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Politique IsraëlMinistre travailliste : “le gouvernent est en danger”Des commentateurs disent qu’après un accueil exceptionnellement froid reçu par le premier ministre à la Maison Blanche, Benyamin Netanyahou pourrait être forcé de modifier la composition de son gouvernement, en raison de désaccords entre sa coalition et les Etats-Unis sur les constructions à Jérusalem Est.
Un ministre travailliste a déclaré jeudi que « le gouvernement dans son état actuel pourrait être en danger ». Mais un important ministre du Likoud n’est pas d’accord, disant qu’il était encore « trop tôt pour supposer que la composition de la coalition va changer ».
Les membres du parti Kadima montrent des signes qui indiqueraient qu’ils seraient prêts à accepter de participer au gouvernement, mais uniquement si leurs exigences sont respectées. Un membre de Kadima a déclaré : « si Netanyahou met dehors Shass ou Israël Beitenou, nous rejoindront le gouvernement, mais il doit mettre dehors l’un deux. »
Des sources disent que Netanyahou devra se dépêcher pour obtenir que Kadima rejoigne la coalition. Cependant, d’autres pensent que le problème a été largement exagéré par la presse.
« Netanyahou n’a aucune raison de modifier la composition de son gouvernement. Ni Shass ni Israël Beitenou ne l’empêchent de suivre n’importe quelle stratégie s’il le désire, y compris le gel… En outre, le prix politique qu’il aurait à payer pour les trahir serait élevé, » déclare un ministre important.
Entre-temps, le premier ministre a reçu un large soutien au sein de son parti après avoir refusé de donner au président américain Barack Hussein Obama des garanties sur le gel.
Le député Zeev Elkin lie la construction aux valeurs démocratiques d’Israël. « Si la construction ne continue pas dans les quartiers juifs de Jérusalem, la ville n’aurait aucun futur en tant que capitale de l’état d’Israël, avec une majorité juive, » a-t-il déclaré.
« Ceux qui demandent ou pressent le gouvernement israélien de renoncer à cette position vont à l’encontre de l’avis des électeurs et donc contre la majorité de la population israélienne. »
Le député Danny Danon (Likoud) a critiqué le président américain et le gel temporaire imposé dans les implantations. « Obama a besoin de savoir que Jérusalem ne sera pas le prix de la justification de son prix Nobel, » a-t-il dit.
« Aujourd’hui pas un doute demeure que la décision de geler la construction dans les implantations était une erreur, et a seulement attiré plus de pressions des américains tout en échouant à fournir une ouverture dans les négociations avec les palestiniens. » Articles connexes
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Son coeur, certes, dès longtemps formaté par des Bill Ayers et Jeremiah Wright.
Cette situation peut-elle changer ? - Elle le peut si trois conditions sont réunies, lesquelles se conditionnent un peu les unes les autres :
Je dirai d'abord que je ne partage pas l'optimisme à court terme de Claude_006, concernant par exemple la loi sur l'assurance-maladie. Cette loi a été votée et il y a, à mon avis, peu de chance que les Représentants reviennent sur leur vote. On a vu que, pour obtenir à tout prix un succès politique susceptible ( du moins est-ce l'espoir du clan Obama ) d'inverser une tendance défavorable, Obama était prêt à peu près à tout ( y compris vider ou presque cette loi de son contenu originel ).
Mais cette tendance peut-elle en effet s'inverser ? - Dans huit mois, les " midterm elections " apporteront la réponse. D'ici là, bien des choses peuvent se produire dans le monde, que nous n'avons pas la possibilité de prévoir. Si néanmoins ont fait l'hypothèse d'une défaite démocrate, 'Hussein Obama se verrait quelque peu bridé par un Congrès qui ne serait plus à sa main ( ce qui n'est pas le cas actuellement, le vote sur le projet d'assurance santé l'a montré )
ne risquerait pas de plomber le parti ).
Je crois qu'il faut considérer qu'alors l'appareil démocrate ( à l'intérieur duquel l'appareil de Chicago dispose d'influences et de moyens d'action non négligeables ) serait amené à arbitrer entre : ses intérêts d'appareil ; la pression croissante à l'intérieur du parti des éléments de gauche et d'extrême-gauche, pression susceptible de se répercuter aussi sur et dans l'appareil lui-même ( c'est l'hypothèse que me paraît faire Mme Clinton,
La troisième condition est plus difficile à préciser ( quoiqu'elle soit probablement la plus décisive ) et à apprécier. Il s'agirait de savoir dans quelle mesure les Américains, qui avaient cru couronner, en quelque sorte, la victoire des Droits Civiques en élisant un Noir à la Présidence, se rendraient compte qu'ils ont été menés en bateau par un candidat expert en taqiyya et appuyé, ,y compris financièrement, par des groupes occultes liés à l'Islâm ( un peu comme JFK avait pu bénéficier, en son temps, du soutien de la Maffia ) ; et que ce personnage est en réalité un ennemi de leurs valeurs et de leur pays. C'est là un enjeu formidable. Mais pas tout à fait hors de portée.
Et, dans ce sens, un premier pas serait à faire : que la communauté juive américaine, qui a voté à 77 ou 78 % en faveur d'Obama, se rende compte que ce faiseur de génuflexion et de baise-main au roi d'Arabie est en réalité un employé de celui-ci et le pire ennemi d'Israël.
J'ajoutais que Mme Clinton table probablement aussi sur la substitution, par l'appareil du parti démocrate soucieux de regagner, en 2012, les faveurs de l'électorat, d'une candidate femme à un candidat noir en perte de vitesse.
Et j'évoquais une troisième condition, certes plus difficile à apprécier et même à formuler de manière très précise : il s'agirait de savoir dans quelle mesure les Américains qui avaient cru, en votant pour Obama, couronner en quelque sorte la victoire des Droits Civiques en portant un Noir à la plus haute fonction, commenceraient à se poser des questions concernant ses allégeances réelles et les risques que celles-ci pourraient faire courir à leurs valeurs et à leur pays.
Je terminais en disant que la communauté juive américaine, qui a voté à 77 ou 78 % en faveur d'Obama, a aussi quelques questions à se poser ...
Chabbat chalom .