|
Israël : Défense au Moyen-OrientIran : Jérusalem et Washington sévèrement mis en garde par Moscou contre toute velléité d'intervention militaireLa Russie a vertement mis en garde mercredi Israël et les Etats-Unis contre une attaque militaire visant l'Iran, jugeant qu'une intervention armée aurait des conséquences catastrophiques pour la communauté internationale. "Tout scénario militaire contre l'Iran sera catastrophique pour la région et, sans doute, pour le système des relations internationales dans son ensemble", a déclaré le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Guennadi Gatilov. "J'espère qu'en Israël, on a conscience des conséquences que cela pourrait avoir", a-t-il poursuivi. Articles connexes
35 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 10 heures - i24 News
Il y a 10 heures - Times of Israel
18 Novembre 2025 - Le Figaro
18 Novembre 2025 - Futura-Sciences Actualités
17 Novembre 2025 - Le Figaro
23 Octobre 2025 par Guillemette
23 Octobre 2025 par Blaise_001
23 Octobre 2025 par Blaise_001
13 Octobre 2025 par Blaise_001
13 Octobre 2025 par Guillemette
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
Dernière mise à jour, il y a 43 minutes























Bonjour Edmond et bonjour Roland :
Roland , je te remercie pour ton intervention ...salutaire .
chabath chalom .
Edmond , si tu veux effacer tes insultes ( de toutes les manières je ne t ' en veux pas ) une seule issue vas , interroge internet et rédige " défense commune des pays riverains de la mer caspienne " , allez , vas-y ! même par curiosité , tu ne perds rien , et clique dessus...et tu verras , en bas, à droite, un rectangle , mets tes lunettes
et lis à voix haute ...inutile de me le confirmer .
chabath chalom , Edmond l ' inccorrigible !
Je suis allé une fois de plus, bonne pomme que je suis, sur ce que tu indiques ( " défense commune des pays riverains de la mer Caspienne " ). Et, une fois de plus, j'ai constaté qu'on n'y trouve absolument RIEN qui confirmerait tes élucubrations ( un accord de défense entre les pays riverains de la mer Caspienne ).
Par contre, toi, tu n'as nullement tenté de faire ce que je te suggérais hier soir : extraire, d'un des " sites " que tu indiques, UN PETIT PASSAGE qui confirmerait ce que tu fantasmes ( un accord de défense Iran-Russie ), le copier-coller et le mettre ici, sur notre site " Juif.org " .
Tu ne l'as pas tenté - et pour cause : cet accord de défense Russie-Iran n'existe que dans ton imagination.
Que, be-ezrat ha-shabbat, ton esprit échappe un peu à la prolifération des fantasmes ...
DE " l ' " ACCORD DE DEFENSE COMMUNE DES PAYS RIVERAINS DE LA MER CASPIENNE DONT L ' IRAN ET LA SYRIE " !
CLIQUE SUR LE TEXTE !
PRENDS TOUT LE TEXTE !
LIS-LE !
et puis , non !
je préfère te laisser traverser seul , comme un grand , ton chemin labyrinthique , avec tes élucubrations ... !
que ce mois d ' adar te prôtège ...
enfin , pour ta gouverne , sache que je suis entièrement d ' accord avec les réparties de Roland te concernant !
Donc, Jacques ( et pour la dernière fois - après quoi je te lâche les baskets et te laisse batifoler à ton aise ), je te demande de bien vouloir PROUVER tes affirmations : fais un copié-collé du passage qui les prouve. Tu ne me feras pas croire qu'un grand garçon comme toi ne sait pas faire un copié-collé ...
La relation russo-iranienne de cette dernière décennie est mue par une communauté d'intérêts réciproques, en particulier dans les domaines commercial et sécuritaire[133]. Les enjeux économiques jouent en effet un rôle important, malgré leur relative modestie (en 2005, la Russie était le 7e partenaire commercial de l’Iran). Tous les secteurs russes de pointe (armement, aéronautique, spatial, nucléaire et énergie) ont été activement soutenus en Iran par le gouvernement russe ces dernières années. Dans le domaine de l’armement, la Russie est un partenaire particulièrement intéressant pour l’Iran, soumis à un embargo américain depuis trois décennies. Téhéran est ainsi devenue le troisième client de l’industrie de défense russe, bien que très loin derrière la Chine et l’Inde[134]. Cependant, le caractère sensible de certains armements vendus ou devant être transférés par Moscou à Téhéran (missiles sol-air Tor-M1, système antimissile S-300) ont mis sur le devant de la scène internationale la coopération militaro-technique entre la Russie et l'Iran. Les États-Unis (notamment par l'entremise de l'Arabie saoudite, rivale de la République islamique[135]) et Israël, en particulier, ont demandé l'annulation des contrats d'armements russo-iraniens.
Sur le plan sécuritaire, la stabilité de l’environnement stratégique régional est un autre intérêt partagé par les deux pays. L’Iran n’a pas cherché à entrer en rivalité avec Moscou dans le Caucase et en Asie centrale. Téhéran partage avec Moscou le désir d’être entouré d’états relativement stables et les deux pays veulent éviter une éventuelle contagion des instabilités des pays voisins à leurs territoires[136].
La relation entre la Russie et l'Iran est cependant traversée par certains facteurs d'ambigüité.
Dans le dossier du nucléaire iranien, la Russie joue un rôle clé[136]. Russes et Occidentaux ont dans cette affaire des intérêts communs : il n’est pas de leur intérêt que l’Iran se dote de l’arme nucléaire. La Russie, qui a toujours affirmé que les équipements livrés à l’Iran pour la centrale de Bushehr n’ont de finalité que civile, a pris des mesures marquant son engagement en matière de non-prolifération. En février 2005, elle n’accepte de signer un contrat sur la livraison du combustible qui doit alimenter cette centrale qu’après avoir reçu de Téhéran des garanties de non-prolifération. Elle a par ailleurs tenté de trouver des compromis permettant à l’Iran de se doter de centrales d’énergie nucléaire dans des conditions qui soient acceptables pour la communauté internationale, proposant notamment en 2005 que les opérations d’enrichissement d’uranium nécessaires au fonctionnement des centrales iraniennes se fassent entièrement sur son sol. En 2006-2007, elle se rapproche en outre des positions américaines et européennes. Elle accepte au début de 2006, après s’y être longtemps opposée, que l’AIEA transfère ce dossier au Conseil de sécurité des Nations unies. Bien qu’hostile à l’idée de sanctions économiques qui ne vont pas dans le sens de ses intérêts, elle se résout en décembre 2006, puis en mars 2007, de suspendre, à la suite de défauts de paiement iraniens (que Téhéran nie), l’exécution du contrat sur la centrale de Bushehr dont la mise en route a pris plusieurs années de retard[137].
La Russie cultive cependant les ambiguïtés. Elle n’a, semble-t-il, jamais accepté de partager avec les Occidentaux les informations dont elle dispose sur le programme nucléaire iranien. Si elle se rapproche en 2006-2007 des positions américaines et européennes, c’est probablement parce qu’elle redoute une intervention militaire américaine en Iran qui risquerait de déstabiliser davantage qu’ils ne le sont déjà le Moyen-Orient et le monde musulman. Elle ne le fait qu’avec de fortes réticences et après avoir tenté à chaque étape des négociations de gagner du temps. Lors de la visite que Vladimir Poutine fait en 2007 à Téhéran, il réaffirme son soutien aux positions iraniennes et son opposition à toute menace d’un recours à la force pour sortir de la crise.
De façon paradoxale, les enjeux liés aux États-Unis, centraux dans le renforcement du partenariat stratégique russo-iranien, sont une des principales sources de divergences entre les deux pays. Des ambiguïtés persistent, réduisant la portée de leur entraide. Dans le cadre du développement de ses relations avec Téhéran, Moscou est attentive à ne pas s’aliéner Washington. La Russie tente souvent de jouer sur les deux tableaux, l’équilibre étant généralement assez difficile à trouver[138].
La carte iranienne peut être utile pour la Russie, notamment pour améliorer son image dans le monde musulman. Mais pour l’Iran, l’affichage de bonnes relations avec Moscou n’est pas aussi intéressant[133]. La Russie est partenaire d’Israël dans la lutte contre le terrorisme, a soutenu les Serbes et utilise la force militaire contre les populations musulmanes du Nord Caucase.
Depuis le raidissement du régime islamique consécutif aux élections présidentielles contestées de juin 2009, les relations entre Moscou et Téhéran semblent moins sereines qu'auparavant. L'Iran reproche à la Russie le retard dans la livraison des systèmes antimissiles S-300 à l'armée iranienne[139], le rapprochement de Moscou avec Riyad[140] et les menaces de sanctions russes au Conseil de sécurité de l'ONU. Toutefois, Moscou très réticente à accepter des sanctions qui puissent pénaliser ses intérêts (embargo sur les armes).
http://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9ostrat%C3%A9gie_de_la_Russie
Shabbat Shalom
Résultats de rechercheIran : Jérusalem et Washington sévèrement mis en garde par ...www.juif.org › Info › DéfenseEn cache
+1 publié par vous pour ce contenu Annuler
il y a 3 jours – A propos : au lieu de raconter n'importe quoi ( " accords de défense commune des pays riverains de la Caspienne " ... ), tu ferais mieux de ...
Dempsey : "des frappes israéliennes n'atteindront pas les objectifs"www.juif.org › Info › DéfenseEn cache
+1 publié par vous pour ce contenu Annuler
il y a 6 jours – ne jamais oublier les accords de défense commune des cinq pays riverains de la mer caspienne dont l ' iran et la russie ... situation critique !
Réactions à l'articlewww.guysen.com/es/listereactions.php?id_art=11151&name...En cache
+1 publié par vous pour ce contenu Annuler
on voit le double jeu de la russie , laquelle n'a pas annulé les accords de défense commune avec les cinq pays riverains de la mer caspienne , et c'est là que le ...
Le grand danger d'Israël est obama !!!