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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientLes dirigeants étrangers ne sont pas autorisés à rentrer dans Gaza via IsraëlLe gouvernement du premier ministre Benyamin Netanyahou a une politique non-déclarée, mais appliquée de facto, de ne pas laisser rentrer les figures politiques internationales, tels que les ministres des affaires étrangères, dans la bande de Gaza via Israël.
Selon des hauts fonctionnaires du gouvernement, la raison est double : refuser au Hamas la légitimité qui viendrait de ces visites, et comme moyen de faire pression pour récupérer le soldat Guilad Shalit.
Cette politique est venue à la lumière lorsque le ministre des affaires étrangères irlandais, Michael Martin, a déclaré à une commissions parlementaire la semaine dernière qu’Israël lui avait interdit une visite qu’il espérait faire à Gaza.
Répondant aux critiques disant qu’Israël cherche à cacher la situation à Gaza, un responsable gouvernemental a remarqué que les hommes d’état peuvent toujours entrer dans Gaza par le biais de l’Egypte.
En outre, des diplomates de niveau inferieur ainsi que les travailleurs humanitaires sont toujours autorisés à accéder à la bande de Gaza par Israël.
Avant que Netanyahou n’arrive au pouvoir le 31 mars, le secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon, le chef de la politique étrangère de l’UE Javier Solana, le ministre norvégien des affaires étrangères Jonas Gahr Støre ainsi que le sénateur américain John Kerry avaient été autorisés à rentrer dans cette zone.
Depuis lors, ces visites de haut niveau, quelles qu’en soit les raisons, sont interdites.
Israël a depuis refusé les demandes du ministre français des affaires étrangères Bernard Kouchner, du ministre turc des affaires étrangères Ahmet Davutoglu et maintenant Martin.
Selon l’envoyé d’Israël en Irlande, Zion Evrony, l’ambassade irlandaise à Tel Aviv avait fait des demandes concernant la visite de Martin, et l’itinéraire proposé devait inclure une visite dans la bande de Gaza ainsi qu’une rencontre avec le directeur des opérations de l’UNRWA.
Le ministère des affaires étrangères, selon Evrony, a répondu que « notre politique générale est de ne pas avoir de visites à Gaza dans le cadre des visites officielles en Israël. Il s’agit de préoccupations pour la sécurité de nos invités visitant une zone qui est sous le contrôle d’un groupe terroriste, mais aussi en raison de notre politique qui refuse des gestes qui apporteraient une légitimité au régime du Hamas. Cette légitimité se crée en visitant la région, même si aucune rencontre directe avec des membres du Hamas n’a lieu. »
Evrony a déclaré que le ministère des affaires étrangères a été informé il y a quelques jours par Dublin que Martin avait décidé de reporter sa visite.
Evrony fait référence à un discours qu’a tenu Martin mardi au sujet de sa visite.
« Malheureusement, son discours a été une critique unilatérale d’Israël, plaçant le poids de l’impasse actuelle dans laquelle se trouve le processus de paix uniquement sur Israël, sans aucune allusion aux difficultés que fait la partie palestinienne pour revenir à la table des négociations et sans imposer aucune exigence sur la partie palestinienne. »
« Son discours est en accord avec la récente position irlandaise, qui a été l’une des plus critique envers Israël au sein de l’UE. Nous avons exprimé nos préoccupations à ce propos par la voie diplomatique adéquate. »
Dans le même temps, Evrony explique que « les relations globales entre Israël et l’Irlande sont solides et positives. Israël attache une grande importance à ses relations avec l’Irlande et aspire à construire avec ce pays un dialogue constructif sur la base du partage des valeurs démocratiques et de renforcer les relations bilatérales, en particulier dans le domaine du commerce. »
« A cet égard, nous avons suggéré que le ministre Martin, qui est toujours le bienvenu en Israël, consacre une partie de son temps à visiter des entreprises hi-tech israéliennes, ce qui pourrait être potentiellement bénéfique à la croissance du commerce et aux possibilités d’emploi en Irlande. »
Martin, selon les medias irlandais, a déclaré jeudi à la commission parlementaire, « je voulais seulement aller et voir Gaza, » et aurait déclaré que « la communauté internationale devrait reconsidérer quelles pressions faire sur Israël pour résoudre et parvenir à un « règlement de deux états. »
Martin a également déclaré que les conditions humanitaires à Gaza étaient « complètement inacceptables, » bien qu’il, comme expliqué plus haut, ne s’est pas encore rendu sur place pour « voir Gaza »… Articles connexes
90 commentaires
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Madame,
Je lis souvent avec intérêt vos chroniques parues dans « Le Monde » et vos interventions sur les différentes chaînes à la Télévision.
J’ai été extrêmement surpris par vos commentaires sur Israël parus dans « Le Monde » du 20 novembre dernier.
Je constate que vous avez une méconnaissance réelle du conflit israélo-palestinien et relève que vous écrivez :
1. « Pour que l’autorité palestinienne soit en position de force, il faut qu’elle obtienne au moins le gel des colonies ».
2. « Hélas, il y a bien longtemps que l’accumulation des monnaies d’échange coté israélien ressemble à une fuite en avant suicidaire ».
3. « A force d’utiliser les colonies comme boucliers humains, Israël entretient un fanatisme qui n’est pas le moindre de ses ennemis intérieurs ; Tsahal est infiltré par des militaires orthodoxes combattant au nom de D… et non plus au nom de la Nation….
La violence disproportionnée avec laquelle l’armée israélienne a répondu au harcèlement des roquettes du Hamas trahit cette perte de raison ».
Votre seul 3ème point évoque déjà de façon évidente des données erronées du conflit israélo-palestinien.
Affirmer que l’armée israélienne est infiltrée par des militaires orthodoxes combattant au nom de D…, et non plus au nom de la nation, est tout à fait fantaisiste et démontre de votre part une volonté de stigmatiser Israël.
Après votre confrontation avec Tarik Ramadan sur FR3, vous tentez peut être de vous disculper vis-à-vis de la partie arabe, en attaquant Israël avec par des arguments plus que douteux.
En fait, dans votre analyse, vous passez sous silence les éléments qui me semblent essentiels :
1. Le plus grand danger qui menace la paix dans le monde c’est l’islamisme dont le bras armé est le terrorisme.
2. Israël, seul pays démocratique de la région, est le seul rempart du monde occidental et du monde libre dans la région.
3. La complaisance excessive de l’Europe et en particulier des pays de l’Union Européenne vis-à-vis des palestiniens n’a fait que conforter le monde arabe dans son intransigeance et exacerber les passions.
4. Le règlement du conflit israélo-palestinien nécessite évidemment la création d’un état palestinien sans oublier que ce conflit est un prétexte qui maintient, de façade le consensus des Pays Arabes notamment entre pays chiites et sunnites. Par ailleurs faire croire que la création d’un état palestinien va régler tous les problèmes de la région est une utopie.
Concernant le règlement même du conflit, la paix ne sera possible que lorsque les palestiniens auront définitivement admis que leur rêve de détruire Israël n’a aucune chance de se réaliser, lorsque les livres scolaires palestiniens ne déborderont plus de haine anti-juive et anti-israélienne et lorsqu’ils auront reconnu Israël comme un Etat juif, comme le précise la résolution de l’O.N.U. de novembre 1947.
Enfin, j’espère que vous admettrez que Gaza est libre depuis que le Premier Ministre Ariel Sharon l’a fait évacuer ; Si le Hamas n’en avait pas fait une base d’agression, il n’y aurait pas de blocus à Gaza. Si Mr Arafat avait accepté en son temps les concessions du Premier Ministre Ehoud Barak, concessions que certains israéliens considéraient comme exorbitantes, un état palestinien serait depuis longtemps une réalité.
Je regrette que votre aveuglement ait provoqué chez vous cette « perte de raison », pour reprendre vos propres termes.
Veuillez agréer, Madame, l’expression de mes meilleures salutations.
Roger Pinto
OK pour malte, ok pour la belgique, ok pour la suede ok pour l'irlande (qui ne connait meme pas a quoi ressemble
un juif) Mais n'oublions pas l'autriche (si mme Golda Meir etait encore de ce monde elle aurait pu en parler mieux
que moi) n'oublions surtout pas l'espagne cheriee des arabes pendant 750 années (ils ont eu tout le temps qu'il faut pour "implanter leur génes" . On peut voir le résultat aujoud'hui.) n'oublions pas non plus ce beau creuset
de la démocratie qu'est la grèce où les muzz sont comme des poissons dans la mer égée, car c'est de la que partaient ces bandits pour détouner les avions dans les années 70.
Alors de quel coté que l'on se tourne nous sommes entourés d'antisémites.
comme hachvé shalom israel est entouré de bandits.
JOSE
By the way ... : entre 1933 et 1945, une majorité dans le parti social-démocrate suédois était ( tout comme les radicaux à la Gaston Bergery, ou les socialistes à la Paul Faure, à la Marcel Déat, à la Ludovic Zoretti ... ) avant tout contre la guerre : contre toute guerre, c'est-à-dire, en ces temps où les démocraties européennes ne brillaient déjà pas par leur courage, comme on devait le voir en 1938 à Munich, contre la guerre au nazisme. Il y avait même, au sein du parti social-démocrate suédois, une fraction, non négligeable, pour saluer les vertus du " socialisme national " de la NSDAP. Et certains intellectuels - et non des moindres, tel
On sait aussi à quel point les mouvements pacifistes suédois ( pas seulement suédois, certes ! ) ont été couvés, financés, noyautés par les services soviétiques, en particulier dans les années 60, 70. et 80 Et l'on n'ignore pas que ces mouvements, qui avaient en Suède, en vertu de la tradition neutraliste de ce pays, une forte emprise, notamment dans les milieux d'étudiants, et bien au-delà de la mouvance social-démocrate, se faisaient les avocats zélés de toutes les causes que les Soviétiques jugeaient bon de mettre en avant, de la guerre du Viêt'Nam à la lutte contre les euromissiles ... et, déjà, du soutien aux " Palestiniens " . Je ne dis pas que ces différents fils se tissent ensemble pour former une sorte de ... filiation. Mais je be crois pas que l'on puisse non plus exclure complètement cette hypothèse : filiation idéologique et filiations plus techniques ...
Cela dit, si le pro-palestinisme de Carl Bildt est évident ( il vient encore d'en administrer la preuve ), l'ensemble et surtout l'enchaînement de ses positionnements politiques paraissent manquer de lisibilité. Il a, quasiment, traité Poutine de Hitler, alors qu'il possède des intérêts personnels dans une chasse gardée russe, Gazprom. Il était défavorable à une intervention européenne et : ou américaine en Bosnie ; mais il semblait plutôt partisan de l(intervention américaine en Irak ... Et ainsi de suite ...Ou alors, ce serait quelqu'un qui chercherait à brouiller les pistes ... Mais à quelles fins ? ...
Qu'Elhomim vous garde.
Florence
" La croix gammée et le turban" ou la tentation nazie d'Amin -al- Hussein, grand mufti de Jérusalem et collabo.
d'Hitler et de Himmler, la démonstration est faite que cet homme s'opposa à la reconnaissance par l'O.N.U. d'un état Palestinien et entraîna palestiniens et arabes dans la lutte contre l'état d'Israël, en 1948.
http://www.youtube.com/watch?v=CbYpe_hRzwQ
Yeroushalaim Shel Zahar ( SHULY NATHAN )