Vidéo

lie ,
Tu n'as aucun choix puisqu'il est déjà a la base limité ,
que tu manges ou non du porc des l'instant ou s'est imposé  ce n'est pas de choix qu'il s'agit mais de solution la moins pire ou la meilleure selon l'humeur du jour

comme dans un labyrinthe ou toute les portes sont fermées sauf deux proposant du porc ou vide ,
et toi en plus tu refermes l'issu de secours consistant a faire marche arrière puisque papa a manger du porc

la conclusion est la même la mort à la sortie,
disons que la si tu disposais réellement du libre arbitre il faudrait fuir le plus loin possible sans te retourner ,
et encore même la tu n'agirais librement mais tu serais devant une réaction de rejet face a un modèle imposait qui ne propose que la mort ,,
tu choisis la vie par réflexe ,,
mais si tu avais vraiment été libre tu serais rester dans ton pays ,
le porc n'aurait pas été un problème
et tu te foutrais de savoir ce que ton père a mangé ,l'important étant l'amour qu'il y a eu entre vous deux

re conclusion celui qui a le flingue est le plus fort ,
il est l'arbitre ,
tu obéis dans les deux cas a son injonction
et c'est lui qui décide la mort ou la mort

William,
En mettant en nous le libre arbitre D. je préfère me dire que ce n'était pas un hasard et que D. sait qu'un jour ou plutôt l'autre sa créature sera capable de s'en servir .
en attendant
il n'y aura aucune liberté aussi longtemps que l'arbitraire de certains hommes privera d'autre homme de sa propre liberté .
Aucune liberté jusqu'à ce que nous ayons conscience que nous sommes responsables de tous .
si j'ai en moi une étincelle divine elle fait partie d'un tout
sans ce tout je n'ai pas assez de lumière ,nous n'avons pas assez de lumière .
Pour faire co exister la liberté et l'arbitraire il faut soit un mode d'emploi commun soit sagesse infinie
avoir conscience d'appartenir a un tout a chaque fois qu'un choix s'impose a moi
sinon je suis forcement arbitre d'un autre ,
Bon je retourne dormir

Avoir le libre arbitre, c´est avoir la possibilité entre obeir et desobeir, or il se trouve que dans mon exemple (il existe des boutiques de porc en israel dans certains endroits, c´est discussion à polemqiue), c´est ou obeir au détenteur du flingue ou obeir à D. , a aucun moment celui qui a le flingue sur la tampe est en position d´arbitre.

Ceci dit, je vous ai bien eu, un juif peut transgresser un interdit quand il est question de vie ou de mort.

Si le libre arbitre existe il ne peut être qu'a D.
Envoyé par Sylviane_003 - le Dimanche 13 Décembre 2009 à 21:51

On ne peut pas parler de libre arbitre de la même façon pour D. et pour nous car D. nous a donné le libre arbitre de suivre Sa Volonté ou bien la nôtre. Donc on ne peut pas dire qu’IL puisse suivre Sa Volonté ou bien la Sienne : C’est un non sens !

S'il est juste alors il n'a pas d'autre choix que le bien
Envoyé par Sylviane_003 - le Dimanche 13 Décembre 2009 à 21:51

Il ne s’agit pas de choix de faire ou non le bien pour Hachem : IL est le Bien par essence et crée le mal (la source, la potentialité du mal) mais ne le fait pas. «Hashem sait toujours diriger tout vers le bien» (Kalah Pithé ‘Hokhma, chap 30).
S’IL a créé le mal, c’est afin que l’on puisse exister par nos choix de repousser ou non le mal («le monde n’existe que pour supprimer le mal sous toutes ses formes» Derekh Hachem). Si on choisit de faire le mal (on ne peut pas créer le mal mais on peut le faire), alors notre devenir sera le néant, la mort. Si on choisit d’imiter Hachem («dans toutes tes voies, connais-Le») et de faire le bien, alors on accède à l’essence du Bien : Hachem qui est la Vie. C’est simple!

Où se trouve dès lors, notre point de libre arbitre? Entre notre intellect (notre intelligence) et notre subconscient! Exemple : le chocolat est mauvais pour un diabétique et il le sait intellectuellement, mais si c’est un gourmant invétéré, il se dit « c’est le dernier », (suivi d’un autre dernier etc…) car son intellect n’a aucune prise sur ses envies qui sont du ressort de son inconscient. Il suffit pourtant qu’il décide de ne pas regarder les chocolats et il sera sauvé (car l’œil voit, le cœur désire et le corps accomplit). C’est l’inconscient qui va guider l’œil vers ce qu’il faut voire ou non.
Le libre arbitre commence au moment où on se dit « si j’allais voir telle chose ». STOP ! Est-ce cachère ? Est-ce la Volonté de Hachem que j’aille voir cela ? Oui = Ok ! je continue (exemple : un verset dans la Torah) Non = Stop ! il faut que je pense à autre chose car si j’ouvre l’œil, je sais que je ne résisterai pas et ce choix me sera fatal ; Ainsi qu’il est dit : « Il est le feu et je suis comme la paille ». Mais pourtant, on peut éteindre le feu en soufflant tout au début sur la petite flamme qui l’allume : C’est là qu’on fait ou non le bon choix.

Il faut donc éduquer notre subconscient «en faisant» jusqu’à ce que le bien devienne une habitude. Exemple : Vous avez l’habitude de ne pas tuer donc votre subconscient vous laisse tranquille sur ce chapitre : On peut dire que vous n’avez pas de libre arbitre à ce niveau puisque vous choisissez systématiquement le bien : « Ne pas tuer ».
Mais un meurtrier qui a tué une fois se dit qu’après tout, ce n’est pas si grave et il peut à tout moment hésiter entre tuer et ne pas tuer encore et ça se joue à une fraction de seconde. Son libre arbitre est plus bas que le nôtre mais c’est aussi difficile pour lui de choisir que pour un gourmand diabétique de choisir entre prendre un chocolat ou non. Ce qu’il faut comprendre, c’est qu’en faisant à chaque fois les bons choix 1) On finit par éduquer son subconscient 2) on chasse le mal de ce monde 3) on accède à un libre arbitre de plus en plus élevé mais c’est à chaque fois toujours aussi dur 4) Plus nos choix sont d’un niveau élevé, plus on se rapproche de Notre Créateur et à 120 ans, quand on passe de l’autre côté, notre proximité avec Hachem est à la mesure de tous nos choix sur terre.

Comment connait-on les vrais bons choix ? Plusieurs possibilités en fonction d’où on naît et de notre environnement mais il y a un point commun à tout homme sur terre au moment où il choisit de faire le bien ou le mal: La petite voix qui lui dit « tu devrais faire ça car c’est bien et tu le sais! ».
Mais la façon la plus efficace de choisir le bien, celle qui est toujours confirmée comme étant le bien absolu, le meilleur choix, se trouve dans la Torah. Celui qui suit aveuglément tous les préceptes de la Torah est sûr de ne jamais se tromper et d’accéder à un très haut niveau de proximité à Hachem.

Aux modérateurs de juif.org

Voilà maintenant plus de 10 jours que je vous ai posé cette question. (voir le post ci-dessous )
Toujours pas de réponse ? Existe-t-elle ? Y a-t-il eu erreur de votre part ? Recevez-vous mes courriels ?

Personne ne réponds à mes posts, ils sont décalés dans la conversation et donc non lus...
Ça ne sert donc plus à rien de participer à juif.org

Justice, Liberté et Fraternité ! Ne lâchez-pas, continuez votre magnifique travail ! ( Ceci dit très sincèrement)
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From: Hélène
To: contact@juif.org
Subject: Question
Date: Thu, 3 Dec 2009 18:47:27 +0000

Bonjour,
Puis-je savoir sur la base de quel commentaire que j'aurais fait vous avez décidé de différer mes posts ?
Merci à l'avance pour votre réponse.
Hélène_007
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A tous, bonne continuation !

Men , si je comprends bien le Mal n'aurait été créé par D.ieu que pour nous permettre d'être libre de choisir entre le Bien et le Mal. Quel drôle de "jeu" D.ieu s'est-il inventé ? POURQUOI ? Avait-il besoin à ce point de se sentir aimé ? Pourquoi parle-t-on dans la Torah d'un D.ieu "JALOUX"....il me semble que dans la jalousie il y a un manque...Bizarre quand on parle de "perfection" d'y associer la jalousie...

A te lire, si jamais mon message n'est pas trop décalé...et que tu as envie d'y répondre...