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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientAccord initial d’union entre le Fatah et le HamasDes responsables palestiniens du Fatah et du Hamas disent qu’ils sont parvenus à un accord initial pour combler le fossé de quatre ans qui a divisé les gouvernements rivaux du Fatah en Judée Samarie et du Hamas à Gaza.
Les responsables disent que le plan prévoit la formation d’un gouvernement de transition unique dans les prochains jours, et les préparatifs pour la tenue d’élections présidentielles et législatives d’ici un an.
« Les deux parties ont signé des lettres initiales sur un accord. Tous les points de divergences ont été surmontés, » a déclaré Taher Al-Nono, porte parole du « gouvernement » du Hamas à Gaza, selon l’agence Reuters. Il a ajouté que le Caire allait bientôt inviter les deux parties à une cérémonie de signature.
L’accord a été d’abord signalé par les services de renseignements égyptiens, qui ont supervisé les pourparlers.
« Les consultations ont abouti à une compréhension complète sur tous les points de discussions, y compris la mise en place d’un accord intérimaire avec des tâches spécifiques et une date pour des élections, » ont déclaré les renseignements égyptiens dans un communiqué.
Dans un communiqué diffusé par l’agence de presse égyptienne d’état, la MENA, les services de renseignements disent que l’accord a été obtenu par une délégation du Hamas dirigée par Moussa Abou Marzouk, chef adjoint du bureau politique du groupe terroriste, et Azzam al-Ahmad, membre du comité central du Fatah.
Le communiqué dit que l’accord permettra à l’Egypte d’inviter toutes les factions palestiniennes à signer un accord de réconciliation nationale au Caire dans les prochains jours.
Al-Ahmad et Abou Marzouk ont déclaré que l’accord concerne tous les points de discorde, y compris la formation d’un gouvernement de transition, les arrangements sécuritaires et la restructuration de l’organisation de libération de la Palestine (OLP) pour permettre au Hamas de la rejoindre.
Un haut responsable des renseignements égyptiens a déclaré à Reuters qu’il s’attendait à ce qu’Abbas et le chef du Hamas basé à Damas, Khaled Mashaal, assistent à la signature de l’accord au Caire.
Malgré l’accord, des questions clés demeurent sur qui va contrôler les forces de sécurité (entendez groupes terroristes) rivales.
Les désaccords sur le contrôle sécuritaire ont éclaté lors de la guerre civile de juin 2007 qui a pris fin avec la prise du pouvoir du Hamas dans la bande de Gaza.
Plus tôt, le premier ministre Benyamin Netanyahou a déclaré que le plan palestinien de déclarer un état indépendant contredit leurs engagements ont des pourparlers de paix avec Israël et à un accord. « L’accord ne peut être atteint que par des négociations, » a-t-il dit à des sénateurs américains. Articles connexes
154 commentaires
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Il y a 4 heures - Kountrass
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Dernière mise à jour, il y a 57 minutes
La Russie a qualifié ce samedi d'"inacceptable" l'envoi d'une mission d'enquête en Syrie. Une décision prise la veille par le Conseil des droits de l'homme de l'ONU.
Que cache la russie qu'elle ne voudrait pas que nous sachions ?????
Elle laisse un petit orphelin de 2 ans. Encore une victime de ces salopards de Nazislamistes. Aucune pitié pour eux et pour leurs complices dans les démocraties occidentales: journalistes, homme politiques ...etc. qui trouvent toujours de bonnes raisons pour expliquer les gestes de ces criminels, qui bourrent leur bombes de clous et de pièces de métal pour faire le plus de blessures possibles. Je voudrais aussi faire remarquer que lors de l'intifada, les palos ont testé ces méthodes de terreur contre Israël et que personne ne les a vraiment condamnés. Aujourd'hui le monde entier subit les mêmes crimes ...
par Dr Zvi Tenney
L’initiative palestinienne de faire voter en septembre prochain par l’Assemblée générale de l’ONU la reconnaissance d’un Etat palestinien dont les frontières seraient les lignes de cessez-le-feu qui prévalaient avant la guerre des six jours de juin 1967, suscite un certain nombre de remarques qu'il convient de souligner.
Bien qu’une telle décision puisse avoir un impact sur l’opinion publique internationale et embarrasser sans nul doute Israël, elle ne pourrait avoir aucune valeur juridique et serait manifestement défectueuse à plusieurs égards.
En premier lieu l’Assemblée générale de l’ONU n’a aucune compétence en la matière. Seul le Conseil de sécurité dispose d’un pouvoir de décision de cet ordre et celui-ci ne risque pas de prendre une telle résolution car elle serait très probablement contrée par un veto américain.
(L’exception qui confirme cette règle a été certes le plan de partage décidé en 1947 par l’Assemblée générale, mais cela parce que la puissance mandataire, la Grande-Bretagne, avait laissé le soin à cette dernière de décider du sort du territoire de la Palestine qui lui avait été confié.)
Une telle reconnaissance serait de toute façon illégale par l’absence de frontières de cet Etat ainsi proclamé car la ligne de cessez-le-feu de 1949 entre Israël et la Jordanie (dite Ligne verte de 1967) n’a pas valeur de frontière. Le contenu de l'accord d’armistice de 1949 ainsi
par Dr Zvi Tenney
L’initiative palestinienne de faire voter en septembre prochain par l’Assemblée générale de l’ONU la reconnaissance d’un Etat palestinien dont les frontières seraient les lignes de cessez-le-feu qui prévalaient avant la guerre des six jours de juin 1967, suscite un certain nombre de remarques qu'il convient de souligner.
Bien qu’une telle décision puisse avoir un impact sur l’opinion publique internationale et embarrasser sans nul doute Israël, elle ne pourrait avoir aucune valeur juridique et serait manifestement défectueuse à plusieurs égards.
En premier lieu l’Assemblée générale de l’ONU n’a aucune compétence en la matière. Seul le Conseil de sécurité dispose d’un pouvoir de décision de cet ordre et celui-ci ne risque pas de prendre une telle résolution car elle serait très probablement contrée par un veto américain.
(L’exception qui confirme cette règle a été certes le plan de partage décidé en 1947 par l’Assemblée générale, mais cela parce que la puissance mandataire, la Grande-Bretagne, avait laissé le soin à cette dernière de décider du sort du territoire de la Palestine qui lui avait été confié.)
Une telle reconnaissance serait de toute façon illégale par l’absence de frontières de cet Etat ainsi proclamé car la ligne de cessez-le-feu de 1949 entre Israël et la Jordanie (dite Ligne verte de 1967) n’a pas valeur de frontière. Le contenu de l'accord d’armistice de 1949 ainsi que les déclarations des Jordaniens aux Nations Unies en la matière le confirme clairement.
De plus selon la juridiction internationale, une telle déclaration d’indépendance unilatérale constituerait une violation flagrante des Accords d’Oslo qui spécifiaient «que toute solution du conflit palestino- israélien devrait être le fruit de négociations entre Israël et l’Autorité palestinienne ». Cela, sur base de la résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU universellement considérée comme la pierre angulaire d’un règlement juste, viable et complet de ce conflit.
Rappelons que cette résolution 242 prévoit le retrait israélien from territories, autrement dit de certains territoires occupés et non pas de tous les territoires occupés lors du conflit de 1967. Cette formulation officielle ainsi voulue est le résultat de plusieurs mois de négociations diplomatiques intensives. Rappelons à ce sujet que les soviétiques avaient échoué dans leur tentative d’utiliser un vocabulaire qui implique un retrait total.
Il n’y a donc dans cette résolution 242, adoptée à l’unanimité par le Conseil de Sécurité des Nations Unies, aucune ambiguïté concernant le fait que dans le cadre d’un accord, le retrait israélien de Judée- Samarie ne se doit pas d’être total.
Bien que risquant de se trouver dans une situation peu commode dans l’arène internationale, Israël possède donc néanmoins, me semble-t-il, assez d’atouts juridiques et diplomatiques pour essayer de neutraliser cette initiative que l’autorité palestinienne voudrait prendre a l’ONU en septembre prochain. Cela si de plus, les Pays occidentaux avaient l’honnêteté de reconnaître enfin que les négociations de paix ont été bloquées dernièrement par la seule faute des Palestiniens.
Z.T.
Dr Zvi TenneyAmbassador of Israel
Membres du Congrès US Nous arrêterons l'aide à l'Autorité palestinienne par Yitzhak Benhorin
Des délégués influents des deux camps (démocrates et républicains) ont exprimé leur colère face à la décision d'Abbas de se joindre aux forces du 'Hamas, et ont indiqué clairement que le gouvernement américain se verrait dans l'obligation de stopper l'aide financière comme le permet la loi. "L'aide ne peut pas être utilisée contre ceux qui menacent Israël"
Certains membres du congrès ont déclaré que si l'Autorité palestinienne selon l'accord signé hier au Caire avec le 'Hamas unissait ses forces, l'aide américaine serait stoppée en vertu de la loi car cette aide pourrait parvenir au Hamas, organisation terroriste listée par l'administration américaine.
Nita Lowy responsable du sous-comité à l'aide étrangère US a déclaré qu'un gouvernement d'union nationale avec le 'Hamas serait un coup mortel et mettrait et remettrait en question l'aide américaine.
La présidente de la Commission étrangère de la Chambre des représentants, Eliana Ross-Alitanane a également annoncé que l'accord signé entre le Fatah et le 'Hamas – organisation terroriste - qui appelle à la destruction d'Israël, ne recevra pas de fonds des contribuables américains contre ceux qui menacent la sécurité des Etats-Unis, leurs intérêts et ceux de leur allié Israël. Elle clairement indiqué que la législation américaine ne permet pas de soutenir l'Autorité palestinienne si le 'Hamas fait partie de cette autorité, car l'une des conditions est de reconnaître le droit à Israël d'exister, une condition que le 'Hamas refuse..
Elle a accusé Mah'moud Abbas et son administration qu'en établissant une alliance avec le 'Hamas, cela prouve une fois de plus que leur désir de paix n'est pas crédible.
Le démocrate Gary Achkemean, haut responsable aux affaires étrangères au Sous comité pour les affaires au Moyen-Orient a déclaré que l'accord n'oblige pas le 'Hamas de reconnaître le droit à Israël d'exister de s'engager sur les accords antérieurs où même d'arrêter la violence contre Israël. Par conséquent et comme dans précédents cas les Etats-Unis seront contraints par la loi de stopper tout aide qui peut parvenir entre les mains d'entités terroristes. IL A INDIQUE AUSSI QU’Abbas a refusé pendant plusieurs mois de rejoindre les pourparlers avec B.Netanyahu sous l'égide américaine, et il semble que maintenant il annule le partenariat même et l'assistance des Etats-Unis.
Tous les 6 ans, on nous ressort les mêmes épisodes :
http://www.orange.mu/kinews/afp/actualites/111347/le-hamas-appelle-le-quartette-au-maintien-de-l-aide-financiere.html
Si vous me voyez un jour dans un pays arabe, ça sera à bord d'un F16 et si possible avec deux ogives nucléaires !