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Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientObama défend sa politique israélienne devant des donateurs1 Décembre 2011 - Juif.org
    Le président américain Barack Obama a défendu sa politique envers Israël, mercredi, lors d'une levée de fonds, où un important leader juif américain a mentionné les préoccupations de la communauté juive au sujet des relations américano-israéliennes. Obama, critiqué par certains partisans américains d'Israël pour être trop dur avec un proche allié, et pour avoir des liens tendus avec le premier ministre Benyamin Netanyahou, a offert des garanties sur son engagement envers la sécurité d'Israël. "J'essaye de ne pas trop me taper l'épaule, mais cette administration a plus fait pour la sécurité de l'état d'Israël que n'importe quelle administration précédente," a déclaré Obama. "Nous ne faisons aucun compromis lorsqu'il s'agit de la sécurité d'Israël… et cela continuera." Le président américain a parlé aux bailleurs de fonds de sa campagne à la maison de Jack Rosen, à Manhattan, président du congrès juif américain, qui a déclaré : "il serait négligent de ma part de ne pas mentionner qu'il y a beaucoup de monde au sein de la communauté juive qui sont concernés" par les relations entre Israël et les Etats-Unis. Rosen a toutefois ajouté que "l'Amérique n'a jamais été aussi favorable à l'état d'Israël comme le sont le président Obama et son administration." La Maison Blanche tente de consolider le soutien des électeurs juifs pour une réélection d'Obama en 2012. Il a obtenu le vote de pratiquement 8 électeurs juifs sur 10 lors des élections de 2008, mais un glissement mettrait en péril sa réélection dans des états extrêmement importants comme la Floride et la Pennsylvanie, où les juifs représentent un bloc important. Obama a fait face aux critiques de certains dirigeants juifs plus tôt cette année, quand il a insisté sur le fait que toute négociations sur les frontières d'un futur état palestinien doivent commencer sur la base des lignes qui existaient avant la guerre de 1967. Ses efforts de paix au Proche Orient sont également au point mort. Mais Obama a gagné l'éloge d'Israël pour son opposition aux démarches palestiniennes à l'ONU en septembre, et a également été crédité pour avoir pris une ligne dire contre l'Iran, l'ennemi juré d'Israël. "Aucun allié n'est plus important que l'état d'Israël," a déclaré Obama à la collecte de fonds, qui a obtenu au moins 300 000 $ de donateurs pour son éventuelle réélection. Articles connexes
25 commentaires
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Tout en sachant que Barack Hussein Obama n'est pas le top pour Israël mais les Juifs donnent de l'argent et leur soutien pour qu'il soit réelu.. incroyable
l'hypocrisie du sieur Obama c'est à désespérer!
Dès sa réélection, vous allez voir comment il va changer de
discours envers Israël et durcir le ton.
Il a un chien de sa chienne à régler avec B.Natanyahou qui
lui a fait perdre la face dans ses propres rangs et ça, il ne l'a pas
oublier.
J'espère que les juifs américains vont être assez clairvoyant et
ne pas tomber dans le panneau des sourires et des belles paroles
du président actuel.
D'accord avec Yvan , si jamais Obama est réélu , alors tout ces jolies mots sont tres vite oublié .
Si, mutatis mutandis, Benyamin Netanyahu réussissait à emmener contre l'Iran un Baraq 'Hussein Obama récalcitrant mais contraint, ça ne serait pas mal, non ?
Bien sûr, ça ne m'empêcherait pas de souhaiter, pour Israël, mais aussi pour les Américains, la défaite de Baraq 'Hussein dans onze mois.
je n'ai jamais eue confiance en Obama?avant son éléction
il a parcouru Israel,et a été choqué en visitant Sdéroth,
on l a même vu prendre en main un morceau de roquette
et le soupeser/avec ses discours ,Jérusalèm capital
d'Israel , etc..etc .des saluts et des sourires à tout le
monde ,beaucoup de gens y croyaient/et ont votés pour lui===
sitôt élu ,plus de promesses, mais des pressions,et autres
même méprisant notre Bibi,en le laissant dans un couloir attendre que Sieur Obama finisse tranquillement de déjeuner;les juifs
américains devraient mieux découvrir notre pays,et donner
leurs dons aux pauvres,nous prions pour qu'il ne soit pas
élu// car il terminera ce qu'il avait promis aux muzz===
Les américains se fichent pas mal d'israël, ce qui comptent pour eux, c'est avant tous leur pays et sa sécurité..
.Il est vrai que les gouvernements successif ont soutenu l'état Juif, mais c'était pour séduire le deuxième lobby
le plus important du pays après la RIFLE (le droit des citoyens à posséder une arme) le lobby pro-israélien soutenu en masse par les évangélistes chrétiens auquel appartenait les BUSH.
Dire qu'Obama est pro-israélien est une aberration, son discours du Caire à l'attention des musulmans du monde durant lequel il demanda à Israël de revenir aux frontières de 67, parle de lui-même...
Je suis d'accord avec toi Edmond, Obama doit partir!!
Je suis plus sceptique sur la possibilité de voir les américains partir en guerre contre l'iran, pour soutenir Israël, car les US n'aurait pas les moyens financiers d'ouvrir un nouveau front, et surtout, le monde et l'europe en premier lieu, critiqueraient ce "choc des civilisations".
Je pense que c'est pour cela qu'il y a pas mal d'explosions de dépots d'armes en iran et que des responsables importants meurent sans raisons, ces opérations sont profitables sans pour autant être imputées à l'état juif...
Je ne sais pas comment on apprécie exactement l'importance des différents lobbies. Il y a le nombre des personnalités influentes ; il y a les capacités de " fund raising " ; il y a la capacité d'influencer les médias et la capacité de bloquer ou de faire voter des projets de loi .On dit que le lobby séoudien est extrêmement actif, par exemple. Mais l'AIPAC a aussi une réputation de grande efficacité et c'est d'ailleurs pour le contrer que des intérêts ( notamment séoudiens et iraniens - mais aussi des Juifs de gauche et des personnages profondément hostiles à Israël, comme George Soros ) avaient créé - en 2008, je crois , une sorte de contre-lobby : " J-Street " .
Je ne pense nullement que Baraq 'Hussein Obama soit pro-israélien. J'aurais tendance à penser au contraire qu'il est fortement anti-israélien
et que, d'ailleurs, le grand nombre de musulmans qu'il a placés ou fait nommer ici ou là, ainsi que, comme tu le rappelles, son discours du Caire indiquait clairement quelle politique de rapprochement il entendait mener avec l'Islâm. Mais je crois que cette politique, en partie en raison de ses outrances initiales ( par exemple, justement, le discours du Caire, qui pouvait donner à croire aux musulmans que désormais l'Amérique était " avec eux " ), a échoué. Israël ne s'est laissé contraindre à aucun recul, à aucune concession fondamentale : ni sur Jérusalem ; ni sur la prorogation du gel de la construction juive en Judée-Samarie ; ni sur les " excuses " à présenter à la Turquie ; ni sur le retour ( sic ) aux prétendues " frontières de 1967 " .
Témoignent de cet échec notamment le renoncement de la très grosse majorité des équipes qui avaient bâti et lancé cette politique : retraits de David Axelrod et de Rahm Emanuel ; départs du général James Jones et de George Mitchell ; etc. : ils ont jeté l'éponge.
La possibilité ( que j'évoquais avec mon apologue - Louis XI allant participer à la prise de Liège ) de voir les Etats-Unis participer à des opérations contre l'Iran est évidemment hypothétique. Cependant, on ne saurait négliger la contradiction dans laquelle se trouve Obama ( elle est pointée par Daniel Pipes ) : il est de coeur avec le " Tiers Monde " - du moins tel qu'il le fantasme probablement, à travers toute la doxa gauchiste qu'il a reçue des Bill Ayers,