Au lieu d'attendre 10 secondes montre en main que le religieux finisse sa manoeuvre, le non-juif était impatient dans sa voiture car il était pressé (je signale que le demi-tour n'est pas interdit dans cette rue peu fréquentée en plus). Et bien que croyez-vous? la manoeuvre terminée, le non-juif s'est arrêté à côté du religieux, a baissé sa vitre et lui a fait un looooong sermont car d'un coup, il n'était plus aussi pressé!
Mais dis voir crétin, si ça avait été un arabe au volant, t'aurais pris le risque de le sermonner?
J'ai assisté à toute la scène très étonné depuis ma voiture (garée) et le temps que je descende pour demander ce qui se passait, le non-juif démarrait (ça m'apprendra à être naïf, j'ai cru au début qu'ils se connaissaient).
...Et c'est systématiquement la même chose à chaque fois qu'un Juif est identifié comme tel!
Je demande juste que ce genre d'interception ne fasse pas 9 morts.
On est des pros ou on ne l'est pas.
Quand a "jCall", cet organisme me rappelle la triste histoire des années 30-40 dans laquelle "certains" juifs étaient collaborateur du nazisme.
L'histoire se répète, les gens n'apprennent rie du passé!!!!
On est des pros ou on ne l'est pas.
Envoyé par Shaul_001 - le Mardi 1 Juin 2010 à 13:10
Comment auriez-vous procédé Shaul ?
Et pourquoi le blâme n'est-il pas porté sur le refus de ce bateau de se rendre à Ashod par MESURE DE SÉCURITÉ pour ses passagers ?
.............................
A propos des eaux internationales :
Drogue : arrivée à Brest d'un navire arraisonné avec trois tonnes de cocaïne
BREST, 25 fév 2008 (AFP) - Le Junior, bateau panaméen arraisonné début février par la Marine française dans les eaux internationales du golfe de Guinée avec plus de 3 tonnes de cocaïne à bord, était attendu lundi vers 10H00 à la base navale de Brest, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime.
Le Junior, placé sous bonne escorte du remorqueur Rari de la Marine nationale et de fusiliers-marins, devait être amarré à la base navale de Brest, avant déchargement et mise en lieu sûr de sa cargaison de 107 caisses de 30 kg de cocaïne.
L'enquête sera menée par des magistrats de Brest, le Panama ayant officiellement renoncé à sa compétence juridictionnelle sur le navire, sa cargaison et son équipage composé d'un commandant et son second de nationalité grecque et de sept autres membres d'équipage africains qui devraient être placés en garde à vue dès leur débarquement.
Le procureur de la République de Brest, Xavier Tarabeux, le préfet maritime Xavier Rolin et un responsable de l'office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (OCTRIS) tiendront une conférence de presse à 16H00 à la base navale, a-t-on indiqué de même source.
Le 7 février, le bâtiment de projection et de commandement Tonnerre renforcé par une équipe de commandos marine a intercepté le Junior, un navire battant pavillon panaméen qui se rendait apparemment du Brésil vers Alger, avec à son bord 3,2 tonnes de cocaïne.
Il a été arraisonné par la marine nationale française au moment où une partie de l'équipage s'apprêtait à jeter par-dessus bord le conteneur dans lequel était entreposé la drogue.
Il s'agit de la deuxième interception d'une cargaison de cocaïne par la marine française au large de l'Afrique en moins de dix jours, après l'arraisonnement le 29 janvier à 500 kilomètres au large du Liberia du Blue Atlantic, un bateau de pêche libérien transportant près de 2,5 tonnes de cocaïne.
Je parle du Rov Chère Hélène, pas du Myiout! (je t'écrirai en mail perso ce que ça signifie)
Tsahal s'est fait piéger, malheureusement. Les gouvernements des pays du monde ne peuvent ignorer que Israël est en guerre. Et un blocus est un blocus ! En aucun cas un blocus ne peut être brisé sous peine de violence. Les pro-palestiniens savaient que l'armée qui contrôlait les navires ne pourrait pas se laisser frapper sur le tête à coup de barre de fer. Au moins, la morale est sauve. Il n'y a pas eu plus de morts... Et pourtant une grande vague de violence islamique est en marche désormais.