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Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Sarkozy devrait presser Assad de reprendre les discussions avec Israël

Sarkozy devrait presser Assad de reprendre les discussions avec Israël - © Juif.org
Le président français Nicolas Sarkozy devrait inviter son homologue syrien à ouvrir des pourparlers direct avec Israël lorsque les deux hommes se réuniront ce vendredi à Paris.
 
Alors que les Etats-Unis s’occupent principalement de faire redémarrer un processus de paix israélo-palestinien au point mort, la France a dépensé beaucoup de son énergie sur le dossier syrien, qu’elle considère être la clé du processus de paix au Proche Orient.
 
Mercredi, le premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré à Sarkozy dans la capitale française qu’il parlerait au président syrien « n’importe quand et n’importe où » , et ce « sans condition. »
 
Une source au gouvernement précise que le premier ministre serait disposé à parler directement avec Assad, une situation que ne s’était pas reproduite depuis qu’Ehoud Barak était en poste il y a une dizaine d’années.
 
Netanyahou lui-même n’a jamais parlé directement avec la Syrie. Ehoud Olmert a conclu quatre tours de pourparlers indirects avec les syriens lorsqu’il était premier ministre, et ce, via la Turquie.
 
Mais les relations entre la Turquie et Israël s’étant récemment détériorées, la porte est ouverte à des spéculations qui verraient la France entamer une médiation pour une reprise des pourparlers. Le bureau du premier ministre a refusé de commenter cette possibilité ce jeudi.
 
Cherchant à rentrer dans le jeu de la paix au Proche Orient, le ministre brésilien des affaires étrangères Celso Amorom a déclaré à la radio militaire que son pays serait disposé à prendre en main la reprise des pourparlers israélo-palestiniens.
 
Mais en rencontrant séparément la même semaine Netanyahou et Assad, Sarkozy et la France prennent une position dominante dans ce processus.
 
Le bureau du premier ministre a toutefois refusé de reconnaître que Netanyahou puisse avoir laissé un message à Sarkozy à l’attention d’Assad.
 
Le bureau a aussi rejeté une information de la chaine Al-Arabiya disant que Netanyahou serait prêt à céder le Golan aux syriens.
 
Le vice-premier ministre Silvan Shalom a qualifié jeudi cette information de « non sens. »
 
Le premier ministre est « prêt à reprendre les négociations sans condition. Sans condition veut dire que tout le monde viendra et exposera ses demandes. Les syriens demanderont un retrait complet jusqu’aux frontières du 4 juin 1967, et nous pourrions dire que nous désirons garder le Golan, » précise Shalom.
 
« De dire que nous accepterions leurs demandes le premier jour, pourquoi devrions-nous alors négocier ? » demande-t-il. « C’était la même chose avec l’Egypte et la même chose avec la Jordanie. Négocions, pas seulement pour le fait de négocier, mais pour avoir de véritables avancées. »
 
Le chemin de la paix avec l’Egypte est différent de ce que nous avions connus avec l’Egypte et la Jordanie, déclare Shalom. Autant l’Egypte que la Jordanie étaient prêts à renoncer à la violence, ce qui n’est pas le cas de la Syrie qui continue à soutenir le terrorisme.
 
« C’est comme si je vous disais que je voulais la paix avec vous, mais que d’un autre côté, j’aurais quelqu’un dehors pour vous tuer. C’est un peu étrange, » dit-il.
 
Mercredi en Syrie, Assad a déclaré être prêt à reprendre les discussions avec Israël sans conditions, mais il a rajouté que la paix peut aussi être obtenue à travers la « résistance. »
 
Assad a aussi dit n’avoir aucune intention de rompre ses contacts avec l’Iran.
 
Une source à Jérusalem a déclaré que les perspectives de pourparlers avec la Syrie étaient bien réelles, mais que les deux pays étaient très loin d’avoir résolus les questions qui les divisent.
 
Une source déclare par ailleurs que des progrès substantiels ne pourront êtres réalisé que par le biais d’entretiens privés. Si les négociations sont publiques, les réalités politiques des deux pays rendraient difficile pour les deux dirigeants de finaliser un accord.
39 commentaires
et voila que le travail de sape de perez et barak fait tourner en bourrique nethanyaou,qui maintenant offre le Golan a assad,il n'en est pas question ,nous savons dors et deja comment ça se passera apres,les syrien jouent avec notre gouvernement,
IL N'EST PAS QUESTION DE DONNER ENCORE DES TERRITOIRE POUR UNE PAIX ALEATOIRE MEME AVEC DES CONDITIONS?MR.NETHANYAOU NE FAITES PAS CETTE ERREUR ?AVEC GAZA NOUS AVONS PAYE TROP CHER VOS ERREURS? ET CETTE FOIS LE PLATEAU DU GOLAN QUI PROFITERA A NASRALLAH C'EST SUR.
Envoyé par Robert Haim - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 11:51
Il faudrait être complètement cinglé - ou être un traître de la première catégorie - pour donner le Golan à la Syrie, ses réserves d'eau, ses traces d'une présence juive très ancienne - et ... un magnifique balcon du haut duquel il serait aisé de détruire la Haute-Galilée.
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 12:56
Les nations veulent la Paix ? elles auront la guerre et les guerres civiles, car avec l'Islam (force politico religieuse) aucune paix n'est possible. DIRIGEANTS de malheur, vous vous couchez comme en 39-45, vous avez immoler la Tchécoslovaquie croyant avoir la paix avec Hitler mais vous avez eu la Guerre, la destruction et l'humiliation.

Maudit soit les nations sans courage, celle qui veulent apaiser le monstre Islamique en immolant cette fois-ci Israël sur l'otel de la paix.
Envoyé par Sylvain_012 - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 12:59
Le Golan fait partie de la terre d'Israël promise par Dieu aux Hébreux... ne leurs lachons rien.

Du Nil à l'Euphrate
Envoyé par Sylvain_012 - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 14:44
C ' EST FOU CETTE CA ??? se serait -il transformé en girouette lui aussi , Netanyahu ? est-une INFO ou une
INTOX ??? ...c 'est endroit est strathégique et particulièment bien placé , verdoyant et possedant un cours d' eau ...A QUAND LES DEUX RIVES DU JOURDAIN ??? ( idéologie du Likkoud )
Envoyé par Jacqueline_013 - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 15:40
par Bensimon
Le stade suprême de la judiciarisation politique est atteint par les institutions « humanitaires » de l’ONU sur la question d’Israël. Le Conseil des droits de l’homme a condamné ce pays par plus de résolutions assassines que tous les autres pays du monde réunis, pour des manquements parfaitement fantasmatiques. Par contre il ne met jamais en cause les piliers politiques internationaux de l’arbitraire et de la négation du droit, Chine, Russie, Iran, Libye, etc.

Le rapport Goldstone est sans doute l’illustration la plus caricaturale de la transformation du droit en arme politique. Voila un état, Israël, qui est attaqué unilatéralement sur son territoire pendant des années par des forces ouvertement terroristes et éradicatrices. Leurs fusées qui visent purement et simplement ses civils. Le premier attribut juridique de la souveraineté, c’est le droit de se défendre. Face aux tactiques de ses adversaires qui se fondent au sein de la population, Israël a multiplié les mesures pour épargner les civils (tracts, appels téléphoniques, transfert de vivres, offre de services médicaux) et il a ajusté sa doctrine opérationnelle à cette fin.

Faute de pouvoir l’emporter sur Israël par des moyens militaires, les soutiens du Hamas - avant tout l’Organisation de la Conférence Islamique-, déclenchent alors une offensive politique avec un paravent juridique afin de paralyser son aptitude à se défendre. L’argument du droit n’est qu’une arme politique, parfaitement cocasse en l’espèce. Offensive en plusieurs temps. D’abord l’élaboration d’un rapport monstrueusement biaisé, rédigé par un homme de paille, niant la réalité la plus aveuglante des procédés illégaux du Hamas, qui conclut au viol du droit par Israël (crimes de guerre, peut-être crimes contre l’humanité).

Puis l’adoption de résolutions dans des enceintes où une majorité politique est acquise, majorité pour qui le droit n’est pas vraiment un souci. Enfin l’espoir d’une traduction des dirigeants israéliens devant des tribunaux. Le fil de cette histoire est limpide : la judiciarisation caricaturale des relations internationales est le moyen d’une offensive pour paralyser la défense d’une démocratie. Que la majorité des pays de l’Union européenne, la France en tête, ne s’opposent pas à ce détournement du droit, est le signe d’un affaissement moral, le sacrifice des principes premiers des sociétés de liberté et de droit au profit de stratégies politiques finalement perdantes.
Envoyé par Jacqueline_013 - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 15:41
Oui bien sur et 1000% d'accord avec vous sylvain et jacqueline 013
parfaitement du NIL a L'EUPHRATE et les deux rives du jourdain
AMEN
Envoyé par Robert Haim - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 16:31
alors dans ce cas là , pas de problème Robert Haïm , il y a du pain sur la planche pour le gouvernement
Peres-Netanyahu et Liebermann !!!
Envoyé par Jacqueline_013 - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 16:59
Merci, Jacqueline, pour cette excellente analyse.
Envoyé par Edmond_002 - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 17:24
Le compte de ce membre a été suspendu.
Envoyé par Jeannnette - le Jeudi 12 Novembre 2009 à 17:59
Membre Juif.org





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