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Israël : Défense au Moyen-OrientLe général de réserve Ouzi Dayan a un plan pour libérer Guilad Shalit.Ce nouvel adhérent du Likoud a présenté lundi son projet au ministre de la Défense Ehoud arak : il se fonde sur le principe que ce n'est pas à Israël de payer le prix de sa libération.
Il préconise notamment l'isolement absolu de la Bande de Gaza, des actions contre les dirigeants du Hamas, leur arrestation pour monnayer leur échange, des conditions de détention des prisonniers du Hamas similaires à celles de Guilad Shalit, pas de reprise du dialogue pour renouveler la trêve, et la préparation d'une option militaire. Articles connexes
97 commentaires
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Dernière mise à jour, il y a 58 minutes
Lydie
Malheureusement, les "femmes en mal d'exotisme" continuent de se faire avoir, malgré tout ce qu'on voit et lit dans les colonnes des faits divers: enlèvements d'enfants, mauvais traitements graves contre les femmes occidentales, etc...Et les politiques s'en mettent plein les poches et font semblant de ne rien voir de ce qui se passe sous leurs yeux.
Dans quel monde vivons-nous, et pourquoi avons-nous laissé faire tous ces dégâts, même inconsciemment?
Chalom.
Etes-vous un H ou une F?
Chalom.
donnez-nous plus de détails ? merci
Le Premier ministre a dit par le passé qu'il quitterait le gouvernement s'il était inculpé.
Menachem Mazuz, procureur général d'Israël, a informé Olmert que plusieurs chefs d'inculpation étaient à l'étude dans le cadre de cette affaire "Rishon Tours" de double facturation de voyages à l'étranger, précise le ministère.
Mazuz "envisage des charges pénales sur des soupçons d'infractions diverses dans le cadre de l'affaire Rishon Tours", ajoute-t-il.
Olmert est soupçonné d'avoir facturé plusieurs fois les mêmes déplacements à l'étranger auprès de diverses organisations israéliennes lorsqu'il était maire de Jérusalem puis ministre du gouvernement d'Ariel Sharon.
"Sur instruction de M. Olmert, et en sa connaissance, des faux comptes ont été systématiquement présentés aux organisations", explique le ministère.
Olmert a ainsi récolté 85.000 dollars supplémentaires, qu'il a utilisés pour financer des voyages personnels ou des déplacements de membres de sa famille, ajoute-t-il.
Après plusieurs enquêtes à l'encontre d'Olmert, la police israélienne a déjà recommandé il y a deux mois l'inculpation du Premier ministre pour corruption. Mais Mazuz n'a pas encore rendu sa décision. Selon le ministère, il organisera une audience au préalable. Aucune date n'est indiquée.
Selon les médias israéliens, les charges retenues rendraient Olmert passibles d'une peine maximale de sept ans de prison.
Ari Rabinovitch, version française Jean-Stéphane Brosse
qui sème le vent ,récolte la tempête .....bien fait pour lui ...
Incapables de s'entendre, les Palestiniens sont aussi incapables de raisonner logiquement et de négocier quoi que ce soit, y compris avec d'autres musulmans, lorsqu'il s'agit des relations avec Israël. Voilà des années que leurs mésententes et leurs attentats anti-israéliens leur font subir défaite sur défaite et les maintiennent dans la misère, et ils sont incapables d'en tirer la conséquence logique : le terrorisme ne paie pas, ne résout rien, et n'apporte que du malheur.
Toute sa vie M. Arafat a cru à une solution terroriste au problème palestinien, toute sa vie il a échoué, au prix de dizaines de milliers de victimes innocentes.
Les pays arabes, leurs frères de langue et de religion, ne font rien pour aider les Palestiniens politiquement ou militairement. Ils ne leur donnent que des miettes de leurs immenses revenus pétroliers, même lorsqu'ils souffrent de la faim faute de dons internationaux depuis l'arrivée au pouvoir du Hamas. Malgré cela, les Palestiniens sont incapables d'en déduire que leur cause n'intéresse aujourd'hui aucun pays. En fait, elle n'intéresse que l'Iran - et encore depuis peu - et seulement en tant que moyen de lutter contre Israël par peuple interposé.
Aucun geste de bonne volonté d'Israël n'est interprété correctement par les Palestiniens, même lorsqu'il satisfait en partie leur revendication première, la fin de l'occupation de terres arabes. C'est ainsi que les évacuations par Israël du Liban sud et de Gaza ont été interprétées par les extrémistes arabes comme des marques de faiblesse, qu'ils ont récompensées en tirant des missiles et en continuant leurs attentats. Comme toute démocratie, Israël a parmi ses courants d'opinion des faucons, qui en ont déduit que ces évacuations étaient des erreurs, à réparer d'urgence en réoccupant ces territoires par la force.
L'incapacité de raisonner objectivement caractérise tous les terroristes islamistes : la Hamas, le Hezbollah, al Qaida, les mollahs iraniens, etc. Tous sont des nihilistes, qui tuent des infidèles pour les tuer, qui n'ont pas de modèle économique viable et aucune solution aux problèmes de misère et de surpopulation des pays musulmans. Beaucoup rêvent d'une société comme le califat des 7e et 8e siècles, société esclavagiste où les femmes sont des êtres inférieurs et les infidèles des citoyens de seconde classe [8].
Impossible de négocier avec les terroristes
Parce qu'ils ne partagent pas nos valeurs, nous ne pouvons pas négocier avec les terroristes islamistes. D'ailleurs quoi négocier ? Notre droit de vivre sans être musulmans, sans être des citoyens de seconde classe dans un califat ? Et avec qui négocier, sachant que jamais les divers mouvements terroristes ne s'entendent entre eux sur des choix politiques ? Si l'un d'entre eux accepte un accord avec nous, d'autres le dénoncent.
La situation est donc celle-ci : le « processus de paix » promu par le "Quartette" (Etats-Unis, Union européenne, ONU et Russie) est mort faute d'interlocuteur palestinien : il n'en existe pas qui ait assez d'autorité pour être crédible dans une négociation. Les terroristes du Hamas et du Hezbollah ont juré la destruction d'Israël et entrepris de tuer autant de juifs que possible et on ne peut négocier avec eux.
Quand on ne peut négocier avec un ennemi mortel, il ne reste qu'une solution : l'empêcher de nuire. Si on peut le faire sans tuer trop d'innocents, sans détruire trop de biens, il faut le faire ; mais s'il faut une guerre totale, comme celle que ces terroristes nous ont déclarée, il faut s'y résoudre et les tuer. Voilà pourquoi presque tous les pays reconnaissent le droit d'Israël à se défendre, c'est-à-dire à défendre la vie et les biens de ses citoyens des attentats terroristes.
La disproportion
Dans les pays occidentaux on a beaucoup entendu l'adjectif « disproportionnée ! » à propos de la réaction militaire d'Israël. Le président Chirac, par exemple, l'a utilisé le 14 juillet 2006 [4]. Mais si c'était Strasbourg qui avait été bombardée et Paris menacé par des terroristes ayant juré de détruire la France parce qu'elle « occupe la Corse », aurait-il admis qu'on trouve disproportionnée une réaction militaire violente de la France ?
Mais lorsqu'en réponse à l'évacuation du Liban sud par Israël le Hezbollah s'est fait livrer des milliers de missiles, M. Chirac a-t-il trouvé cette réponse disproportionnée ? Lorsqu'Israël a laissé le Hezbollah s'armer ainsi sans réagir, sa réponse a-t-elle été disproportionnée ? Israël n'a frappé fort que lorsqu'il a compris que ses villes étaient menacées par des fous qui méprisent la vie humaine, fous qu'on ne peut raisonner et qu'il faut donc empêcher de nuire. Israël ne bombarde que des cibles où ses militaires ont des raisons de croire qu'il y a des terroristes ou des armes, par exemple suite à des photos prises par des drones. J'ai vu personnellement, à la télévision, un lance-missiles à tubes multiples surmonté d'un drapeau du Hezbollah et placé contre un bâtiment, dans un village ; peut-on s'étonner que ce village soit ensuite bombardé et qu'il y ait des victimes civiles ?
Toute action "proportionnée" contre des terroristes, donc qui en laisse survivre comme les retraits d'Israël de Gaza ou du sud Liban, est interprétée par eux comme une preuve de faiblesse et un encouragement à poursuivre leurs attentats. Elle est interprétée comme le retrait piteux des Russes d'Afghanistan, ou des Américains de Somalie en mars 1994 après l'échec de la négociation avec les milices terroristes locales.
La vérité est que les gens qui parlent de disproportion en matière de réaction au terrorisme islamiste n'en ont pas compris la menace, ou en ont oublié les attentats en Occident : ces terroristes ont déclenché une guerre de religion contre nous, une guerre d'extermination à laquelle nous ne pouvons répondre que par leur propre extermination, puisqu'aucune négociation n'est possible. Ces terroristes s'appellent Hezbollah au Liban, Hamas à Gaza et simplement « islamistes » à New York, Londres ou Madrid. Même Paris a été victime de 13 attentats islamistes par des terroristes pro-iraniens en 1985 et 1986 : l'a-t-on oublié ? Et les autres attentats musulmans en France, les a-t-on aussi oubliés ?
Au sujet de la disproportion, je laisse le dernier mot à Bernard-Henri Lévy, qui écrit dans Le Point n° 1768 du 3 août 2006 :
"Si légitime que soit l'émotion mondiale face aux soixante morts de Cana, il est difficile de ne pas poser une toute dernière question. Où étaient-ils, les manifestants du Caire ou même de Paris quand Poutine assassinait deux cent mille civils tchétchènes ? Pourquoi les entendait-on si peu quand ce sont les musulmans du Darfour ou de Bosnie que l'on exterminait ? En vertu de quelle logique les mêmes acceptent-ils, sans états d'âme, les soixante morts par jour, donc le Cana quotidien, de la guerre civile irakienne ? Pour ceux-là, quand des musulmans sont égorgés par d'autres musulmans à la porte d'une mosquée, c'est un fait divers. Quand c'est l'Etat juif qui endeuille un village libanais, ce serait un crime contre l'humanité."
Réponse proportionnée, ou réponse adéquate ?
Le problème que soulève la stratégie antiterroriste d'Israël n'est pas la proportionnalité de sa réponse militaire, c'est son adéquation. Il semble, au bout d'une vingtaine de jours de bombardements intensifs, que ceux-ci n'empêchent guère le Hezbollah de continuer ses propres bombardements de civils israéliens. Il est donc fort probable que cette stratégie n'est pas adéquate ; si Israël veut désarmer le Hezbollah, il doit en plus envahir le Liban et s'y battre, maison par maison, avec les fous de Dieu. Mais cela coûterait la vie à beaucoup de jeunes soldats israéliens. Israël doit donc choisir entre une stratégie inefficace et qui lui vaut la réprobation du reste du monde, et une stratégie coûteuse en vies humaines.
L'impossibilité d'exterminer les terroristes islamistes
En Afghanistan, la victoire contre les talibans a été totale : ils ont été chassés du pouvoir et un régime démocratique les a remplacés (sur la pérennité douteuse de cette démocratie voir "Etat de droit et démocratie, en France et ailleurs"). Mais comme on n'a pas éliminé tous les talibans, faute d'un génocide massacrant des millions d'Afghans innocents, les talibans réapparaissent aujourd'hui, sécrétés par la population afghane.
Qui peut prétendre qu'il fallait négocier avec les talibans qui abritaient al Qaida ?
Qui peut prétendre que c'était possible ?
Qui peut prétendre qu'en retenant nos frappes contre ce régime islamiste on aurait pu éliminer la menace al Qaida ?
Qui peut prétendre, enfin, qu'une réaction mesurée contre al Qaida et/ou les talibans aurait diminué la menace sur le monde occidental, auquel Ben Laden avait déclaré une guerre d'extermination par écrit ? [9]
Il est donc important de comprendre pourquoi des populations sécrètent des terroristes islamistes, pour trouver une éventuelle politique préventive de ce terrorisme.
Pourquoi des communautés sécrètent des terroristes
Depuis un an les enquêteurs anglais travaillent à comprendre les motivations des quatre attentats du métro et de l'autobus de Londres. Trois des quatre terroristes étaient des Anglais, nés en Angleterre de parents immigrés. Le quatrième était un résident anglais en situation régulière, né à la Jamaïque. Parmi leurs proches et leurs voisins personne ne se doutait de leurs sympathies terroristes.
Des enquêtes similaires aux Pays-Bas et au Canada ont révélé des profils de terroristes similaires parmi les membres des communautés musulmanes de ces pays.
Il semble que ce qui a poussé le chef des terroristes anglais de Londres et un de ses acolytes à aller se faire endoctriner et former au terrorisme au Pakistan, c'est l'invasion et l'occupation de l'Irak par les Américains et les Anglais. Voilà donc des citoyens britanniques, fils d'immigrés bien intégrés, qui sont devenus des terroristes, assassins de leurs concitoyens, sans avoir jamais souffert de leur vie au Royaume-Uni, par pure conviction intellectuelle. Ils ont trouvé leur idéologie de mort dans les mosquées anglaises et pakistanaises et sur Internet, où ils ont aussi trouvé les plans de fabrication de leurs bombes.
Une autre raison de leur colère est la multiplication des contrôles de police, et la loi anglaise permettant de détenir en prison pendant 90 jours sans accusation formelle toute personne soupçonnée de terrorisme.
Autre exemple : en juillet 2006 aux Etats-Unis, un citoyen américain d'origine pakistanaise est allé assassiner des juifs dans un bâtiment où ils se réunissaient, simplement parce qu'ils étaient juifs et qu'il avait décidé qu'il devait en tuer.
Il semble donc qu'en Occident, comme en Afghanistan et dans d'autres pays musulmans, un petit nombre de jeunes soient prêts à basculer dans le terrorisme au nom d'un islam mal compris, sous l'influence de mollahs pousse-au-crime et de textes Internet. La faiblesse de leurs facultés de jugement est évidente : comment pouvaient-ils préférer à la tentative d'établir la démocratie en Irak la tyrannie d'un Saddam Hussein, qui assassinait par centaines de milliers ses propres concitoyens, essentiellement des musulmans chiites ou des Kurdes, et envahissait les pays musulmans voisins ? Pourquoi préféraient-ils mourir dans un attentat-suicide contre des concitoyens anglais, dont certains étaient musulmans comme eux ? Pourquoi leur idéologie de mort, nihilisme qui ne résout aucun problème ?
Nous savons donc que dans tout pays où il y a des musulmans, en Occident comme en Afrique, en Asie et aux Etats-Unis, un petit nombre de jeunes deviennent spontanément assez fous pour se transformer en terroristes assassins, en fous qui invoquent un islam mal compris pour tuer et vouloir détruire notre société non musulmane.
Puisque les prétextes qu'ils invoquent pour leurs attentats sont tout sauf convaincants, il n'existe pas d'action préventive réaliste pour les identifier et prévenir leur folie. Pourquoi des jeunes d'autres religions, chrétiens, juifs, hindouistes ou bouddhistes, ne sont-ils pas atteints par ce mal ? Peut-être parce que les autres religions n'ont pas autant tendance que l'islam à persuader leurs fidèles qu'ils sont victimes du reste du monde ; peut-être parce qu'elles encouragent leurs fidèles à s'intégrer dans le monde, au lieu de tenter de le convertir et de le combattre à mort s'il refuse ; peut-être parce qu'elles ne consacrent pas l'essentiel de l'enseignement scolaire à l'étude du Coran, texte extrêmement ancien qui n'apporte pas à lui seul la formation scientifique et technique nécessaire à un métier et à un raisonnement logique…