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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou : « Jérusalem est le fondement de l’unité d’Israël »Jérusalem est « l’un des fondements de l’unité d’Israël, » a déclaré dimanche le premier ministre Benyamin Netanyahou lors d’une réunion extraordinaire du cabinet ministériel au musé de la Tour de David pour commémorer la Journée de Jérusalem qui sera célébrée mercredi.
Netanyahou a déclaré qu’il a récemment souligné la centralise de Jérusalem à la fois a la Knesset et au Congrès des Etats-Unis. Il a dit qu’il y a une compréhension aux Etats-Unis de l’importance de Jérusalem pour le peuple juif.
« Il est important que tout le monde sache que le peuple d’Israël et ses amis dans le monde se tiennent ensemble dans leur fidélité à Jérusalem et à notre patrimoine, sont déterminés dans nos positions, se lèvent pour notre sécurité, et tendent la main pour une véritable paix avec nos voisins, » a-t-il dit.
Le cabinet a été appelé à approuver un plan économique visant à renforcer l’économie de la capitale à travers deux canaux principaux : le tourisme et la haute technologie.
La première partie du plan est un investissement de 145,5 millions de shekels (environ 30 millions d’euros) pour renforcer l’infrastructure touristique de la ville. Elle sera complétée par une attribution de 75 millions de shekels (environ 15 millions d’euros) au ministère du tourisme afin d’encourager la construction de chambres d’hôtel dans la ville.
71,4 millions de shekels (environ 14 millions d’euros) sont destinés à renforcer la ville comme centre de recherche et de développement, l’argent allant à la subvention de start up, à la modernisation des laboratoires de R&D, et pour des subventions pour les initiatives de biotechnologie.
70,5 autres millions de shekels seront alloués pour les bâtiments publics, les logements étudiant, les projets académiques, et des mesures supplémentaires « pour attirer des résidents productifs ».
En outre, le cabinet a prévu d’ajouter Jérusalem à la liste des villes où des bourses sont données aux soldats démobilisés et aux anciens combattants pour leur première année d’étude dans les établissements d’enseignement supérieur. Articles connexes
74 commentaires
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Edmond,
Le roi a refusé la conversion de priscus.
Au IVe siècle Hilaire de Poitiers, évêque de cette ville, est félicité pour avoir quitté la société juive. Un décret des empereurs Théodose II et Valentinien III, adressé à Amatius, préfet de la Gaule (9 juillet 425) interdit aux Juifs et aux païens d'être avocats ou magistrats ou fonctionnaires de façon que les chrétiens ne leur soient pas subordonnés et que Juifs et païens soient incités à se convertir au christianisme.
Priscus était un conseiller du roi de Neustrie ( qui avait pour capitale la ville de Soissons), Chilpéric Ier, petit-fils de Clovis. En 581, Chilpéric demande à Grégoire de Tours - c'est lui qui raconte cette histoire dans son " Historia Francorum " , qui est le principal élément écrit dont on dispose pour l'histoire de cette période - de baptiser chrétien Priscus. Et c'est Priscus qui refuse de se laisser convertir ( et non Chilpéric qui refuserait la conversion de Priscus ). Chilpéric remet ça en 582 et, à nouveau, Priscus refuse de devenir chrétien.
Quelques temps après, Priscus est assassiné par un Juif converti, Phatir.
Léon Poliakov évoque cet épisodevdans le tome I ( " Du Christ aux Juifs de cour " ) de son " Histoire de l'antisémitisme " . Mais il faut voir les travaux et articles de Bernard Blumenkranz et de Martin Quenehen si l'on veut approfondir.
Tu as raison j'ai du mal lire, peut etre quand je suis tombé sur ton commentaire "il y a eu des conversions en effet", en parlant de priscus, mais alors si je comprend bien, ce n'était pas un converti au judaisme, mais un juif d'origine qui s'est refusé à la conversion?
Quoi qu'il en soit, Patrick veut laisser croire que les juifs faisaient du prosélytisme (d'abord ça n'est pas le style des juifs, on les accuse de tout et son contraire, ensuite on sait ce qu'ils risquaient si tel était le cas) alors que c'est le judaisme lui même qui surpasser le chrisrianisme.
Tu as bien compris que ce que Patrick tente d'expliquer, comme shlomo sand, c'est que le peuple juif n'existe pas, ce qu'il tente encore, c'est de démontrer que les juifs sont venu en france par interet alors qu'ils ont été chassés comme d'hab de jerusalem ou encore comme je l'ai rapporté plus haut, amené en france comme captifs.
Puisque sont examinés certains points de droit concernant la Terre d'Israël, pourquoi ne pas aller plus loin dans un deuxième temps et faire valoir les droits ancestraux du Peuple Juif sur cette Terre... La Terre des Juifs...
Pourquoi ne pas poursuivre en dénonçant la vanité des prétentions musulmanes sur notre Capital, prétentions basées sur un tissus d'énormes mensonges....
Jérusalem n'est absolument pas citée une seule fois dans le Coran, la mosquée Al Aqsa a été construite en 638 alors que le prophète Mahomet est mort en 632 et n'a donc pu y prier...
Parmi ces Juifs, il y en avait qui, étaient des exilés politiques ( ou même des bannis : Hérode Antipas ) ; il y avait des commerçants.
Les Juifs ne faisaient pas de prosélytisme. Mais le judaïsme exerçait une certaine attraction, parfois même une sorte de fascination, sur certaines personnes. Par exemple, on sait que l'épouse de l'empereur Néron, l'impératrice Poppée, faisait partie de ceux qui se sentaient attirés. Il y avait ( mais ça nous entraînerait dans une discussion longue et complexe ), dans l'Empire romain, une fascination pour des doctrines et des pratiques religieuses venues de l'Orient : dans les milieux populaires, pour le culte de Mithra,, ou pour celui de Sérapis ; dans certains milieux de l'aristocratie et de l'armée, pour le christianisme à partir du IIIè siècle de l'ère vulgaire.
Oui, je crois que Patrick, qui appartient, si je ne me trompe, à une famille de souche judéo-comtadine, est néanmoins à la limite de la " Jüdische Selbsthass " ... Et qu'à part les Juifs comtadins, pas grand- chose du monde juif ne le touche autrement que par le mépris qu'il
éprouve à son égard ...
Voila que Imar Moussa se prend à parler comme les dirigeants d'Israël confrontés aux trois 'NON' de khartoum tout de suite après la guerre des 6 jours..
Mais, ne sont-ce pas les mêmes 'NON' qui président au refus de toute négociation ?
Mais je m'en voudrais de laisser passer le dernier post qui s'y affiche,, aujourd'hui dimanche 29 à 11 : 53 - celui de Nathalie_046 parce que c'est un tissu d'erreurs et de sottises.
J'y réponds donc ici.
On peut discuter le rôle du protestantisme ou des protestants dans l'arrivée au pouvoir du nazisme. Mais affirmer tout de go, comme le fait Nathalie, que " le IIIè Reich est sorti du milieu industriel tenu par les protestants " n'est pas correct. J'ai signalé que, dans le nazisme, la place de personnalités, venues des milieux catholiques ( Hitler ou Goebbels, entre autres, excusez du peu ! ) est au moins aussi importante que celle de personnalités venus du protestantisme.
D'autre part, faire du nazisme le produit des milieux industriels ( c'est une thèse qui était celle de la plupart des marxistes ) est scotomiser la part extrêmement importante de pratiquement toutes les classes sociales - y compris la classe ouvrière.
Dire que " cette élite voulait évincer le communisme ouvrier " ne va pas non plus. Il y a certes, au début des années trente, une sorte de compétition entre les deux variétés de totalitarisme ( et de multiples allées et venues de la KPD à la NSDAP et vice-versa : une sorte de tangage qui a été examinée notamment par Jean-Pierre Faye dans son ouvrage sur " Les langages totalitaires " ). Mais il ne pouvait véritablement s'agir pour les nazis d' " évincer " à proprement parler les communistes,