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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientNetanyahou n'acceptera même pas un symbolique "droit au retour"Accepter le principe d'un "droit au retour" palestinien est une impossibilité complète pour le premier ministre Benyamin Netanyahou, ont déclaré mercredi des responsables gouvernementaux. Ces commentaires sont venus en réponse au rapport de l'agence de presse chinoise Xinhua disant que le secrétaire d'état américain John Kerry a proposé au dictateur de l'autorité palestinienne Mahmoud Abbas qu'il consente à ce qu'Israël permette l'arrivée de 80 000 "réfugiés palestiniens" dans le pays dans le cadre d'un accord de paix final. Selon le rapport, basé sur les commentaires d'un responsable de l'autorité palestinienne, cette proposition était semblable à celle faite par l'ancien président américain Bill Clinton à Camp David en 2000. Le rapport a déclaré qu'Abbas voulait augmenter ce chiffre à 200 000, et que cette demande était à l'étude. Dimanche, dans une indication que la question des "réfugiés" était à l'ordre du jour lors des pourparlers avec Kerry, le ministre des affaires étrangères Avigdor Lieberman a déclaré aux ambassadeurs d'Israël à l'étranger qu'il ne serait pas d'accord pour permettre que "même un seul" des ces "réfugiés palestiniens" s'installe en Israël. En 2008, le premier ministre de l'époque, Ehoud Olmert, est soupçonné d'avoir accepté une acceptation symbolique par Israël de quelques 5 000 de ces "réfugiés palestiniens". Les représentants du gouvernement ont dit que Netanyahou n'accepterait pas même "une acceptation symbolique du droit au retour". "Dans le cadre de deux états pour deux peuples, les palestiniens qui veulent revenir dans un état palestinien seront en mesure de le faire, mais l'idée qu'Israël prenne des petits-enfants de personnes qui ont fui les combats de 1948 est tout simplement impossible," a dit un responsable. Les questions des réfugiés, ainsi que des frontières, de la sécurité, de Jérusalem et de la reconnaissance d'Israël comme état juif sont soupçonnées d'êtres les principaux sujets de papier que les Etats-Unis comptent présenter dans les prochaines semaines pour servir de base à la poursuite des négociations entre Israël et l'AP. Kerry est censé contrôler où chacune des parties pourrait faire preuve de flexibilité, ce qui pourrait conduire l'autre partie à faire preuve de souplesse sur une autre question. Kerry devrait discuter de ces questions dimanche à Paris avec les représentants du comité de suivi de l'initiative de paix de la Ligue Arabe, et les mettre à jour sur les négociations, dans le cadre de ses efforts continus pour gagner un large soutien arabe pour les pourparlers. Kerry s'est rendu dimanche en Jordanie et en Arabie Saoudite, suite à sa dernière visite en Israël et à Ramallah, pour les informer des derniers développements. Le département d'état américain a déclaré mercredi que Kerry se rendra à Paris et au Koweït pour des réunions de samedi à mercredi prochain. La majeure partie de ces réunions se concentrera sur la Syrie. Le département d'état n'a fait aucune mention de la planification de Kerry de se rendre a nouveau en Israël, mais il y a des spéculations qu'il puisse revenir la semaine prochaine. Articles connexes
33 commentaires
| Membre Juif.org
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Contrairement a la mise en quarantaines
Qu il a eu a subir de l Europe qui l avais catalogue d extrême droite
Puis la gauche israélienne
Qui a cru bon qu on lui cherche des poux sur des pseudo dons détournes
EST le seul dirigeant Israélien qui dit tout haut ce que bien d autres pensent tout bas
Il est clair
Que les frontières doivent tenir de reculs nécessaires en cas d agressions du voisinage
D autant que depuis 1 siècle la région n a jamais été autant déstabilisée
De plus
La Jordanie le roi doivent prendre part aux négociations avec aussi le lot de concessions a faire
Israël a été montré du doigt par les arabes puis les occidentaux
il est grand temps que l ' angleterre répare cette faute grave commise par des politiques pour plaire au roi d ' arabie saoudite...et ISRAËL DE REPRENDRE SA TERRE , SA PATRIE , SON PATRIMOINE QUI LUI REVIENT DE DROIT,JE RËVE !
pour les arabes dans la conquête d'Israël.
Comment, comme le dit Lieberman, peut-on envisager la création d'un état palestinien
dans ces deux régions qui vont devenir absolument invivable à la longue.
Si en plus, les réfugiés arabes qui vivent actuellement au Liban et en Syrie depuis des
décennies parce que LEURS CHERS FRERES se sont toujours refusés de leur donner
la nationalité et les ont laissé croupir dans des camps venaient à revenir dans cette
Palestine qui deviendrait invivable que se passera-il ?
Est ce que ces chers ami Kerry et Obama y ont-ils pensé ?
Pourquoi ne demande-t-on pas à la Jordanie d'ouvrir sa frontière pour absorber cette
population arabe qui est abhorrée par tous les pays où ils se trouvent et rejetés sans
aucune considération ni pitié !
Voilà la bonne question qui est mise sous le boisseau par la communauté arabe du
Moyen Orient.
Effectivement aussi, dès que la Palestine sera indépendante, il y a des grandes chances
que les pays qui depuis des décennies crachent au bassinet pour les nourrir arrêteront de le
faire.
C'est la création d'un nouveau brûlot qui sera mis à la porte de l'état juif avec des attentats
qui rendra la vie impossible aux israéliens.
Lieberman a raison de mettre le haut là sur cette question des réfugiés et ne devra absolument
être mis hors sujet.
Nous voyons aussi, que dans le transfert de territoires les arabes qui vivent actuellement sous
l'autorité
la vie est bien meilleur avec les juifs ....