English Version Force de Défense d'Israel sur Internet
Vendredi 23 Mai 2025 | 25 Iyar 5785
Inscription gratuite
AccueilInfos IsraelBlogs Juifs et IsraéliensVidéo IsraelOpinions : monde Juif et IsraelLe MagTOP SitesLa BoutiqueJuif.org TV

Israël : Défense au Moyen-Orient

Le général de réserve Ouzi Dayan a un plan pour libérer Guilad Shalit.

Ce nouvel adhérent du Likoud a présenté lundi son projet au ministre de la Défense Ehoud arak : il se fonde sur le principe que ce n'est pas à Israël de payer le prix de sa libération. Il préconise notamment l'isolement absolu de la Bande de Gaza, des actions contre les dirigeants du Hamas, leur arrestation pour monnayer leur échange, des conditions de détention des prisonniers du Hamas similaires à celles de Guilad Shalit, pas de reprise du dialogue pour renouveler la trêve, et la préparation d'une option militaire.
97 commentaires
Que faire pour prévenir le terrorisme islamiste ?
Dans ces conditions, je ne vois pas quelle politique et quelles actions concrètes pourraient empêcher un certain nombre de jeunes sans repères à devenir des terroristes islamistes. Il faudrait, par exemple, remplacer l'enseignement essentiellement religieux professé dans beaucoup de pays musulmans par un enseignement laïc, et y propager une culture laïque, neutre par rapport aux religions et philosophies ; mais franchement, une politique volontariste en ce sens me paraît irréaliste, car elle serait combattue par trop d'habitants de ces pays.



On peut aussi rêver que le développement des communications (télévision, Internet et publications diverses) pourrait peu à peu amener ceux des musulmans qui sont fondamentalistes à changer de système de valeurs, en quelques générations et sans pression extérieure…



On peut aussi, tout en combattant sans merci les terroristes identifiés et les pays qui les abritent, partout dans le monde, essayer d'isoler nos pays majoritairement non musulmans. Il s'agirait alors d'édifier des barrières de séparation : murs comme ceux dont s'entoure Israël, restrictions draconiennes aux voyages des citoyens de pays peu sûrs vers les nôtres… en somme sacrifier un peu de notre liberté et de nos idéaux à notre sécurité.



On devrait en tout cas faire de gros efforts pour diminuer la dépendance des pays occidentaux vis-à-vis du pétrole. Non seulement cela nous permettrait de moins financer le terrorisme, mais cela diminuerait la pollution atmosphérique. Et nous aurions moins besoin, alors, de protéger militairement nos approvisionnements en pétrole, protection qui nous coûte extrêmement cher.



Mais le problème d'Israël est immédiat, et ce pays ne peut compter sur aucun de ces espoirs. On lui suggère de négocier, ce qui n'est possible qu'avec des gouvernements, pas avec des terroristes qui n'ont pas d'interlocuteur crédible et ne respectent pas leur parole. S'il ne négocie pas, il doit tenter d'éliminer ses ennemis jusqu'au dernier, ce qui n'est ni possible ni même moralement acceptable. Certains politiciens proposent qu'une force internationale, nombreuse et lourdement armée, désarme le Hezbollah et l'empêche ensuite de nuire. Mais quel gouvernement enverra ses soldats se faire tuer par des terroristes pour sauver Israël et la paix ?

Quelques réflexions stratégiques
Il est certain qu'une zone tampon militarisée d'une vingtaine de kilomètres protégeant la frontière nord d'Israël contre des infiltrations terroristes va dans le sens de la sécurité de ce pays. Mais de telles zones ont déjà été instaurées par le passé sans résoudre totalement le problème. Et aujourd'hui, avec des missiles portant à plus de 100 km, une zone tampon de quelques dizaines de kilomètres ne protégerait pas les villes du nord d'Israël, ni peut-être Tel-Aviv et Jérusalem.



La sécurité d'Israël exige donc d'empêcher le transit d'armes de guerre depuis la Syrie. Pour cela, Israël détruit les aéroports, les routes et les ponts du Liban. Mais outre que ces infrastructures seront tôt ou tard reconstruites, tant que la Syrie restera un vassal de l'Iran chiite qui a juré la destruction d'Israël, les terroristes libanais disposeront de bases, de conseillers, de financements et d'armes.



A moins de trouver un moyen diplomatique d'inverser l'alliance entre Damas et Téhéran, comme les Etats-Unis tentent de le faire en 2006, le régime syrien devrait être remplacé par un régime favorable à la paix et non aux terroristes, quitte à faire la guerre à son armée en état d'extrême faiblesse. L'Iran serait alors privé du moyen d'alimenter le Hezbollah, le Liban pourrait enfin devenir indépendant, et les infiltrations de terroristes et de matériel en Irak à travers la frontière syrienne pourraient cesser. Ce qui manque pour une expédition militaire à Damas (située à 60 km de la frontière israélienne), c'est d'abord un bon prétexte…

Envoyé par Roland_002 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 11:47
Israël et le Hezbollah ne veulent pas dialoguer, chacun voulant une victoire militaire.

§ L'Union européenne n'a rien à offrir à Israël, ni aucun moyen de pression. Israël veut d'abord finir de « faire le ménage » et détruire tous les bunkers et tous les missiles du Hezbollah voisins de sa frontière, ainsi que toutes les infrastructures de transport du pays.

Ensuite, Israël acceptera probablement qu'une force internationale, sous mandat des Nations unies et avec assez de pouvoir pour s'opposer par la force aux terroristes du Hezbollah, vienne occuper la zone tampon nettoyée par ses militaires, éventuellement à côté d'une force libanaise d'où le Hezbollah aurait été exclu. Mais les Nations unies sont-elles capables de se mettre d'accord sur une force capable de se faire respecter militairement par des terroristes qui ne respectent rien ?

§ L'Union européenne n'a rien à offrir au Hezbollah, qui ne prend ses ordres qu'à Téhéran.

§ Téhéran n'accepterait de calmer les Hezbollah et de cesser de financer les terroristes du Hamas qu'en échange de la seule promesse qui compte aux yeux de ses mollahs : celle de pouvoir développer en paix sa bombe atomique et les missiles nécessaires pour la transporter.

L'Iran n'obtiendra pas une telle promesse, il le sait et compte s'en passer parce qu'il se sait indispensable : le monde ne peut se passer du pétrole iranien, dont l'absence ferait exploser les prix mondiaux. Une forte hausse de ces prix priverait d'abord les pays pauvres de carburant, les plongeant dans une crise économique grave parce qu'ils ne peuvent le payer cher en dollars. Mais elle provoquerait aussi une récession en Occident, dont elle absorberait une part significative du PIB.



Envoyé par Roland_002 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 11:49
Olmert ne veut pas partir pour le moment, il a décidé qu'il reterait premier ministre de transition, car si il partait, ce serait Livni qui prendrait sa place et d'après ce que j'ai entendu à la radio, il ne veut pas lui donner une chance qui pourrait la renforcer pour les élections de Février!!!! De toutes façons, il n'est pas encore inculpé, car aucune date n'aurait été retenue.
Envoyé par Claude_006 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 11:51
derniere minute un rabbin est actuellement detenu en otage parles islamistes en inde
Envoyé par Leon_002 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 12:11
UE - Sondage : les Européens pensent que l’islam menace leur mode de vie
dimanche 27 janvier 2008

Une « majorité écrasante » d’Européens pensent que l’immigration en provenance de pays islamiques constitue une menace pour leur mode de vie traditionnel, selon une enquête diffusée hier soir. Le sondage, mené dans 21 pays, a trouvé « un sentiment anti-immigration très répandu », mais avertit que la population musulmane de l’Europe va tripler dans les 17 prochaines années.

Le sondage signale « un grave déficit de confiance entre les communautés musulmanes et occidentales », la plupart des gens souhaitant moins d’interaction avec le monde musulman.

Hier soir, un député a averti que le sondage montre que les dirigeants politiques en Grande-Bretagne qui prêchent les avantages de l’immigration illimitée sont dangereusement déconnectés du public.

L’étude, dont les auteurs incluent l’ancien archevêque de Cantorbéry Lord Carey, a été commandée pour les leaders au Forum économique mondial à Davos, en Suisse.

Il rapporte « la crainte croissante des Européens d’une perception de menace islamique pour leur identité culturelle, provoquée en partie par l’immigration en provenance de pays à prédominance musulmane ».

Et il conclut : « Une majorité écrasante des populations sondées en Europe pensent qu’une plus grande interaction entre l’Islam et l’Occident est une menace ». Le député Tory d’arrière-banc David Davies a déclaré au Sunday Express : « Je ne suis pas surpris par ces résultats. Les gens en ont assez du multiculturalisme et de se faire dire qu’ils doivent renoncer à leur mode de vie. »

« La plupart des gens en Grande-Bretagne s’attendent que toute personne qui vient ici doit être prête à apprendre notre langue et à s’intégrer avec nous. »

M. Davies, qui siège sur le Commons Home Affairs Committee, a ajouté : « Les gens sont irrités quand ils voient les millions consacrés à la traduction de documents et à l’aide judiciaire accordée aux personnes qui luttent pour le droit de porter un vêtement couvrant le corps de la tête aux pieds à l’école. »

« Beaucoup de gens sont très mal à l’aise avec les changements causés par l’immigration et les politiciens ont été trop lents à se réveiller. »

Le rapport ajoute que les gens ont peu d’enthousiasme pour une meilleure compréhension de l’islam et que les tentatives d’améliorer les relations ont été « décevantes ».

Et avec la population musulmane de l’UE qui devrait atteindre 15% d’ici 2025, il prédit : « Toute détérioration sur le plan international se fera sentir plus fortement en Europe. »

Mais l’éminente universitaire musulmane Haleh Afshar, de l’Université York, blâme « l’hystérie des médias » pour les conclusions. Elle a dit : « Il y a une absence de confiance envers les musulmans, mais à mon avis c’est à cause des médias non informés. »

« Blâmer l’immigration est beaucoup plus difficile parce que l’actuel afflux d’immigrants en provenance de l’Europe de l’Est sont généralement des non musulmans. »

« Le danger est que, lorsque les gens ont peur des gens nés et élevés dans ce pays, il est probable que la discrimination puisse s’ensuivre. »

Envoyé par Roland_002 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 12:25
Grande Bretagne - Les britanniques émigrent en nombre record
lundi 28 janvier 2008

Les britanniques quittent le pays en nombre record, à cause de la flambée des niveaux de l’immigration, du crime et des impôts.

Les chiffres du gouvernement dus pour être publiés plus tard cette année montreront le nombre étonnant de 250000 personnes ayant fui la Grande-Bretagne en 2007.

C’est 684 par jour, ou une personne à toutes les deux minutes.

Et c’est une énorme augmentation de 21% sur les 207 000 qui ont quitté le pays en 2006, et de près de 70% sur les 149 000 qui ont quitté en 1997.

Les experts s’attendent à un total encore plus élevé pour cette année, les familles durement éprouvées cherchant une nouvelle vie au soleil. Les principales destinations sont l’Australie, la Nouvelle-Zélande, la France et l’Espagne.

Pendant ce temps, un grand nombre d’étrangers affluent en Grande-Bretagne, 591 000 s’y étant installés en 2006.

Il y a eu 90% d’augmentation de l’immigration au cours des dix dernières années, de 327 000 en 1997 à un total estimatif de 620 000 l’année dernière. L’expert en émigration Paul Arthur croit que le nombre de ceux qui quittent le pays va continuer d’augmenter.

Il a dit : « Nous avons eu un nombre record de demandes de renseignements concernant l’émigration cet hiver, et pas seulement par des gens qui veulent échapper au morne climat, mais à la recherche d’un changement complet de mode de vie ».

« Beaucoup ne sont pas satisfaits avec les niveaux de criminalité, les impôts et le mode de vie en général. Il y a plus de possibilités de carrière outremer, notamment en Australie et en Nouvelle-Zélande, des pays qui ont d’énormes déficits de main-d’œuvre qualifiée. »

Envoyé par Roland_002 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 12:29
La théorie du théologien musulman : Il est vraisemblable que le Prophète Mahomet n’ait jamais existé.

MUNSTER, Allemagne — Mohammed Sven Kalisch, musulman converti et premier professeur de théologie musulmane en Allemagne, jeûne pendant le mois sacré musulman, n’aime pas serrer la main aux femmes musulmanes, et a passé des années à étudier les écritures islamiques. L’islam, dit-il, guide ma vie. L’annonce du fruit de ses recherches théologiques a provoqué la surprise. Sa conclusion : Le Prophète Mahomet n’a probablement jamais existé.

Sans surprise les musulmans sont outragés. Même les caricaturistes danois qui ont déclenché des manifestations globales il y a quelques années n’avaient pas présenté le Prophète comme fictionnel. La police allemande, préoccupée par l’éventualité de violentes représailles, a demandé au professeur de déménager son centre d’études religieuses dans des locaux plus sécurisés.

« Nous n’aurions jamais soupçonné qu’il avait de telles idées » déclare Thomas Bauer, un de ses collègues de l’Université de Münster qui a siégé au comité qui a nommé le Pr. Kalisch. « Je suis un musulman plus orthodoxe que lui, mais je ne suis pas musulman ».

Lorsque le Pr. Kalisch a pris sa chaire de théologie il y a quatre ans, il était perçu comme une preuve que l’Occident moderne et les voies islamiques peuvent se mélanger et contrer l’influence des prêcheurs radicaux en Allemagne. Il fût chargé d’un nouveau programme à Münster, l’une des universités les plus an
Envoyé par Roland_002 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 12:36
Plus de 200 musulmans réunis dans une salle bondée de Tower Hamlets se sont faits dire par l’organisateur Anjem Choudary : « Nous avons une agréable surprise pour vous, un cadeau spécial. Cheik Omar Bakri Muhammad va se joindre à nous en direct du Liban ». Il a ajouté : « En tant que musulmans, nous ne nous soumettrons à aucune loi édictée par les hommes, à aucun gouvernement, à aucun premier ministre – ni Bush ni Brown – non plus qu’à Jacqui Smith. Nous nous soumettons à Allah ».

Choudary qui dirigeait avec Bakri l’organisation fanatique Al-Muhajiroun - tristement célèbre avant son interdiction et dissolution en 2004 pour sa glorification du terrorisme et des attentats du 11/9 - a réchauffé la foule, il y a deux semaines, avec sa propre rhétorique incendiaire.

« Il est de notre devoir religieux de nous préparer physiquement et mentalement à nous soulever contre l’oppression des musulmans et à prendre ce qui nous revient », a-t-il dit. « Le djihad est un devoir et une lutte et une obligation qui repose sur les épaules de chacun de nous. Nous ne prendrons pas de repos avant que la bannière d’Allah, le drapeau de l’islam ne soit hissé sur le 10 Downing Street ».

Sous un fond de bruyantes acclamations de Allah Akbar [allah est grand], il a déclaré : « Il existe trois types de musulmans, ceux qui sont en prison, ceux d’entre nous qui sont sur le chemin de la prison, et les musulmans non pratiquants. Frères et soeurs, si vous ne craignez pas une descente de la police koufar (infidèle) dans votre maison, c’est que vous n’appliquez pas la charia ».

Plus tard, devant une énorme bannière qui exhorte « les musulmans à se soulever contre l’oppression britannique », il a présenté l’étoile de la soirée, Omar Bakri, 50 ans, qui était au Liban. Un écran géant, mesurant six pieds par six pieds, avait été installé pour projeter l’image de l’extrémiste connu sous le nom de « l’Ayatollah de Tottenham ». Son retour au Royaume-Uni a été refusé en 2005 « comme n’étant pas propice au bien public » après qu’il ait exprimé le souhait que les musulmans infligent à l’Occident un 11/9 jour après jour ».

Mais quand un problème avec le lien Internet en direct a empêché la projection de l’image de Bakri, M. Choudary a téléphoné à son collègue et mis le récepteur sur le microphone. La connexion était forte et claire et Bakri a parlé pendant 15 minutes.

Sauf pour un groupe d’hommes âgés portant de longues barbes blanches assis dans la rangée avant, la plupart des 200 hommes présents étaient des musulmans sur la fin de l’adolescence ou au début de la vingtaine, la plupart vêtus de shalwar kameez avec des accessoires occidentaux – des baskets, des capuches et des jackets. A l’arrière de la salle, derrière des cloisons, se tenaient plus de 50 femmes portant des burkas.

« N’obéissez pas aux lois britanniques », a dit Omar Bakri. Il a salué son héros Osama bin Laden pour être un guerrier, et s’est exclamé : « Nous devons nous battre et mourir pour l’islam – c’est le chemin qui mène à Jennah [le paradis] ». Il a dit que les musulmans n’ont pas besoin d’obéir aux lois des hommes et que si quelqu’un leur ordonne de le faire, ils doivent répondre « haut et fort, avec fierté » qu’ils sont musulmans. Il a qualifié les nouvelles lois contre l’extrémisme de « malades ».

Il s’agit effectivement des nouvelles mesures annoncées il y a deux semaines par Jacqui Smith, qui visent à empêcher les « prêcheurs de haine de répandre l’extrémisme au sein de nos communautés ». Pourtant, c’est exactement ce que Bakri faisait, préparant potentiellement la prochaine génération de kamikazes. Et aucun policier en uniforme n’était en vue.

L’assemblée d’une durée de quatre heures, organisée par Choudary via un site Web appelé Islam for The UK (L’islam pour le Royaume Uni), a eu lieu au nez et à la barbe du Conseil de Tower Hamlets dans le Centre communautaire des arts que le Conseil loue pour £ 78 l’heure. Mais ni le Conseil ni la police ni le ministère de l’Intérieur ne semblent avoir réalisé que Bakri était diffusé en direct dans le cœur de Londres.

Est-ce que les organisateurs - et peut-être le Conseil de Tower Hamlets - enfreignaient la loi en permettant à Bakri de prendre la parole ?

Personne ne semblait le savoir. Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a déclaré : « Cela ne semble pas couvert par les nouvelles mesures, qui visent seulement à empêcher des individus de venir ici et de prêcher la haine en personne. »

Plus tard, dans une déclaration, le ministère de l’Intérieur a dit : « Le Royaume-Uni est déterminé à empêcher ceux qui propagent l’extrémisme de prêcher des messages violents dans nos communautés, mais il appartient à la police et au Ministère public d’enquêter sur toute violation de la loi ».

Lorsqu’il a été informé de cela, un porte-parole de la police métropolitaine a été complètement déconcerté. « C’est le ministère de l’Intérieur qui fait les lois », a-t-il dit. « Si le ministère ne sait pas si quelque chose est contraire à la loi, alors qui le saurait ? »

Pourtant, bien sûr, la police a le devoir de faire enquête et de décider si les organisateurs devraient être poursuivis.

Choudary, un avocat de 41 ans, - dont on dit que lorsqu’il était à l’Université de Southampton (où il se faisait appeler Andy), il s’adonnait à l’alcool, au cannabis et au sexe avant d’embrasser le fondamentalisme - est le seul qui semble avoir une réponse claire. Il a dit au Standard : « Le gouvernement a décidé que la présence d’Omar Bakri ici n’est pas propice au bien public, mais il n’a été reconnu coupable d’aucun crime et il n’y a pas de restriction empêchant qu’on interagisse avec lui au moyen d’un lien vidéo ou par téléphone. »

Un porte-parole du Conseil de Tower Hamlets a confirmé que l’assemblée avait eu lieu au Brady Arts and Community Centre, une propriété du Conseil située sur la rue Hanbury tout près de Brick Lane. Il a déclaré : « Nous avions contacté la police qui nous a avisé qu’il n’y avait pas de préoccupations majeures concernant l’organisation de l’événement par ce groupe. Nous ne savions pas que Omar Bakri était impliqué, car cela n’avait pas été mentionné sur la publicité annonçant l’événement. À l’avenir, nous allons renforcer nos vérifications en demandant une liste des orateurs, y compris ceux qui communiquent par liens vidéos. »

Mais Ed Husain, co-fondateur de la Fondation Quilliam, un groupe de réflexion contre le terrorisme, dit que Tower Hamlets a longtemps fermé les yeux sur les activités des extrémistes. « Nous ne pouvons nous permettre de laisser Tower Hamlets, où vit la plus importante population musulmane de Grande-Bretagne, devenir un foyer de radicalisme. Les graines de la terreur sont semées à ces événements », a-t-il dit.

Il a également critiqué la police pour sa complaisance. « Il est bien connu que Choudary est le porte-parole de Bakri au Royaume-Uni, et que ce groupe, Islam for The UK, est une faction dissidente d’Al-Muhajiroun et de Hizb ut-Tahrir, qui sont à l’origine de l’extrémisme en Grande-Bretagne. Alors, pourquoi ce groupe n’est-il pas interdit et ses dirigeants, arrêtés ? Exhorter les jeunes musulmans à désobéir aux lois britanniques et à se soulever jusqu’à ce que la bannière de l’islam flotte au-dessus du 10 Downing Street est alarmant et terrifiant ».

L’événement, identifié comme une conférence « pour se lever debout et défendre l’honneur des musulmans », a été publicisé sur plusieurs sites extrémistes ayant des liens avec le site Islam For The UK, qui promeut l’application de la charia en Grande-Bretagne. Au-delà d’un kiosque offrant des currys faits maison et du Coca-Cola pour £ 3 et un présentoir avec des DVD islamiques vendus au prix de £ 2, il y avait une grande salle où le public priait en arabe avant le début de la réunion.

Outre Bakri, il y avait trois autres orateurs : Abu Muaz, chef du Mouvement de la jeunesse salafiste du Royaume-Uni ; Abu Yahya, porte-parole pour les adeptes de Ahlus Sunnah Wal Jama’aah, et Abou Rumaysah, étudiant à la London School of Shariah.

Chacun a parlé pendant 40 minutes, entrecoupé par des clips vidéos de l’Irak, de l’Afghanistan et de Guantanamo conçus pour alimenter le thème victimaire des musulmans opprimés en Grande-Bretagne et en Occident. À titre d’exemple de cette oppression, un orateur a déclaré : « Au Royaume-Uni, les terroristes font 40 ans de prison tandis que les assassins et les pédophiles sont remis en liberté au bout de cinq ans ».

Abu Muaz a critiqué les imams du Royaume-Uni, affirmant qu’ils sont trop souples et tolérants. Il a dit que « les paroles ne suffisent pas » et qu’il était temps de « passer à l’action ». « Vous devez détruire l’Occident », a-t-il déclaré.

Mais le plus provocateur a été le leader étudiant Abu Rumaysah, qui a parlé à la foule comme s’ils étaient des terroristes à l’entraînement. « Supprimez le matériel superflu de votre ordinateur, prenez des précautions pour ne pas attirer l’attention sur vous et préparez votre famille à une descente de la police », a-t-il dit. Il a ajouté qu’ils devraient soutenir les familles des musulmans qui sont arrêtés et que l’Islam ne prendra le pouvoir au Royaume-Uni que si les musulmans sont proactifs et appliquent la charia dans leurs propres communautés.

« Les femmes doivent être couvertes, les hommes coupables de fornication [hors mariage] doivent être fouettés et il faut couper la main du voleur ou de celui qui a enfreint la charia », a-t-il dit.

Quand une femme en burka a demandé comment il pouvait justifier cela alors que l’islam est censé être une religion de paix, la foule s’est moquée d’elle. Mais c’est Choudary qui s’est levé pour la remettre à sa place. « L’islam n’est pas une religion de paix », a-t-il dit. « C’est une religion de soumission. Nous devons nous soumettre à la volonté d’Allah ».

Plus tard, le Evening Standard a demandé à Choudary si le fait d’exhorter les jeunes musulmans britanniques à « se soulever » n’était pas une incitation à la violence ? Il a ri. « Par se soulever je veux dire se lever debout et clamer votre point de vue haut et fort », a-t-il dit. C’était du double langage classique de Choudary. Le public comprend clairement ses intentions. Mais avec l’indécision du ministère de l’Intérieur sur ces assemblées, il semble savoir exactement jusqu’où il peut aller, et s’en sortir impunément.

Envoyé par Roland_002 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 12:42
Plus de 200 musulmans réunis dans une salle bondée de Tower Hamlets se sont faits dire par l’organisateur Anjem Choudary : « Nous avons une agréable surprise pour vous, un cadeau spécial. Cheik Omar Bakri Muhammad va se joindre à nous en direct du Liban ». Il a ajouté : « En tant que musulmans, nous ne nous soumettrons à aucune loi édictée par les hommes, à aucun gouvernement, à aucun premier ministre – ni Bush ni Brown – non plus qu’à Jacqui Smith. Nous nous soumettons à Allah ».

Choudary qui dirigeait avec Bakri l’organisation fanatique Al-Muhajiroun - tristement célèbre avant son interdiction et dissolution en 2004 pour sa glorification du terrorisme et des attentats du 11/9 - a réchauffé la foule, il y a deux semaines, avec sa propre rhétorique incendiaire.

« Il est de notre devoir religieux de nous préparer physiquement et mentalement à nous soulever contre l’oppression des musulmans et à prendre ce qui nous revient », a-t-il dit. « Le djihad est un devoir et une lutte et une obligation qui repose sur les épaules de chacun de nous. Nous ne prendrons pas de repos avant que la bannière d’Allah, le drapeau de l’islam ne soit hissé sur le 10 Downing Street ».

Sous un fond de bruyantes acclamations de Allah Akbar [allah est grand], il a déclaré : « Il existe trois types de musulmans, ceux qui sont en prison, ceux d’entre nous qui sont sur le chemin de la prison, et les musulmans non pratiquants. Frères et soeurs, si vous ne craignez pas une descente de la police koufar (infidèle) dans votre maison, c’est que vous n’appliquez pas la charia ».

Plus tard, devant une énorme bannière qui exhorte « les musulmans à se soulever contre l’oppression britannique », il a présenté l’étoile de la soirée, Omar Bakri, 50 ans, qui était au Liban. Un écran géant, mesurant six pieds par six pieds, avait été installé pour projeter l’image de l’extrémiste connu sous le nom de « l’Ayatollah de Tottenham ». Son retour au Royaume-Uni a été refusé en 2005 « comme n’étant pas propice au bien public » après qu’il ait exprimé le souhait que les musulmans infligent à l’Occident un 11/9 jour après jour ».

Mais quand un problème avec le lien Internet en direct a empêché la projection de l’image de Bakri, M. Choudary a téléphoné à son collègue et mis le récepteur sur le microphone. La connexion était forte et claire et Bakri a parlé pendant 15 minutes.

Sauf pour un groupe d’hommes âgés portant de longues barbes blanches assis dans la rangée avant, la plupart des 200 hommes présents étaient des musulmans sur la fin de l’adolescence ou au début de la vingtaine, la plupart vêtus de shalwar kameez avec des accessoires occidentaux – des baskets, des capuches et des jackets. A l’arrière de la salle, derrière des cloisons, se tenaient plus de 50 femmes portant des burkas.

« N’obéissez pas aux lois britanniques », a dit Omar Bakri. Il a salué son héros Osama bin Laden pour être un guerrier, et s’est exclamé : « Nous devons nous battre et mourir pour l’islam – c’est le chemin qui mène à Jennah [le paradis] ». Il a dit que les musulmans n’ont pas besoin d’obéir aux lois des hommes et que si quelqu’un leur ordonne de le faire, ils doivent répondre « haut et fort, avec fierté » qu’ils sont musulmans. Il a qualifié les nouvelles lois contre l’extrémisme de « malades ».

Il s’agit effectivement des nouvelles mesures annoncées il y a deux semaines par Jacqui Smith, qui visent à empêcher les « prêcheurs de haine de répandre l’extrémisme au sein de nos communautés ». Pourtant, c’est exactement ce que Bakri faisait, préparant potentiellement la prochaine génération de kamikazes. Et aucun policier en uniforme n’était en vue.

L’assemblée d’une durée de quatre heures, organisée par Choudary via un site Web appelé Islam for The UK (L’islam pour le Royaume Uni), a eu lieu au nez et à la barbe du Conseil de Tower Hamlets dans le Centre communautaire des arts que le Conseil loue pour £ 78 l’heure. Mais ni le Conseil ni la police ni le ministère de l’Intérieur ne semblent avoir réalisé que Bakri était diffusé en direct dans le cœur de Londres.

Est-ce que les organisateurs - et peut-être le Conseil de Tower Hamlets - enfreignaient la loi en permettant à Bakri de prendre la parole ?

Personne ne semblait le savoir. Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a déclaré : « Cela ne semble pas couvert par les nouvelles mesures, qui visent seulement à empêcher des individus de venir ici et de prêcher la haine en personne. »

Plus tard, dans une déclaration, le ministère de l’Intérieur a dit : « Le Royaume-Uni est déterminé à empêcher ceux qui propagent l’extrémisme de prêcher des messages violents dans nos communautés, mais il appartient à la police et au Ministère public d’enquêter sur toute violation de la loi ».

Lorsqu’il a été informé de cela, un porte-parole de la police métropolitaine a été complètement déconcerté. « C’est le ministère de l’Intérieur qui fait les lois », a-t-il dit. « Si le ministère ne sait pas si quelque chose est contraire à la loi, alors qui le saurait ? »

Pourtant, bien sûr, la police a le devoir de faire enquête et de décider si les organisateurs devraient être poursuivis.

Choudary, un avocat de 41 ans, - dont on dit que lorsqu’il était à l’Université de Southampton (où il se faisait appeler Andy), il s’adonnait à l’alcool, au cannabis et au sexe avant d’embrasser le fondamentalisme - est le seul qui semble avoir une réponse claire. Il a dit au Standard : « Le gouvernement a décidé que la présence d’Omar Bakri ici n’est pas propice au bien public, mais il n’a été reconnu coupable d’aucun crime et il n’y a pas de restriction empêchant qu’on interagisse avec lui au moyen d’un lien vidéo ou par téléphone. »

Un porte-parole du Conseil de Tower Hamlets a confirmé que l’assemblée avait eu lieu au Brady Arts and Community Centre, une propriété du Conseil située sur la rue Hanbury tout près de Brick Lane. Il a déclaré : « Nous avions contacté la police qui nous a avisé qu’il n’y avait pas de préoccupations majeures concernant l’organisation de l’événement par ce groupe. Nous ne savions pas que Omar Bakri était impliqué, car cela n’avait pas été mentionné sur la publicité annonçant l’événement. À l’avenir, nous allons renforcer nos vérifications en demandant une liste des orateurs, y compris ceux qui communiquent par liens vidéos. »

Mais Ed Husain, co-fondateur de la Fondation Quilliam, un groupe de réflexion contre le terrorisme, dit que Tower Hamlets a longtemps fermé les yeux sur les activités des extrémistes. « Nous ne pouvons nous permettre de laisser Tower Hamlets, où vit la plus importante population musulmane de Grande-Bretagne, devenir un foyer de radicalisme. Les graines de la terreur sont semées à ces événements », a-t-il dit.

Il a également critiqué la police pour sa complaisance. « Il est bien connu que Choudary est le porte-parole de Bakri au Royaume-Uni, et que ce groupe, Islam for The UK, est une faction dissidente d’Al-Muhajiroun et de Hizb ut-Tahrir, qui sont à l’origine de l’extrémisme en Grande-Bretagne. Alors, pourquoi ce groupe n’est-il pas interdit et ses dirigeants, arrêtés ? Exhorter les jeunes musulmans à désobéir aux lois britanniques et à se soulever jusqu’à ce que la bannière de l’islam flotte au-dessus du 10 Downing Street est alarmant et terrifiant ».

L’événement, identifié comme une conférence « pour se lever debout et défendre l’honneur des musulmans », a été publicisé sur plusieurs sites extrémistes ayant des liens avec le site Islam For The UK, qui promeut l’application de la charia en Grande-Bretagne. Au-delà d’un kiosque offrant des currys faits maison et du Coca-Cola pour £ 3 et un présentoir avec des DVD islamiques vendus au prix de £ 2, il y avait une grande salle où le public priait en arabe avant le début de la réunion.

Outre Bakri, il y avait trois autres orateurs : Abu Muaz, chef du Mouvement de la jeunesse salafiste du Royaume-Uni ; Abu Yahya, porte-parole pour les adeptes de Ahlus Sunnah Wal Jama’aah, et Abou Rumaysah, étudiant à la London School of Shariah.

Chacun a parlé pendant 40 minutes, entrecoupé par des clips vidéos de l’Irak, de l’Afghanistan et de Guantanamo conçus pour alimenter le thème victimaire des musulmans opprimés en Grande-Bretagne et en Occident. À titre d’exemple de cette oppression, un orateur a déclaré : « Au Royaume-Uni, les terroristes font 40 ans de prison tandis que les assassins et les pédophiles sont remis en liberté au bout de cinq ans ».

Abu Muaz a critiqué les imams du Royaume-Uni, affirmant qu’ils sont trop souples et tolérants. Il a dit que « les paroles ne suffisent pas » et qu’il était temps de « passer à l’action ». « Vous devez détruire l’Occident », a-t-il déclaré.

Mais le plus provocateur a été le leader étudiant Abu Rumaysah, qui a parlé à la foule comme s’ils étaient des terroristes à l’entraînement. « Supprimez le matériel superflu de votre ordinateur, prenez des précautions pour ne pas attirer l’attention sur vous et préparez votre famille à une descente de la police », a-t-il dit. Il a ajouté qu’ils devraient soutenir les familles des musulmans qui sont arrêtés et que l’Islam ne prendra le pouvoir au Royaume-Uni que si les musulmans sont proactifs et appliquent la charia dans leurs propres communautés.

« Les femmes doivent être couvertes, les hommes coupables de fornication [hors mariage] doivent être fouettés et il faut couper la main du voleur ou de celui qui a enfreint la charia », a-t-il dit.

Quand une femme en burka a demandé comment il pouvait justifier cela alors que l’islam est censé être une religion de paix, la foule s’est moquée d’elle. Mais c’est Choudary qui s’est levé pour la remettre à sa place. « L’islam n’est pas une religion de paix », a-t-il dit. « C’est une religion de soumission. Nous devons nous soumettre à la volonté d’Allah ».

Plus tard, le Evening Standard a demandé à Choudary si le fait d’exhorter les jeunes musulmans britanniques à « se soulever » n’était pas une incitation à la violence ? Il a ri. « Par se soulever je veux dire se lever debout et clamer votre point de vue haut et fort », a-t-il dit. C’était du double langage classique de Choudary. Le public comprend clairement ses intentions. Mais avec l’indécision du ministère de l’Intérieur sur ces assemblées, il semble savoir exactement jusqu’où il peut aller, et s’en sortir impunément.

Envoyé par Roland_002 - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 12:44
eh bien qu'il mette son plan en exécution!!!!
Envoyé par Dreba Maggy - le Jeudi 27 Novembre 2008 à 12:58
Membre Juif.org





Dernière mise à jour, il y a 35 minutes