Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

(suite) Ce que l'amiral Mullen sous-entend ou veut laisser entendre, c'est qu'une éventuelle intervention contre les sites nucléaires iraniens risquerait, si l'Iran s'en prend, en rétorsion, aux bases et aux troupes américaines dans la région, d'avoir des répercussions telles que les Etats-Unis ne pourraient pas se tenir à l'écart, jouer les " innocent bystanders " . C'est un élément en effet qui ne peut pas être écarté d'un revers de main. Mais la position d'Israël ne peut être conditionnée de façon absolue par cette considération car, s'il n'est pas impossible que l'Iran veuille fiche le feu au Golfe tout entier pour se " venger " d'une éventuelle opération israélienne contre ses sites nucléaires, et qu'il en résulte, pour les Etats-Unis des pertes en hommes et en matériels, néanmoins ces pertes, mêmes importantes, ne feraient pas courir un risque vital aux Etats-Unis, alors que, comme le soulignait, il y a deux ou trois jours, le nouvel ambassadeurs israélien aux Etats-Unis son nom m'échappe aussi, momentanément ... ), l'arme nucléaire donnerait à l'Iran la possibilité d'anéantir Israël en quelques minutes. Pour Israël, la mise hors d'état de nuire des installations nucléaires iraniennes est une question de vie ou de mort.

Shalom Edmond!!
BIEN VU!!!!

Pour tirer une -triste- conclusion de tous vos posts extrêmement réalistes et documentés, Edmond, Alexander, Hilda, etc..., il ressort que nous n'avons plus aucun chef d'état démocratique digne de ce nom comme il y en a eu une cinquantaine d'années en arrière (je ne citerai pas de noms pour éviter toute polémique).

Partout où nous tournons les yeux, ce ne sont que chefs d'états soi-disant civilisés frileux, apeurés par des manifestations de voyous, qui auraient été réglés en 2 temsp, 3 mouvements, en d'autres temps, et tous ces irresponsables inconscients qui nous dirigent, nous mènent droit au mur pour ne pas "heurter" un monde fanatique de muzz qui n'en ont rien à faire de leurs salamalecs, et les méprisent souverainement.

Quel monde écoeurant.

HAM ISRAEL HAYE (devant le Mur des Lamentations, car on va avoir besoin de beaucoup de prières vus les abrutis qui gouvernent le monde sans aucun "gouvernail", aussi bien les occidentaux que les orientaux, sauf Israêl qui garde les yeux bien ouverts et prend ses précautions)

HO la la !!!!!!JO BIDEN est revenu par trois fois dire qu'ISRAEL etait un pays souverain qui est libre de faire ce qu'il doit faire,et pouvant juger tout ce qui est pertinent pour ses interets en ce qui concerne L'Iran ou tout autre sujet que nous soyons d'accord ou NON. ça ça vaut son pesant de cacahouettes.
Alors si nous devons faire le travail pour les pays arabes alentours nous DEVONS EXIGER QUE PLUS PERSONNE NE REPARLE DE PALESTINE NI DE PALESTINIENS?UNE PARTIE DES TERRITOIRES DE LA JORDANIE DE L'ARABIE SAOUDITE ET DE L'EGYPTE POUR Y CASER TOUS LES SUSNOMMES PALESTINIENS ?
DONT ACTE.............

Je n'aime guère la façon actuelle des Américains de traiter Israël, pour qui vraiment prend on ce pays et ses dirigeants!!!! sont ils déjà, tellement, aux ordres d'Hussein Obama? c'est humiliant et honteux que les Américains se soient permis, il n'y a pas si longtemps, d'INTERDIRE à Israël de bombarder les sites nucléaires, et quelque temps après, allez, nous ne nous y opposons plus, après tout, vous êtes souverain, et nul ne peut vous dire ce que vous devez faire!!! je ne comprends pas ce que cela veut dire, il faut donc être à leur botte en permanence, et vivre aux gré de leurs ordres de leurs contre ordres!! et le même jour, ils obligent Israël à geler une commande d'avions de combats, à l'Inde !!!!!! allons, que les Etats Unis s'occupent déjà de leurs états, et ils en ont déjà pas mal, qu'ils s'occupent un peu du Coréen, qui ne cesse de leur faire des bras d'honneur, pour bien leur montrer qu'ils ne font plus peur à personne!!!!!!Qu'ils laissent Israël faire ce qu'il a à faire, pendant tant d'années, ils ont gagné les guerres de défense qu'ils ont été obligé de faire, et personne ne les a aidé!!

Tout à fait d'accord avec vous, ma chère Claude.

Malheureusement, il semble que depuis l'arrivée d'hussein aux rênes des States, grâce à ses mémorables baise-mains à l'égard du représentant de l'arabie saoudite, sans oublier son non moins inénarrable discours du caire, les terroristes se croient tout permis, eux qui n'avaient déjà pas trop de scrupules auparavant, et tout le monde "jongle" avec les nerfs des responsables israéliens et de leur population.

Absolument dégueu....et comment se sortir de cet isolement où nous sommes tous placés, Israêl et les juifs de la diaspora, puisqu'on nous discrédite dès qu'on émet la moindre critique sur ces injustices flagrantes, ces incohérences, et qu'on ose vouloir "rétablir" la vérité via des faits prouvés....

HAM ISRAEL HAYE (avec un bon coup de bâton -pas celui de J.Bridou, pas cacher- sur la tête des ahuris qui croient diriger le monde, alors qu'ils savent même pas distinguer leur main droite de leur main gauche. Ils se reconnaîtront)

Les propos de Joe Biden ont ( aussi ) comme destinataires les Russes, au moment où Barack Hussein Obama va à Moscou.

Pour le reste, je crois que les évolutions américaines actuelles - encore que limitées, incertaines et en tout cas insuffisantes - résultent toutes d'un même élément, en soi extrêmement important : l'Iran, contrairement à ce que l'on a voulu croire envers et contre tout à Washington, ne prêtera nullement la main à Obama, malgré toutes les avances qui lui ont été faites. Ceux qui, à Téhéran, auraient pu se prêter à la manoeuvre obamienne sont à l'écart du pouvoir.

Or, l'entente, une entente, avec l'Iran constituait la clé de voûte de la nouvelle orientation américaine au Proche-Orient - tout simplement parce que les clés de ce qui se passe ou peut se passer en Syrie, au Liban et dans le Hamastan ( voire dans le Fatahland ) sont en fait à Téhéran - et non pas au Caire ni même à Ryad. Parler d'une " solution à deux Etats " n'a aucun sens tant que, sur le terrain, les choses dépendent, par Hezbollah ou par Hamas interposé, de décisions prises à Téhéran.

Les milieux dirigeants américains sont probablement en train de réévaluer leur politique extérieure. Ce réexamen commence à peine, et il se heurte certainement aux cercles néo-cartériens, voire tiers-mondistes de la Maison Blanche, à commencer probablement par Obama lui-même.

Mais il n'est pas dit que les élites politiques américaines ( y com

J'ai donc été "modérée" parce que j'approuvais les propos de notre amie Claude. Bravo la modération...

HAM ISRAEL HAYE

(suite) ( y compris les cercles dirigeants du parti démocrate, peu désireux de voir le nom de leur parti associé à une grande " diminutio capitis " des Etats-Unis sur la scène mondiale ) ne soient pas en train de faire un premier bilan et de tenter de mettre quelques freins à une politique qui, jusqu'ici, a surtout rapporté des humiliations et des déboires ( Iran, mais aussi Corée du Nord ).

Et ne soient pas en train de réactiver, ici et là, quelques options plus " musclées " : on peut rapprocher divers éléments : le premier signe d'un " glissement " ( certes encore relatif et menacé ) a été la " rébellion " d'une partie ( mais non la moindre : Joe Biden, Mme Clinton ) des caciques démocrates devant la quasi-absence de réaction d'Obama face à la répression en Iran ; le deuxième signe, à mon avis extrêment important, a été l'éviction de Manuel Zelaya, stoppant net la " chavisation " du Honduras ( a-t-on remarqué que cette éviction coïncide à peu près avec la déclaration de Daniel Ayalon, vice-ministre israélien des Affaires étrangères et ex-ambassadeur d'Israël à Washington, selon laquelle il fallait mettre un terme aux progrès de l'Iran en Amérique latine ? ) ; les troisième et quatrième signe ont été les plus remarqués et commentés : Egypte et Arabie séoudite ont, tour à tour, signifié qu'elles offriraient à Israël de très importantes facilités techniques, géo-stratégiques, en cas d'opération contre les sites nucléaires iraniens ; le quatrième signe est

(suite) la déclaration de Joe Biden sur la liberté d'action d'Israël à l'égard de l'Iran, façon de signifier très clairement que, désormais,les Etats-Unis ne s'opposeraient pas à " l'option militaire " si Israël estimait nécessaire d'y recourir. Quant aux prétendues réserves du président du " Joint Chiefs of Staff " , l'amiral Michael Mullen, elles me paraissaient, je l'ai laissé entendre, très surévaluées et la lecture de l'article de Michel Garroté, qui se réfère, non à la version de l'AFP, mais au texte original des déclarations de l'amiral Mullen, renforce mon sentiment : le président du " US Joint Chiefs of Staff " ne plaide certainement pas en faveur de la mollesse vis-à-vis de l'Iran.