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Israël : Défense au Moyen-OrientAhmadinejad : ‘les sionistes ne dureront pas longtemps’Le dictateur iranien Mahmoud Ahmadinejad est arrivé jeudi dans la ville méridionale de Bint Jbeil, au sud-Liban.
Des milliers de personnes attendaient le dictateur iranien pour un événement marquant l’apogée de sa deuxième journée au Liban.
Ahmadinejad a commencé son discours en saluant le peuple libanais comme « les défenseurs de la dignité humaine. La résistance (entendez terrorisme, ndlr) libanaise est plus puissante que l’épée des sionistes. Et c’est un exemple pour toutes les nations dans la région, » a-t-il dit. « La résistance est la clé de la victoire du peuple libanais et d’autres nations ».
« Je suis ici pour remercier les croyants de toutes les confessions au Liban, » a-t-il poursuivi. « L’unité est le secret de la résistance, la victoire et la survie, et Bint Jbeil est la capitale de la résistance et de la victoire ».
« Nos ennemis sont terrifiés par la résistance, » a-t-il dit. « Le monde doit savoir que les sionistes ne dureront pas longtemps ».
Plus tôt, des partisans du Hezbollah ont utilisés les hauts parleurs des mosquées pour rameuter la foule, et montrer du monde pour la visite du dictateur iranien près de la frontière avec Israël, une visite que les Etats-Unis et Israël ont définis comme provocatrice.
Ahmadinejad est arrivé au Liban mercredi. Son pays est le principal mécène du Hezbollah, groupe terroriste chiite, la plus puissante force militaire du Liban.
Jeudi, Ahmadinejad faisait une tournée dans le sud et près de la frontière israélienne, pour mettre l’accent sur le soutien de l’Iran au combat du Hezbollah contre Israël.
Dans la matinée, il a visité la Lebanese University, université d’état, où il a reçu un diplôme honorifique, probablement le seul de sa triste carrière.
Les résidents des villages du sud-Liban se dirigeaient vers Bint Jbeil, un village frontalier détruit pendant la guerre de 2006 entre Israël et le Hezbollah, pour saluer le dictateur iranien. Le village est à quatre kilomètres de la frontière, et est surnommé « capitale de la résistance », parce qu’il était un centre terroriste lors de la présence israélienne au sud-Liban avant le retrait de 2000.
Beaucoup d’étudiants n’ont pas du aller à l’école jeudi pour être présent et voir Ahmadinejad.
Selon le vice-ministre israélien de la défense, Matan Vilnai, le soutien à Ahmadinejad au sud-Liban n’est pas aussi fort qu’il y parait. « Ahmadinejad a investi une fortune au Liban. Cependant, ses millions ne sont pas investis dans l’éducation ou le bien être des habitants du Liban, mais dans l’armement du Hezbollah et dans le renforcement du pouvoir de Nasrallah au Liban ».
« Ne vous méprenez pas, la plupart des résidents que nous voyons à la télévision ne sont pas venus saluer Ahmadinejad par amour. Ils ont été forcés de le faire, parce que ce sont les règles du jeu d’Ahmadinejad, il est venu pour promouvoir ses intérêts au détriment des citoyens libanais, » a-t-il dit.
Le voyage d’Ahmadinejad souligne l’érosion des factions pro-occidentales au Liban. Plus largement, elle suggère que la lutte d’influence au Liban pourrait pencher en faveur de l’Iran et de la Syrie, son allié, loin des Etats-Unis et de leurs alliés arabes, l’Egypte et l’Arabie Saoudite.
Son arrivée a également exacerbé les craintes de nombreux libanais, en particulier les sunnites et les chrétiens, que l’Iran et le Hezbollah ne cherchent à imposer leur volonté sur le pays, et, éventuellement, entraîner le Liban dans un conflit avec Israël. Beaucoup disent que ce voyage pourrait aggraver les tensions dans un pays qui a une longue histoire de luttes de factions. Articles connexes
241 commentaires
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tu lui as plombée sa sortie majestueuse, ca donnait bien pourtant midr ash machin, me far chit truc...on n´y avait vu que du feu
tttsssss, va falloir la refaire Moshe
2) « puis-je t'appeler Colonel ? » (Envoyé par Moshé_007)
Justement si ça me derange !
Envoyé par Israel, Eden_001 - le Lundi 18 Octobre 2010 à 19:04
Cher Israel 'Eden,
1) Je suis facilement calme lorsque je m’adresse à l’un de mon Peuple chéri ou à tout individu de bonne volonté (à plus forte raison, s’il est sympathisant pour Israel). Mais lorsque l’on dénigre la Torah ou Israel, je m’enflamme comme de la paille et là, tu ne dirais plus que je sois mesuré.
2) Me’hila d’avoir ramené ton grade car j’ignorais que cela fut l’origine d’une polémique te concernant
Moi j’étais plutôt fier de communiquer avec une personne comme toi ; Déjà avant que je connaisse ton activité et encore plus (je l’avoue) quand j’ai su ce que tu faisais pour Israel!
Que ce soit la Volonté de Hashem de te garder et de te protèger, toi et tous les tiens.
Elie HaYakar,
Ce n'était pas le but car j'apprécie l'intervention de Moshé. Je pense qu'il a fait un lapsus entre Mefarshim et Midrashim et ça arrive à tout le monde (en tout cas, ça m'arrive). Et si jamais il connaissait un Midrash du Malbim, il pourrait toujours me clouer le bec ; je reconnaîtrais volontiers mon ignorance.
Non, ce que je voulais surtout c’est donner mon point de vue en expliquant ce qu’il m’a semblé comprendre de ce que la Torah attendait de notre comportement.
Comme ma vision était en l’occurrence opposée à celle de Moshé, j’ai pensé intéressant de discuter avec lui mais je ne voulais pas le casser.
Je te lirai donc demain.
'Erev tov cher Elie!
Je ne mettait pas le fait de placer ce discours au niveau de l'action mais au niveau du discours, quand Israël s'adresse aux arabes, en fait ce ne sont pas les arabes qui reçoivent les messages d'Israël !
Toute cette propagande ce fait au niveau de maarav, des occidentaux, les propagande diffusées dans les "médias" arabes, ne tiennent jamais compte des positions israéliennes, car incompréhensibles pour les populations arabes, toutes les informations leurs étant adressées subissent de telles distorsions qu'elles sont impossibles à déchiffrer par les muzs !
Donc, Israël parle aux arabes avec discours façonné pour les occidentaux "bien-pensant", qui eux interprètent ces informations, d'abord au premier degré, et les considère comme leurs étant pas destinées, dans un langage en plus ad-hoc à leurs interprétations, les obligeant de croire qu'il ont un rôle de messagers.
L'exemple actuel expose bien les faits, abbas dit non et pose des conditions préalables, alors qu'il avait accepte d'entamer ces pourparlers sans condition préalable et l'ensemble des bien pensant lui donne raison, car les "biens pensant" on leurs raisons de les appuyer et c'est malgré tout assez logique, Liberman n'entre pas dans cette logique, nous n'en sommes pas au niveau de l'action mais du discours et ce discours doit être destiné aux