|
Diplomatie : Israël & le Moyen-OrientKerry ment ou se trompe au sujet des démarches de l'AP à l'ONUL'autorité palestinienne a officiellement présenté sa demande d'adhésion auprès de 15 organisations internationales, dans le cadre d'une "offensive" diplomatique unilatérale qui menace de faire dérailler les "pourparlers de paix" avec Israël. L'agence "de presse" Maan de l'AP a publié une liste complète des 15 agences. La liste comprend plusieurs organes des Nations Unies, contrairement à ce qu'a affirmé le secrétaire d'état américain John Kerry hier soir, quand il a déclaré que l'autorité palestinienne n'avait pas techniquement rompu ses engagements car aucun des organismes en question n'était un organe de l'ONU. Les 15 agences sont : 1) Les Quatre Conventions de Genève du 12 août 1949 et le premier protocole additionnel 2) La Convention de Vienne sur les relations diplomatiques 3) La Convention de Vienne sur les relations consulaires 4) La Convention relative aux droits de l'enfant et le protocole facultatif à la Convention relative aux droits de l'enfant concernant l'implication d'enfants dans les conflits armés 5) La Convention sur l'élimination de toutes les formes de discrimination à l'égard des femmes 6) La Convention de La Haye (IV) concernant les lois et coutumes de la guerre sur terre et son annexe : les règles concernant les lois et coutumes de la guerre sur terre 7) La Convention relative aux droits des personnes handicapées 8) La Convention de Vienne sur les droits de traités 9) La Convention internationale sur l'élimination de toutes les formes de discrimination raciale 10) La Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains, ou traitements inhumains ou dégradants 11) La Convention des Nations Unies contre la corruption 12) La Convention sur la prévention et la répression du crime de génocide 13) La Convention internationale sur l'élimination et la répression du crime d'apartheid 14) Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques 15) Le Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels Les lettres d'adhésion aux traités internationaux mentionnés ci-dessus ont été signées par le dictateur de l'AP Mahmoud Abbas et livrées à Robert Serry, coordinateur spécial des Nations Unies pour le processus de paix au Moyen Orient, Paul Garnier, le représentant permanent de la Suisse auprès des Nations Unies, et au chef adjoint de la mission permanente des Pays Bas à l'Organisation des Nations Unies. Les pourparlers avaient déjà plusieurs problèmes suites aux refus de l'AP de reconnaître Israël comme état juif, aux refus de l'AP de faire la moindre concession dans ce qui ne peut donc pas s'appeler des "pourparlers", et après qu'Israël ait reporté sine die la libération du dernier lot de terroristes censés être libérés comme "geste de bonne volonté", à moins que l'AP accepte de prolonger les pourparlers au-delà de la date limite du 29 avril. Dans une dernière tentative de sauver les discussions, Kerry avait tenté de négocier un accord qui verrait Israël libérer 400 terroristes supplémentaires, en plus de la dernière tranche de 26 assassins de la version précédente, et un gel de la construction juive en Judée Samarie. En retour, les Etats-Unis acceptent de libérer l'espion emprisonné Jonathan Pollard. Mais Kerry a été pris de court la nuit dernière par la décision d'Abbas de prendre des mesures diplomatiques unilatérales à l'ONU, invitant le secrétaire d'état à annuler un voyage prévu à Ramallah aujourd'hui dans une tentative de convaincre le dictateur de l'AP à continuer à discuter avec Israël. Abbas a également menacé que si Israël ne libérait pas le quatrième lot de 26 terroristes, l'AP ferait "immédiatement" une demande d'adhésion dans 63 autres agences internationales supplémentaires. Malgré la crise, Kerry a insisté qu'il était trop tôt pour dire si les pourparlers étaient terminés, déclarant : "il est ce soir complètement prématuré de tirer un jugement définitif sur les événements d'aujourd'hui et où sont les choses." Kerry a ajouté : "le président Abbas m'a donné sa parole qu'il continuera à négocier jusqu'à la fin avril." Il a également essayé de soulager les tensions en affirmant qu'aucun des 15 organismes contactés par l'AP n'est lié à l'ONU, des revendications mises à nu par la liste ci-dessus. Articles connexes
13 commentaires
| Membre Juif.org
Il y a 4 heures - Le Figaro
Il y a 4 heures - Le Figaro
Il y a 9 heures - Times of Israel
Il y a 10 heures - Claude Garcia
14 Mai 2025 - Le Monde diplomatique
14 Mai 2025 par Claude_107
13 Mai 2025 par Blaise_001
11 Mai 2025 par Claude_107
10 Mai 2025 par Blaise_001
10 Mai 2025 par Blaise_001
14 Mai 2025 - Torah-Box
14 Mai 2025 - Torah-Box
4 Mai 2025 - Le Monde Libre
4 Mai 2025 - Identité Juive .com
28 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
27 Juillet 2014
21 Juillet 2014
|
et a MENACË qu ' ISRAËL pourrait ANNEXER en réponse des TERRITOIRES de JUDËE SAMARIE ... ENFIN ...
il est temps de remettre les horloges à l ' heure...et ce ne sont pas DES nis LES trerritoires , mais toute la judée samarie , gaza et toute jérusalem qui fait partie d ' ISRAËL en mettant en route la conférence de san rémo du 24 avril 1920 , l ' article 80 et l ' article 6 du mandat britannique...sans oublier l ' expulsion de ban ki moon , s ' il adhère à la demande de mahmoud abbas ...
comme la russie , il est temps d ' annexer ce qui reste de la palestine juive comme l ' a fait ( arbitrairement ) la
russie sans tenir compte des menaces de la communauté internationale et de l ' onu --laquelle a rappelé l ' article 80 de la charte des nations unies !
c ' est maintenant ou jamais qu ' ISRAËL doit agir vite !
Par Rob Miller
http://www.americanthinker.com/2014/04 /endgame_israel_palestine_and_the_post_peace_talks_era.html
Adaptation de Mordeh'aï pour malaassot.com
En dépit d'une proposition israélienne négociée de dernière minute par les américains pour essayer de préserver les pourparlers de paix, Mahmoud Abbas a annulé une rencontre programmée avec le secrétaire d'Etat américain John Kerry et a décidé de rechercher la création de l'Etat de Palestine unilatéralement auprès de l'ONU, la signature d'une demande d'un Etat et l'admission à 15 organisations des Nations Unies. En dehors de violer l'accord de OLP existant avec les Etats-Unis et Israël d'éviter une action unilatérale de ce genre jusqu'au 29 Avril date limite des négociations de paix, Abbas a également décidé de violer les Accords d'Oslo et la Feuille de route. Bien sûr, puisque les Palestiniens n'ont jamais respecté un accord de toute façon, leur dernier mouvement fait juste partie d'un motif. Abbas a montré par son rejet cohérent avec la non reconnaissance d'Israël comme un Etat juif, son refus de s'engager à avoir un accord de paix qui aurait signifié la fin du conflit, son insistance pour une Jérusalem redivisée avec les lieux saints juifs sous son contrôle et un «droit de retour» montre que les Palestiniens n'ont jamais réellement eu l'intention de signer un accord de paix qui signifiait quelque chose de toute façon.
Alors, maintenant que la fiction a explosée, vers où les choses vont-elles aller ?
Le premier mouvement bien sûr, appartient à l'administration Obama. C'est le président Obama et son équipe qui ont créé ce fiasco, qui ont fait pression sur Israël pour la libération des Palestiniens condamnés pour assassinats et terrorisme par les tribunaux civils israéliens afin d'amener Abbas et l'OLP à la table de négociations. L'hypocrisie de cette trajectoire peut être vue lorsque l' on sait que les USA ont expressément demandé à Israël qu'aucun Arabe coupable du meurtre de citoyens américains ne soit libéré dans le cadre de ces arrangements. Le Sang israélien a apparemment une moindre valeur.
Les Israéliens ont enfin rechigné à libérer une dernière tranche de tueurs condamnés parce qu'il n'y avait pas de progrès réalisés lors des négociations et il était évident qu'Abbas allait tout simplement empocher une autre concession et faire exploser les pourparlers de toute façon. Même le chef négociateur de l'Autorité Palestinienne, Saeb Erekat, a admis plus tôt ce mois-ci qu'Abbas était venu aux pourparlers juste pour obtenir la relaxe de terroristes.
Alors, maintenant qu'Abbas et les Palestiniens ont délibérément insulté le Secrétaire Kerry et le président Obama en publiant un ultimatum sans même attendre leur propre délai de 24 heures, qu'est-ce que l'on fait maintenant?
Si les choses vont comme elles le font habituellement, vous pourrez voir que le président Obama et ses habituels anathèmes accusant les Israéliens de l'échec des négociations. Et vous pourrez entendre qu'il n'y a rien que les Etats-Unis puissent faire pour bloquer un Etat palestinien à l'ONU. Si l'équipe d'Obama décide de ne pas utiliser ce blocage, un rapide coup d'œil à la Charte des Nations Unies montre que c'est un mensonge flagrant. Tout membre permanent du Conseil de sécurité - la Russie, la France, la Chine, la Grande-Bretagne et bien sûr, le Etats-Unis - a la capacité de s'opposer à des demandes d'adhésion à l'ONU elle-même ou à l'un de ses organismes associés. C'est pourquoi le Kosovo n'est pas membre de l'ONU, parce qu'il y a le droit de veto de la Russie.
L'administration Obama va devoir décider si elle va abroger les deux traités dont les Etats-Unis sont signataires afin de créer la «Palestine», au mépris de toutes les normes du droit international. Et en supposant qu'ils le fassent, ils vont aussi avoir à décider de participer aux efforts de l'ONU pour le faire respecter.
Israël, bien sûr, attend des réponses à ses questions. Il reste à voir si le président Obama va faire participer l'Amérique ou s'abstenir pour permettre la création de la «Palestine» à l'ONU, ce qui bien sûr détruirait ce qui reste de toute alliance entre l'Amérique et Israël. Mais quelle que soit la position des Etats-Unis, Israël va devoir décider de son propre destin et de la façon dont les faits sur le terrain vont être jouer.
Du point de vue d'Israël, ce qui semble le plus sensé est qu'une fois pour toutes renoncer au mirage de la solution à deux États. À ce stade, Israël ne peut tout simplement pas faire ce qu'il aurait dû faire depuis des décennies ... délimiter les frontières, dont il a besoin de façon unilatérale, déplacez les citoyens israéliens du côté israélien de la frontière et des citoyens non-arabes israéliens de l'autre, peut-être avec compensation de la propriété. Israël pourrait alors annexer cette région, et la déclarer faire partie d'Israël et de défendre ses frontières.
Une telle solution permettrait à Abbas et à l'OLP d'avoir une zone de l'appeler de leur propre nom, elle comprendrait la zone B et peut-être quelques autres territoires. Ils ne sauraient évidemment jamais accepter cela, mais alors, c'est qu'ils n'acceptent pas l'existence d'Israël en premier lieu. Ils seraient de toute façon un voisin génocidaire et toujours hostile .
Bien qu'il y aurait certainement une période de commentaires acerbes de l'UE et de l'ONU, l'idée qu'il existe une «Palestine» ferait que la réaction s'étiole dans un temps relativement court. Une Grande partie du monde, en particulier l'Union européenne est fatiguée de la «Palestine» et du fardeau financier sans fin qu'elle représente. L'UE a ses propres problèmes et est prête à passer outre.
Il est temps que la question de la «Palestine» soit réglée une bonne fois pour toutes, de la même manière que toutes les autres questions impliquant des réfugiés ont été réglée à travers l'histoire. D'autant plus que les Palestiniens, ont une fois de plus, rejeté toute forme de règlement négocié.
malgrès tous ses débris qui nous gènnent ??mais nous sommes en pleins nettoyages ; tout en préparant des repas succulents**
******à très bientôt *******
Est ce qu'on demande aux Anglais de négocier sur les Malouines ? on demande aux Russes sur le Haut karabach ? on demande aux arabes sur les enclaves espagnols ? on demande aux Corses ?
Aux nations message : Occupez vous de VOS affaires ! Occupez vous de la Syrie les bonimenteurs de Communistes de Cegetistes d alter mondialistes !
La vérité c est que Abbas fait le choix de l assistanat sous des prétextes !!!!