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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou : « Jérusalem est le fondement de l’unité d’Israël »Jérusalem est « l’un des fondements de l’unité d’Israël, » a déclaré dimanche le premier ministre Benyamin Netanyahou lors d’une réunion extraordinaire du cabinet ministériel au musé de la Tour de David pour commémorer la Journée de Jérusalem qui sera célébrée mercredi.
Netanyahou a déclaré qu’il a récemment souligné la centralise de Jérusalem à la fois a la Knesset et au Congrès des Etats-Unis. Il a dit qu’il y a une compréhension aux Etats-Unis de l’importance de Jérusalem pour le peuple juif.
« Il est important que tout le monde sache que le peuple d’Israël et ses amis dans le monde se tiennent ensemble dans leur fidélité à Jérusalem et à notre patrimoine, sont déterminés dans nos positions, se lèvent pour notre sécurité, et tendent la main pour une véritable paix avec nos voisins, » a-t-il dit.
Le cabinet a été appelé à approuver un plan économique visant à renforcer l’économie de la capitale à travers deux canaux principaux : le tourisme et la haute technologie.
La première partie du plan est un investissement de 145,5 millions de shekels (environ 30 millions d’euros) pour renforcer l’infrastructure touristique de la ville. Elle sera complétée par une attribution de 75 millions de shekels (environ 15 millions d’euros) au ministère du tourisme afin d’encourager la construction de chambres d’hôtel dans la ville.
71,4 millions de shekels (environ 14 millions d’euros) sont destinés à renforcer la ville comme centre de recherche et de développement, l’argent allant à la subvention de start up, à la modernisation des laboratoires de R&D, et pour des subventions pour les initiatives de biotechnologie.
70,5 autres millions de shekels seront alloués pour les bâtiments publics, les logements étudiant, les projets académiques, et des mesures supplémentaires « pour attirer des résidents productifs ».
En outre, le cabinet a prévu d’ajouter Jérusalem à la liste des villes où des bourses sont données aux soldats démobilisés et aux anciens combattants pour leur première année d’étude dans les établissements d’enseignement supérieur. Articles connexes
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car ceux-ci ne détenaient aucun poste ni levier.
Ensuite : il n'y a pas eu, en 1940, " défection du président " . Celui-ci, Albert Lebrun, avait certes appelé le maréchal Pétain au poste de Président du Conseil, mais il s'était justement refusé à démissionner et c'est en partie pour contourner l'obstacle que constituait ce refus que Pétain se fait octroyer les pleins pouvoirs, le 10 juillet 1940, par les deux Chambres réunies à Vichy.
A la suite de ce vote, qui le prive du peu de pouvoirs que détenait un Président de la République selon la Constitution ( les lois constitutionnelles, plus exactement ) de la IIIè République, Albert Lebrun se retire à la campagne. Il est ensuite placé en résidence surveillée ; puis les Allemands l'envoient en résidence surveillée en Allemagne. Il en est libéré, fin 1943, pour raisons de santé.
Je ne sais pas si l'on peut dire, comme le fait Nathalie, que Pétain a été nommé chef de l'Etat " à la va-vite " . Il a reçu les pleins pouvoirs, comme je le rappelle ci-dessous, par un vote des Chambres. Pétain voyait-il dans la collaboration, comme Nathalie l'affirme, l' " opportunité de se positionner haut " ? - Il était déjà " positionné haut " , et même au sommet, précisément depuis et par le vote du 10 juillet 1940, lorsque la politique de collaboration avec l'Allemagne est avancée à l'occasion de la rencontre entre Pétain et Hitler, en octobre 1940 , à Montoire.
La politique de collaboration n'était nullement un moyen d'arrêter
ou d'éviter " la perte massive de soldats " , vu que les combats avaient cessé fin juin en vertu de l'armistice.
Quant à la volonté de Pétain de s'opposer au communisme, elle est certaine. Mais n'a rien à voir avec la collaboration. Le parti communiste était hors-la-loi et nombre de ses cadres et militants emprisonnés depuis la conclusion de l'alliance entre l'URSS et l'Allemagne ( fin août 1939 ). Il ne constituait pas vraiment un danger, si ce n'est qu'il cherchait à s'appuyer sur les occupants pour obtenir d'eux l'autorisation de faire reparaître " l'Humanité " ( contacts établis, sur l'ordre de la direction clandestine du PCF, par Maurice Tréand et Denise Ginollin, notamment ).
Je répète que De Gaulle s'est opposé à Pétain dès la première heure. Avant de raconter des salades, Nathalie, qui sont de pures inventions et déformations historiques, veuillez considérer le déroulement des événements - que j'ai rappelé, mais dont vous ne tenez nul compte, sans pour autant être capable de le démentir ou de l'infirmer : l'appel du maréchal Pétain à cesser le combat - bien avant qu'il soit question de collaboration, ni même de pleins pouvoirs - est lancé à la radio le 17 juin. Dans la soirée du même jour, le général De Gaulle écrit une réponse, que Geoffroy de Courcel fait dactylographier séance tenante par Elisabeth de Miribel. Le lendemain 18 juin, De Gaulle lit ce texte à la radio ( BBC ) : c'est le fameux " Appel du 18-Juin " . Il n'a donc nullement attendu,
pour s'opposer à Pétain, de " [ comprendre ] que les conséquences du IIIè Reich [ étaient ] plus à craindre que celles du communisme ", comme vous l'affirmez faussement. Sa détermination est immédiate et est rendue publique dans les heures mêmes qui suivent l'appel au déballonnage lancé par Pétain. Et ce, bien avant, je le répète, qu'il soit question de collaboration.
Cessez donc, Nathalie, de raconter n'importe quoi. Car c'est ce que vous faites sans la moindre vergogne - et sans la moindre honnêteté intellectuelle - celle-ci consistant, ne vous en déplaise, à répondre par des arguments, des dates, des faits précis - et non à répéter des affirmations mensongères.