Diplomatie : Israël & le Moyen-Orient

Le premier ministre (…) de l'autorité palestinienne Rami Hamdallah a jeudi loué les villes de France qui ont exprimé un soutient pour le "leader prisonnier" Marwan Barghouti, comme il dit.

Hamdallah a fait ces remarques lors d'une réunion à Ramallah avec une délégation de maires de France qui ont donné la citoyenneté d'horreur à Barghouti.

Les commentaires viennent au milieu d'une campagne en cours pour designer l'archi-terroriste Barghouti, qui sert une peine de cinq condamnations à perpétuité dans une prison israélienne pour son rôle dans des attaques terroristes suicide en Israël, pour le prix Nobel de la paix.

D'importants membres du parlement belge de l'ensemble du spectre politique ont annoncé la candidature de Barghouti le mois dernier, et ils ont été rejoints la semaine dernière par l'archevêque sud-africain et militant anti-israélien de premier plan Desmond Tutu.

Hamdallah a salué la campagne jeudi, en disant que Barghouti est un symbole du "mouvement des prisonniers palestiniens".

Il a en outre souligné que la direction palestinienne est catégorique qu'il n'y aura pas de paix sans la libération de tous les terroristes palestiniens des prisons israéliennes, puisque ces terroristes ont défendu le droit du peuple palestinien à l'autodétermination et à l'établissement de leur propre état indépendant.

Barghouti est largement perçu comme un choix populaire pour remplacer Mahmoud Abbas, dont le mandat a expiré il y a plusieurs années, comme président de l'AP.

L'archi-terroriste est considéré comme l'un des fondateurs des Tanzim, une des factions terroristes armées du Fatah.

Barghouti a continué d'exercer une grande influence au sein même du Fatah depuis sa prison. De même, il a été visité par des députés arabes, et a demandé la présidence de l'autorité palestinienne depuis sa cellule.