Vidéo

"Non, mon ami, tu ne te trompe-je pas !"

sciéééé

La tête, le coeur, les reins...

...et l'âme dans tout ça ? ....

Les voies de D.ieu ne sont-elles pas impénétrables... et les chemins sur lesquels Ils nous conduit pour nous amener à le découvrir sont parfois bien étranges...

" Instaurer une loi martiale en Israël pour fusiller sur la place publique sans aucun procès tout terroriste capturé avant qu'il ait perprétrer son crime. "
Envoyé par Hélène - le Jeudi 26 Novembre 2009 à 00:07

Hélène,
Allons-y doucement :
Même s’il est dit : « Si on vient pour te tuer, tue le premier car sinon, tu seras tenu responsable de ta propre mort » (d’où on apprend du reste, que la Torah interdit le suicide), il est aussi à noter que bien que la peine de mort soit ainsi autorisée par la Torah (tu ne tueras pas, sauf dans certaines conditions), un tribunal religieux Juif (Sanhédrine) qui condamnait à mort un homme tous les 70 ans était considéré par la Torah comme un tribunal meurtrier.
Ici, il faut comprendre qui veut instaurer cette loi :
Si ce ne sont pas des religieux possédant parfaitement les lois du Talmud, il y a un grand risque que cette loi soit rédigée (et donc sera appliquée) n’importe comment et qu’il y aura donc des dégâts collatéraux. Bref, aucune brakha (bénédiction).
1) Est-on sûr que c’est un terroriste avant de tirer ?
2) Va-t-on évalué l’état psychologique et la parfaite santé mentale que tous ceux qui auront cette « license to kill » ?

3) S’agira-t-il exclusivement de tireurs d’élite ?
4) Si le terroriste est capturé, pourquoi le tuer s’il est totalement maitrisé et ne peut plus nuire ? Selon la Torah, ça s’appelle alors un meurtre sans aucune équivoque, s’il n’y a pas de jugement.
5) Tirer de sang froid sans jugement en pleine place publique sur une personne maîtrisée fera des dégâts considérables chez ceux qui assisteront à l’acte, car c’est contre nature et ce n’est pas différent d’un acte terroriste.
Maintenant, si c’est pile au moment où on voit qu’il va tirer sur la « chevillette » qui devrait déclencher l’explosion, il est évident que c’est autorisé et obligé de le tuer d’abord puisque même les tribunaux non-juif ont reconnu ce cas comme étant de la légitime défense (principe du code pénal qui découle initialement de la Torah, a n’en point douter).
Il y a une jeune fille Palestinienne même pas majeure (ou c’était un jeune homme pas majeur, je ne sais plus) qui un jour est arrivé en pleurant dans un poste de Police israélien. La Police l’a faite asseoir et lorsqu’on retira son manteau, il y avait une ceinture de dynamite autour de son corps. L’enfant effondrée dit à la Police qu’elle ne voulait pas mourir et demandait de l’aide pour qu’on lui retire ce qu’elle avait autour d’elle…
Il faut donc s’en remettre à ceux qui connaissent la Halakha parfaitement car la Torah seule saurait dicter la loi qui convient en pareil cas.

L'âme? Hélène, elle est dans le sang (au moins pour les Hayot, les bêtes sauvages...)

Elie,
et "le vide bouffe la raison", qu'est-ce t'en dis??

Pardon; je corrige :
"Avec le vide, bouffons la raison"

re

L'âme? Hélène, elle est dans le sang.. ( Men )
Donc elle circule partout : dans la tête, le coeur et les reins...L'important, quelque soit le point de départ est de la laisser circuler, elle trouvera bien son chemin, non ?

Merci pour toutes tes explications, c'est tout à fait ce que j'avais compris.
Chalom et que D.ieu te bénisse, qu'il continue à te guider.

Toi aussi Hélène...

MLK = raison

LMK = bouffon

KLM = rien

"Avec le vide, bouffons la raison" = Avec le KLM, LMK la MLK

Hélène,

(Si j'ai bien compris votre question) De prime abord je vous répondrais que reconnaître D... et ne pas avoir confiance en lui c'est ingratement lui reprocher notre imperfection. Ce n'est donc pas pareil selon moi. L'imperfection de l'homme n'est-elle pas une des raisons les plus palpables du pourquoi relatif à son existence ?
Si à la moindre injustice, je devais perdre confiance en la providence, ma révolte serait incommensurable. De ce fait, j'aurais tendance à lui nier toute paternité plutôt que de me cantonner dans la suspicion à son endroit. Si l'homme devait naître accompli, la notion d'amour serait vidée de toute substance. D... a volontairement pris des risques; Il nous a donné (entre-autres paramètres) la vanité qui est un moteur dont on peut inverser les pôles pour tourner dans le sens de notre choix. Le libre arbitre est ainsi confronté à une énorme difficulté. Tout est bien pesé, orchestré et superbement modelé. Vu par un humain sensible aux merveilles de la création, D... est l'Artiste par excellence.

Pour illustrer, je vais prendre l'exemple d'un ami intime. Son vécu au cours de ses 20 premières années fut un enfer. Bien sûr, il y a différents enfers. Question de température. Sa révolte a grondé très tôt. La vie était une p..e et D... brillait par son absence. En fait, il se cachait comme nul autre. Mon ami se battit pour sa famille et c'est cette responsabilité qui le tint à l'écart de la déprédation. Il fit sa bar-mitsva avant ses 17 ans, plus par respect pour ses parents que par conviction. (si D... ne voulait pas de lui en tant que Juif...)

Enfin, de nombreux signes lui parvinrent comme pour l'encourager dans ses efforts. D... sortait-il d'un grand sommeil ? Comme s'il voulait rattraper son retard, il fit ouvrir bien des portes sur la route de mon ami avec un zèle suspect. Résultat : la p...e se fit fée et mon ami fut enrôlé dans une merveilleuse aventure. Repu, aujourd'hui, il n'a d'autre souci que de donner pour avoir tant reçu. Lorsqu'il se raconte, il ne fait que prendre et reprendre la mesure de sa chance. Son destin commençait par une mise à l'épreuve. C'était la seule leçon à en tirer. Revivre ces épreuves pour leur donner leur véritable sens avec le recul le rebuterait à peine.

Quand on reconnaît D..., ce n'est pas au coin d'une rue ! Une fois reconnu, IL inspire une confiance inébranlable.

Merci Hélène pour vos bons mots. Ils me rassurent tout autant. Je ne vis pas le miracle d'Israël comme un idéologue borné ni comme un illuminé. Je suis un humble témoin devant l'évidence et mes amis. D... ne peut être qu'un. D'ou l'unicité de sa perfection.